Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Positif
par Eithne O'Neill
"Manifesto" envoûte par sa poésie verbale et visuelle. La diction de l'actrice virtuose, qui décline un accent tempéré du Vieux Sud ou celui, plus grave, d'Europe centrale, éblouit.
Critikat.com
par Corentin Lê
Il faudra attendre les dernières images précédant le générique final, lorsque Julian Rosefeldt retranscrit le désordre initial de son œuvre via un split-screen terrifiant, pour ressentir enfin le tumulte théorique auquel aspirait – jusqu’alors sans succès – son film-concept.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Il est souvent question de modernité, de la place de l'art dans la société, de son pouvoir de subversion. Le tout pourrait être un pensum mais Cate Blanchett incarne ces manifestes avec humour bienvenu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Compilant quelques grands manifestes du XXe siècle, le film conjugue les courants de pensée en un concept exaltant, mais à la nécessité incertaine. Demeure alors le talent d’une formidable Cate Blanchett.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Perrine Quennesson
Si, de prime abord, le parti pris semble pompeux et peu adapté à ce format, la présence de Cate Blanchett valide ce passage par la case cinéma.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Manifesto est un projet conceptuel qui brille par sa radicalité, qui a le mérite de se distinguer parmi moult propositions à vocation sociale grossièrement cousue de fil blanc souffrant d’un affligeant manque de curiosité intellectuelle.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Louis Guichard
L’alchimie est parfois fragile, et les télescopages, inégalement expressifs. Outre les fragments de textes, il y a l’art de Cate Blanchett, qui met en pratique une esthétique de la métamorphose.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un film expérimental qui vaut pour la performance de Cate Blanchett, mais qui aurait plus sa place dans un musée que dans une salle de cinéma.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Techniquement soigné, certes, mais la pertinence de ces performances dans ces lieux nous échappe. Seul but évident, mais assez vain : réaffirmer l’importance de l’art dans un monde mercantile englouti par les médias. Un vœu pieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Clémentine Mercier
"Manifesto" n’évite pas l’écueil de la vidéo d’art transposée à la salle de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Une expérience dadaïste qui aurait plus sa place dans une galerie d'art.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
A la fin, c'est aussi vain qu'artificiel, aussi prétentieux qu'inopérant. On se contrefout des textes cités, on s'énerve de tant de talent gâché et, surtout, on vérifie que dans conceptuel il y a "con".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Mais on est gêné par la rage que [Cate Blanchett] met dans des situations finalement banales, ainsi que par la prétention de l’auteur à résumer l’art et le monde en quelques phrases définitives.
Le Monde
par Murielle Joudet
Tantôt institutrice, présentatrice d’un JT, mère de famille ou SDF, Cate Blanchett s’adonne à chaque nouveau tableau à un numéro de transformiste dont on peine à percevoir la pertinence et l’intérêt.
Positif
"Manifesto" envoûte par sa poésie verbale et visuelle. La diction de l'actrice virtuose, qui décline un accent tempéré du Vieux Sud ou celui, plus grave, d'Europe centrale, éblouit.
Critikat.com
Il faudra attendre les dernières images précédant le générique final, lorsque Julian Rosefeldt retranscrit le désordre initial de son œuvre via un split-screen terrifiant, pour ressentir enfin le tumulte théorique auquel aspirait – jusqu’alors sans succès – son film-concept.
Le Figaro
Il est souvent question de modernité, de la place de l'art dans la société, de son pouvoir de subversion. Le tout pourrait être un pensum mais Cate Blanchett incarne ces manifestes avec humour bienvenu.
Les Fiches du Cinéma
Compilant quelques grands manifestes du XXe siècle, le film conjugue les courants de pensée en un concept exaltant, mais à la nécessité incertaine. Demeure alors le talent d’une formidable Cate Blanchett.
Première
Si, de prime abord, le parti pris semble pompeux et peu adapté à ce format, la présence de Cate Blanchett valide ce passage par la case cinéma.
Rolling Stone
Manifesto est un projet conceptuel qui brille par sa radicalité, qui a le mérite de se distinguer parmi moult propositions à vocation sociale grossièrement cousue de fil blanc souffrant d’un affligeant manque de curiosité intellectuelle.
Télérama
L’alchimie est parfois fragile, et les télescopages, inégalement expressifs. Outre les fragments de textes, il y a l’art de Cate Blanchett, qui met en pratique une esthétique de la métamorphose.
Voici
Un film expérimental qui vaut pour la performance de Cate Blanchett, mais qui aurait plus sa place dans un musée que dans une salle de cinéma.
L'Humanité
Techniquement soigné, certes, mais la pertinence de ces performances dans ces lieux nous échappe. Seul but évident, mais assez vain : réaffirmer l’importance de l’art dans un monde mercantile englouti par les médias. Un vœu pieux.
Libération
"Manifesto" n’évite pas l’écueil de la vidéo d’art transposée à la salle de cinéma.
Ouest France
Une expérience dadaïste qui aurait plus sa place dans une galerie d'art.
L'Obs
A la fin, c'est aussi vain qu'artificiel, aussi prétentieux qu'inopérant. On se contrefout des textes cités, on s'énerve de tant de talent gâché et, surtout, on vérifie que dans conceptuel il y a "con".
Le Journal du Dimanche
Mais on est gêné par la rage que [Cate Blanchett] met dans des situations finalement banales, ainsi que par la prétention de l’auteur à résumer l’art et le monde en quelques phrases définitives.
Le Monde
Tantôt institutrice, présentatrice d’un JT, mère de famille ou SDF, Cate Blanchett s’adonne à chaque nouveau tableau à un numéro de transformiste dont on peine à percevoir la pertinence et l’intérêt.