Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Chaque séquence déborde d’un appétit insatiable de storytelling et d’aventures.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Porté par une BO magnifique, ce conte sur l'émerveillement de l'enfance nous promène dans la Grosse Pomme, à deux époques différentes, avec une facilité bluffante. Il va vous bouleverser.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Jamais Todd Haynes n'aura joint à ce point le trajet d'une vie au tracé de l'histoire du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier de Bruyn
Une merveille de film interprété par une actrice deux fois merveilleuse.
Paris Match
par Yannick Vely
Le réalisateur américain Todd Haynes (Carol) change de style avec une chronique enfantine bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Adrien Gombeaud
Double reconstitution historique, "Le Musée des merveilles" est aussi une grande aventure cosmique.
Télérama
par Louis Guichard
"Wonderstruck", le titre original, signifie "émerveillé". C’est risqué, présomptueux, mais le film le porte très bien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Quel enchantement que Le musée des merveilles de Todd Haynes, présenté à Cannes cette année !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Morgan Pokée
Des immeubles et autres bâtiments jalonnant cette reconstruction, Haynes ne fait qu'y cacher, lorsqu’on les soulève, les sentiments les plus enfouis et les secrets les mieux gardés. Ceux de l'enfance qui jamais ne se termine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
Un éclair, et puis le noir. « Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains regardent les étoiles », dit l’épigraphe placée en exergue au Musée des Merveilles, comme pour signifier la déchirure originelle, qui pèse sur tout homme. Cette citation d’Oscar Wilde dirige immédiatement les attentes du spectateur vers les contrées de l’imaginaire, terres de sublimation et de consolation.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Prétexte partiel pour faire alterner les prémices du cinéma muet avec l’ère funky, ce double mystère recèle une réflexion mélancolique sur le passé, que le cinéaste fétichise avec ses reconstitutions manucurées et ses maquettes bricolées. Il en sourd une lancinante émotion.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Mi-conte pour enfants, mi-mélo pour grands, "Le Musée des merveilles" est une lettre d'amour à New York, une ode à la transmission, à la vivacité du patrimoine culturel, aux petites vies qui font la grande Histoire et à Julianne Moore, la muse du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Si l’on veut bien admettre que le cinéma ressemble à un cabinet de curiosités, où le spectateur est envoûté par ce qu’il ne s’attendait pas à découvrir, la nouvelle réalisation de Todd Haynes l’enchanteur se hisse à la hauteur de son titre. Son labyrinthe, qui serpente au milieu d’un passé figé, est un musée des merveilles.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Derrière un récit de formation qui joue avec le temps et avec l’imaginaire de l’enfance, une évocation de l’histoire même du cinéma qui développe une subtile réflexion sur le son et sur l’image.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il n’y a pas d’autres effets spéciaux que ceux qui sont nés de l’esprit du bricoleur délicat qu’est Todd Haynes, et pourtant, ce film est plus magique que ceux qui ont mobilisé des ordinateurs gros comme ceux du Pentagone.
Libération
par Marcos Uzal
Une plongée émouvante au cœur d’un New York entre réalité et fantasme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Superbe récit d'apprentissage.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Transfuge
par Sidy Sakho
(...) un conte aussi merveilleux que sensible d'aujourd'hui.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Une touchante variation sur la quête des origines, les liens familiaux, la transmission. Une vraie merveille.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film n’échappe pas à une forme de platitude, tant qu’il se trouve à l’étroit de son montage parallèle et de signaux convenus. Mais il trouve l’antidote en préférant soudain la matière aux vignettes.
Ecran Large
par Chris Huby
Reste un long métrage au visuel très fort et quelques moment oniriques réussis. C'est dommage mais Todd Haynes, à l'image de son film, commence aussi à se répéter.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le tour de force du "Musée des merveilles" est d’allier fond et forme, dans un magnifique spectacle à la fois distrayant et réfléchi, à destination de tous.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Haynes achève sa réflexion persistante sur l’émerveillement et la fascination en s’aventurant, parfois avec tendresse et cruauté, dans la psyché de ses deux protagonistes, qui finiront par se rejoindre dans un épilogue où la ville même de New York est exposée comme une maquette géante tapissant le sol du musée.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Plus démonstratif au niveau de la narration pour être accessible à tous, là où il cultivait autrefois l’ambiguïté, la suggestion et le non-dit, le réalisateur américain évoque la rencontre de deux solitudes à Manhattan à cinquante ans d’écart !
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Todd Haynes prête son talent pour la reconstitution fétichiste à l’adaptation d’un roman pour enfants. Le résultat est un étrange objet, déconcertant mais non dénué de charme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Frédéric Foubert
Cette volonté de souder des bouts de récits épars par le simple goût de la rime, de la musicalité, donne au film des airs de bulle de savon, en suspension. Toujours à deux doigts d'exploser et de s'effacer aussitôt de nos mémoires. Mais très beau à contempler, le temps d'un vol plané.
Voici
par Lola Sciamma
En racontant la fugue de deux enfants sourds dans les années 30 et 70 à New York, Haynes rend hommage au cinéma muet.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Un hymne à l’enfance et à la différence qui manque toutefois, derrière le savoir-faire, de rythme et d’étoffe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Le cinéaste Todd Haynes se prend les pieds dans le tapis d’un exercice de style taillé dans un bloc de guimauve à la Steven Spielberg.
Studio Ciné Live
par Stéphanie Belpêche
Aucune place n'est laissée à l'émotion. Selues les vingt dernières minutes (...) laissent entrevoir un beau film. Trop tard.
Le Figaro
par La Rédaction
Le livre reste un chef-d'œuvre. On ne peut pas en dire autant du Musée des merveilles.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
CinemaTeaser
Chaque séquence déborde d’un appétit insatiable de storytelling et d’aventures.
Femme Actuelle
Porté par une BO magnifique, ce conte sur l'émerveillement de l'enfance nous promène dans la Grosse Pomme, à deux époques différentes, avec une facilité bluffante. Il va vous bouleverser.
Les Inrockuptibles
Jamais Todd Haynes n'aura joint à ce point le trajet d'une vie au tracé de l'histoire du cinéma.
Marianne
Une merveille de film interprété par une actrice deux fois merveilleuse.
Paris Match
Le réalisateur américain Todd Haynes (Carol) change de style avec une chronique enfantine bouleversante.
Positif
Double reconstitution historique, "Le Musée des merveilles" est aussi une grande aventure cosmique.
Télérama
"Wonderstruck", le titre original, signifie "émerveillé". C’est risqué, présomptueux, mais le film le porte très bien.
20 Minutes
Quel enchantement que Le musée des merveilles de Todd Haynes, présenté à Cannes cette année !
Critikat.com
Des immeubles et autres bâtiments jalonnant cette reconstruction, Haynes ne fait qu'y cacher, lorsqu’on les soulève, les sentiments les plus enfouis et les secrets les mieux gardés. Ceux de l'enfance qui jamais ne se termine.
Culturopoing.com
Un éclair, et puis le noir. « Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains regardent les étoiles », dit l’épigraphe placée en exergue au Musée des Merveilles, comme pour signifier la déchirure originelle, qui pèse sur tout homme. Cette citation d’Oscar Wilde dirige immédiatement les attentes du spectateur vers les contrées de l’imaginaire, terres de sublimation et de consolation.
L'Humanité
Prétexte partiel pour faire alterner les prémices du cinéma muet avec l’ère funky, ce double mystère recèle une réflexion mélancolique sur le passé, que le cinéaste fétichise avec ses reconstitutions manucurées et ses maquettes bricolées. Il en sourd une lancinante émotion.
L'Obs
Mi-conte pour enfants, mi-mélo pour grands, "Le Musée des merveilles" est une lettre d'amour à New York, une ode à la transmission, à la vivacité du patrimoine culturel, aux petites vies qui font la grande Histoire et à Julianne Moore, la muse du cinéaste.
La Croix
Si l’on veut bien admettre que le cinéma ressemble à un cabinet de curiosités, où le spectateur est envoûté par ce qu’il ne s’attendait pas à découvrir, la nouvelle réalisation de Todd Haynes l’enchanteur se hisse à la hauteur de son titre. Son labyrinthe, qui serpente au milieu d’un passé figé, est un musée des merveilles.
Le Dauphiné Libéré
Derrière un récit de formation qui joue avec le temps et avec l’imaginaire de l’enfance, une évocation de l’histoire même du cinéma qui développe une subtile réflexion sur le son et sur l’image.
Le Monde
Il n’y a pas d’autres effets spéciaux que ceux qui sont nés de l’esprit du bricoleur délicat qu’est Todd Haynes, et pourtant, ce film est plus magique que ceux qui ont mobilisé des ordinateurs gros comme ceux du Pentagone.
Libération
Une plongée émouvante au cœur d’un New York entre réalité et fantasme.
Rolling Stone
Superbe récit d'apprentissage.
Transfuge
(...) un conte aussi merveilleux que sensible d'aujourd'hui.
Télé 7 Jours
Une touchante variation sur la quête des origines, les liens familiaux, la transmission. Une vraie merveille.
Cahiers du Cinéma
Le film n’échappe pas à une forme de platitude, tant qu’il se trouve à l’étroit de son montage parallèle et de signaux convenus. Mais il trouve l’antidote en préférant soudain la matière aux vignettes.
Ecran Large
Reste un long métrage au visuel très fort et quelques moment oniriques réussis. C'est dommage mais Todd Haynes, à l'image de son film, commence aussi à se répéter.
Franceinfo Culture
Le tour de force du "Musée des merveilles" est d’allier fond et forme, dans un magnifique spectacle à la fois distrayant et réfléchi, à destination de tous.
La Septième Obsession
Haynes achève sa réflexion persistante sur l’émerveillement et la fascination en s’aventurant, parfois avec tendresse et cruauté, dans la psyché de ses deux protagonistes, qui finiront par se rejoindre dans un épilogue où la ville même de New York est exposée comme une maquette géante tapissant le sol du musée.
Le Journal du Dimanche
Plus démonstratif au niveau de la narration pour être accessible à tous, là où il cultivait autrefois l’ambiguïté, la suggestion et le non-dit, le réalisateur américain évoque la rencontre de deux solitudes à Manhattan à cinquante ans d’écart !
Les Fiches du Cinéma
Todd Haynes prête son talent pour la reconstitution fétichiste à l’adaptation d’un roman pour enfants. Le résultat est un étrange objet, déconcertant mais non dénué de charme.
Première
Cette volonté de souder des bouts de récits épars par le simple goût de la rime, de la musicalité, donne au film des airs de bulle de savon, en suspension. Toujours à deux doigts d'exploser et de s'effacer aussitôt de nos mémoires. Mais très beau à contempler, le temps d'un vol plané.
Voici
En racontant la fugue de deux enfants sourds dans les années 30 et 70 à New York, Haynes rend hommage au cinéma muet.
aVoir-aLire.com
Un hymne à l’enfance et à la différence qui manque toutefois, derrière le savoir-faire, de rythme et d’étoffe.
La Voix du Nord
Le cinéaste Todd Haynes se prend les pieds dans le tapis d’un exercice de style taillé dans un bloc de guimauve à la Steven Spielberg.
Studio Ciné Live
Aucune place n'est laissée à l'émotion. Selues les vingt dernières minutes (...) laissent entrevoir un beau film. Trop tard.
Le Figaro
Le livre reste un chef-d'œuvre. On ne peut pas en dire autant du Musée des merveilles.