Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Transfuge
par Damien Aubel
Quelque chose se passe ici, qui obéit à un ordre précis, ésotérique, orienté vers une fin pratique (...) Ça s'appelle un rite.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Pas question ici de spectacle filmé, une vraie dimension cinématographique est aux commandes. "Beyond Flamenco" devient spectacle vivant, et les frissons gagnent l’échine plus d’une fois. Magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Positif
par Hubert Niogret
La forme, allégée de tout superflu, va à l'essentiel et l'expression musicale et chorégraphique est transmise aux spectateurs qui ressentent beauté et émotion.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Les costumes sont chatoyants, les artistes passionnés, mais le procédé s’avère un peu répétitif, et la danse moins emballante que le flamenco.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Sur un dispositif scénique éprouvé, Carlos Saura offre 87 minutes d’ibérisme tourbillonnant.
Ouest France
par La Rédaction
Gracieux, vibrant, instructif, ce docu lasse parfois faute d'un fil narratif.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
(...) Carlos Saura capture le rythme et toute la richesse de la jota aragonaise dans un documentaire musical coloré mais hermétique pour le néophyte.
Télérama
par Frédéric Strauss
Dépouillé dans sa forme, "Beyond flamenco" en deviendrait presque un simple bout à bout de belles performances. Mais, comme les artistes qu'il filme (certains très connus, tels Sara Baras, Cañizares ou Carlos Núñez), le cinéaste finit par faire surgir un sentiment de passion, qu'on peut comprendre et partager.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Marie Soyeux
Il est entendu que Carlos Saura, dans ce film, se donne moins pour mission de se renouveler que de préserver et vivifier un répertoire. Mais force est de reconnaître que cet art vivant semble ici bien terne, malgré ses couleurs vives.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Mieux vaut savoir où l’on s’aventure avant d’entrer dans la ronde de ce que le cinéaste qualifie de « musicales à l’état pur ».
Marianne
par Frédérique Briard
On ne retrouve pas, pour s'évader, l'épure élégante de "Flamenco", ni l'éclectisme de "Fados". Quant à la surenchère d'effets miroir et de projections, elle finit par lasser.
Le Monde
par Thomas Sotinel
En refusant la parole, les extérieurs, en enchaînant les numéros chantés et dansés tournés sur un plateau décoré de toiles banales, comme pour une émission de télévision régionale, Carlos Saura gomme tout le relief de sa matière. La jota, genre né en Aragon qui a essaimé dans toute la péninsule méritait mieux.
Transfuge
Quelque chose se passe ici, qui obéit à un ordre précis, ésotérique, orienté vers une fin pratique (...) Ça s'appelle un rite.
Franceinfo Culture
Pas question ici de spectacle filmé, une vraie dimension cinématographique est aux commandes. "Beyond Flamenco" devient spectacle vivant, et les frissons gagnent l’échine plus d’une fois. Magnifique.
Positif
La forme, allégée de tout superflu, va à l'essentiel et l'expression musicale et chorégraphique est transmise aux spectateurs qui ressentent beauté et émotion.
Le Journal du Dimanche
Les costumes sont chatoyants, les artistes passionnés, mais le procédé s’avère un peu répétitif, et la danse moins emballante que le flamenco.
Les Fiches du Cinéma
Sur un dispositif scénique éprouvé, Carlos Saura offre 87 minutes d’ibérisme tourbillonnant.
Ouest France
Gracieux, vibrant, instructif, ce docu lasse parfois faute d'un fil narratif.
Studio Ciné Live
(...) Carlos Saura capture le rythme et toute la richesse de la jota aragonaise dans un documentaire musical coloré mais hermétique pour le néophyte.
Télérama
Dépouillé dans sa forme, "Beyond flamenco" en deviendrait presque un simple bout à bout de belles performances. Mais, comme les artistes qu'il filme (certains très connus, tels Sara Baras, Cañizares ou Carlos Núñez), le cinéaste finit par faire surgir un sentiment de passion, qu'on peut comprendre et partager.
La Croix
Il est entendu que Carlos Saura, dans ce film, se donne moins pour mission de se renouveler que de préserver et vivifier un répertoire. Mais force est de reconnaître que cet art vivant semble ici bien terne, malgré ses couleurs vives.
La Voix du Nord
Mieux vaut savoir où l’on s’aventure avant d’entrer dans la ronde de ce que le cinéaste qualifie de « musicales à l’état pur ».
Marianne
On ne retrouve pas, pour s'évader, l'épure élégante de "Flamenco", ni l'éclectisme de "Fados". Quant à la surenchère d'effets miroir et de projections, elle finit par lasser.
Le Monde
En refusant la parole, les extérieurs, en enchaînant les numéros chantés et dansés tournés sur un plateau décoré de toiles banales, comme pour une émission de télévision régionale, Carlos Saura gomme tout le relief de sa matière. La jota, genre né en Aragon qui a essaimé dans toute la péninsule méritait mieux.