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    Stephen King's Doctor Sleep
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    Eli1537
    Eli1537

    41 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2019
    Très original, très flippant. Je n'ai pas tout saisi du film, c'est pourquoi je pense regarder le shining de 1980 pour esperer en apprendre plus, et peut être même en lire le livre. Très long en apparence, mais je ne me suis pas ennuyé et n'en ai pas senti la longueur, preuve que c'était pour moi un bon film. Plaisant pour Halloween.
    Bidou F
    Bidou F

    11 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Je sors de la séance (je n'ai pas lu le livre) et j'en sors avec un double sentiment : l'impression d'avoir vu 2 films en un et la satisfaction de ne pas m'être fait voler ni ma madeleine de Proust (Shinning bien sûr) ni sur le potentiel de la suite.

    Le réalisateur fait un travail formidable pour mettre sa patte en respectant le travail de Kubrick même si les hommages et le fan service est un poil trop appuyé... on va dire qu'on prend un plaisir coupable ;) Le travail sur la photo et la musique sont vraiment bon notamment avec ces battements de coeur qui rythme les scènes.

    Au final, on a un bon film d'épouvante dans un univers connu, c'est très sympa :)
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Poursuivre l'œuvre de Kubrick relève sinon de la gageure, en tous les cas du risque évident. Car le film original de commande (il est nécessaire de le rappeler) a trouvé son succès dans une économie d'effets spéciaux et une déclinaison de ses personnages sur un versant moins fantastique que psychiatrique. Ici, la part essentielle est donnée au récit des fantômes et des esprits ; on est loin de cet immense hôtel, de ce travelling spectaculaire de la caméra derrière l'enfant dans les couloirs interminables. Le propos s'attarde sur un groupe de dégénérés, affamés du souffle des âmes perdues, cruellement stupides, face à l'adulte qu'est devenu le petit Dan du premier film, perdu entre son alcoolisme et ses hallucinations sonores.

    Bref, "Doctor Sleep" raconte l'histoire du ratage d'une suite impossible à filmer. Le film souffre d'une véritable malhonnêteté tant dans l'attention forcenée qui est donnée à ce fameux Shining, que dans le style dévoyé du film de héros doués de pouvoirs incroyables. Il y a quelque chose de l'ordre de l'imposture dans ce récit horrifique qui fait injure à l'œuvre de King et surtout au film de Stanley Kubrick. A cela se rajoute un format très long, à la limite de l'épuisement, qui tente de tout raconter dans tous les sens, du moment que le spectateur soit ravi des effets et en prenne pour son grade.

    Voilà donc un film qui n'aurait pas du exister, au point même d'ailleurs qu'il fait de l'ombre au chef d'œuvre "Shining".
    Axel F
    Axel F

    2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2019
    Génial : pour la mise en scène, les thèmes abordées, le casting et l'hommage à Shinning. Flannagan se révèle comme le nouveau maitre de l'horreur.
    Laurence M
    Laurence M

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Très bon film et assez fidèle au livre!courrez le voir,nous n'avons pas vu le temps passé !!! Super
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Lien parfait entre le roman du maître King et le film du maître Kubrick. Les acteurs sont parfaits et la nostalgie est constante...et va crescendo pour la fin !
    J’ai été plus qu’agréablement surpris par ce film et je vous le conseille vivement !
    JMC I.
    JMC I.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Ce film et tous simplement génial , j ai adoré de bout en bout , le jeux des acteurs ma carrément plu ,
    L'ambiance a la stephen king y est tres bien retranscrit (décidément je ne m'en lasserais jamais).
    L'overlook hotel a toujours son charme fou , même délabré je lui trouve un je ne sais quoi de plus attachant encore.
    Que dire de plus , si ce n'est que cette suite a " l'excellentissime shining " et une réussite totale.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    S'attaquer à une suite de Shining presque 40 après la sortie de ce dernier, était un pari plus que risqué, c'était même suicidaire et c'est Mike Flanagan le réalisateur de l'excellent "Ne t'endors pas " qui s'y colle. Shining est un film culte par excellence (même si je ne suis pas un fan inconditionnel) et près de 40 après, les images sont toujours intactes dans mes pensées. Docteur Sleep qui est donc la suite directe de Shining, est parvenu à rester 4 minutes dans ma tête (le temps que je sorte du parking du cinéma) et plouf plus rien. Docteur Sleep n'a strictement rien à voir avec l'œuvre culte de Stanley Kubrick, il ne joue pas dans la même catégorie. Tout d'abord ce n'est pas un film d'horreur à proprement parler comme l'était son modèle, c'est plus un conte fantastique pour ados, entre Darkest minds et Twilight avec un léger soupçon de Chair de poule. Pour ce qui est du rythme, le titre porte bien son nom, on est en mode "sleep" pendant toute la durée du film et on n'a qu'une hâte, c'est que ça se termine. Là où Docteur Sleep fait encore pire que ses précédents défauts, c'est qu'il ose montrer un sosie ridicule de Jack Nicholson pour incarner Jack Torrance, alors que de nos jours, les effets spéciaux sont capables de redonner une seconde jeunesse à un acteur avec le procédé de rajeunissement numérique.
    Même si je n'en attendais pas grand-chose, c'est tout de même une grosse déception. 2/6
    RedArrow
    RedArrow

    1 662 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    "Doctor Sleep" ou quand Mike Flanagan se donna la mission de réconcilier l'écrit et le cinéma...
    Ce n'est un secret pour personne, Stephen King déteste cordialement l'adaptation de son roman "Shining" par Stanley Kubrick. Seulement, n'en déplaise à un des écrivains du genre les plus populaires de notre époque, c'est à jamais la version cinéma d'un des réalisateurs les plus connus au monde qui restera dans les mémoires (et non le plus qu'oubliable téléfilm de 1997 validée par King). Ainsi, on imagine sans mal l'embarras dans lequel s'est retrouvé Mike Flanagan lorsqu'il s'est attaqué au projet de porter sur grand écran la suite littéraire à succès "Doctor Sleep". Devait-il oui ou non éluder les images fortes du film restées dans toutes les têtes pour rebâtir les fondations nécessaires à la compréhension d'événements qui en sont en partie leurs conséquences ?
    La facilité aurait été d'y faire référence seulement par des dialogues évoquant le passé de Danny Torrance mais Mike Flanagan n'est pas homme à choisir la solution la plus aisée quand il s'agit de partager au mieux les émotions indissociables de ce passé où le perfectionnisme visuel de Kubrick a pris une importance considérable dans leur ressenti. N'oublions pas que l'on parle ici d'un véritable petit génie contemporain de l'épouvante en puissance, alliant constamment ce registre à un aspect dramatique où les failles les plus profondes de ses personnages priment dans sa déjà passionnante filmographie. L'espèce de perfection atteinte par la première saison de la série "The Haunting..." en ce sens ne peut qu'en témoigner, de même que son précédent long-métrage, l'excellent "Jessie", une adaptation d'un King réputé justement inadaptable à cause de la représentation a priori impossible de l'introspection contrainte de son héroïne.
    Et, encore une fois, Mike Flanagan a fait preuve d'une redoutable intelligence afin de concilier les points de vue de King et Kubrick en se posant dans un rôle de médiateur entre les deux. Impossible de gommer la symétrie marquante des plans de Kubrick, les décors si particuliers de l'hôtel Overlook, le visage de fou furieux de Nicholson, les yeux terrifiés de Shelley Duvall ou les "Redrum" répétés du petit Danny Llyod de l'imaginaire du spectateur ? Alors, tout cela ne sera pas ignoré mais réapproprié et ravivé pour nous immerger le plus possible dans l'esprit de son héros malmené par ce traumatisme d'enfance. Grâce à des plans iconiques revisités par le regard moderne de Flanagan (et des astuces qui, on l'imagine sans peine, diviseront), la réminiscence de ces images sur l'état émotionnel du Danny Torrance répondra en effet à l'impact qu'elles ont eu sur le public au fil des années et le conditionnera à éprouver le mal-être qui habite désormais le personnage. Mike Flanagan nous raconte bien évidemment un nouveau prolongement de cette histoire se basant avant tout sur l'écrit de King mais il n'omet jamais rien du lien ténu entre passé et présent et en tire une force incroyable où les maux de Danny Torrance et les choix visuels de Kubrick forment un tout sous la forme de souvenirs partagés en communion par le personnage et le spectateur. Quelle approche audacieuse pour conjuguer deux visions qui s'opposaient jusqu'alors ! D'ailleurs, même King, beau joueur, n'a pu que saluer le talent de Flanagan à cet égard, on ne le contredira pas.

    Au-delà de ce choix remarquable qui prendra encore plus de sens dans une certaine partie du film (et qui, toutefois, en montrera également la limite, notamment lors de la séquence d'un face-à-face capital), "Doctor Sleep" avait aussi pour handicap de partir d'un roman certes honorable mais, reconnaissons-le, mineur au regard de son prédécesseur et de bon nombre d'oeuvres bien plus marquantes de King. L'élargissement de cette mythologie "Shining" passait néanmoins par des ramifications intéressantes (son incroyable antagoniste Rose The Hat ou une mise en lumière du Shining sous des perspectives inédites) mais, malgré la plaisante lecture qu'il représentait, l'ensemble se révélait moins indispensable que la puissance de l'histoire originale. Une fois de plus, on comptait sur l'instinct de Flanagan pour venir à bout de cette difficulté et élever le matériau d'origine à un niveau insoupçonné. Pari à nouveau relevé !
    Même si "Doctor Sleep" version cinéma est sans doute trop long et n'évite parfois pas l'écueil de temporiser autour de son inéluctable affrontement final (il est même sans doute possible d'en deviner assez tôt la direction globale sans avoir lu le roman), son réalisateur va pourtant réussir l'exploit de rendre bien plus fort les mots de cette histoire par son sens virtuose de la mise en scène et sa capacité à nous plonger dans l'atmosphère troublante émanant de l'étrangeté des forces en présence. Cela commence par le Shining et la connexion qu'il induit entre les individus en ayant la connaissance, les passages "mentaux" du film (on ne peut en dire plus) frise constamment le génie par leur représentation, nous entraînant sans cesse avec eux dans des tableaux visuels où l'inventivité tutoye la fluidité pour nous faire ressentir le champ d'action d'un tel pouvoir et les connexions en dehors de toute réalité perceptible qu'il entraîne. Dans la mouvance de ces "contacts", Flanagan installe savamment les composantes de sa toile d'araignée où les personnages et les lieux s'entremêlent pour développer une tension de plus en plus oppressante en résonance de la future confrontation/épée de Damoclès qui plane sur eux. Aux palpitations grandissantes des premiers échanges des héros et de la menace qui les guette, la bande-son répond avec des chœurs comme aspirés à l'unisson des morts laissés cruellement sur la route du camp adverse. Tout est d'ailleurs fait pour que l'on soit nous-mêmes irrésistiblement aspirés au sein de ses enjeux, les interactions entre Abra (Kyliegh Curran) et Rose (Rebecca Ferguson, absolument géniale) ne cessent de monter en puissance avec leur lot de faux-semblants dont les personnages et, par ricochet, Flanagan usent avec une maîtrise ne pouvant qu'emporter l'adhésion.

    La dernière partie ne pourra laisser indifférent par l'espèce de point culminant de la démarche de Flanagan qu'elle représente sur bien des formes, elle est à la fois la rencontre de deux époques et celle du cinéma et de l'écrit soudain fondus dans un moule cherchant à camoufler leurs spécificités respectives. Passons sur les artifices utilisés qui seront appréciés selon les goûts ou l'envie d'y croire de chacun, un défaut, peut-être le plus majeur du film, sera bien plus évident : le traitement de Danny Torrance. Comme on l'a explicité auparavant, le personnage sortait magnifié par la manière qu'avait Flanagan de nous faire renouer avec lui et, dans sa globalité, le film nous impliquera avec un certain brio dans sa remontée à la surface grâce à sa relation avec la petite Abra mais, arrivé dans le dernier acte, Danny semblera stagner et avoir un mal fou à vraiment exister comme si le cadre et les deux autres protagonistes à ses côtés prenaient les devants de lui. Son rôle sera bien évidemment déterminant quant à la résolution de l'ensemble mais, au-delà des conséquences inhérentes à l'intrigue, on aura l'impression que le sort intime du personnage en devient accessoire, l'artificialité (et la longueur) d'une scène que l'on évoquait déjà plus haut et dont la force supposée aurait dû exploser à l'écran ne lui auront hélas pas assez rendu justice sur la conclusion malgré une certaine insistance. C'est peut-être là le seul grand échec de Mike Flanagan en bout de course, nous faire avoir vis-à-vis de Danny Torrance le ressenti d'un simple instrument à toute cette histoire alors qu'il aurait dû en être le cœur jusqu'à son terme...

    Cela dit, ne boudons pas notre plaisir devant ce qui est la meilleure adaptation d'un roman de Stephen King depuis... eh bien... "Jessie" de ce même Mike Flanagan. Ce dernier s'impose comme le cinéaste le plus doué actuellement pour saisir l'essence d'une histoire de King et la retransmettre avec sa patte personnelle à l'écran. Après tout, il fallait bien un génie en devenir pour en réconcilier deux autres installés en leurs domaines. Avec "Doctor Sleep", Mike Flanagan nous prouve encore un peu plus qu'il est bien parti pour les rejoindre dans leurs sommets...
    Mr-W
    Mr-W

    31 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Cette suite de Shinning est un véritable thriller fantastique, la mise en scène est rythmée et ne manque pas de rebondissement et de suspense, sans en faire trop. Les références à Shinning son là sans être omniprésentes. Une réussite qui donnera envie de voir ou revoir Shinning de Kubrick.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    764 abonnés 1 516 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Suite directe du mémorable "Shining" de Stanley Kubrick sorti en 1980, cette réalisation de Mike Flanagan possède pas mal de qualités notables pour plaire à un public transgénérationnel.
    Les plus âgés (dont je suis) retrouveront avec délice (ou horreur, c'est selon !) de vraies références visuelles, auditives, rythmiques et émotionnelles du premier volume.
    Les plus jeunes, eux, pourront se régaler d'un film horrifique sous forme de thriller fantastique plutôt abouti possédant pas mal de moments angoissants, sans non plus en faire des tonnes.
    Globalement, ce long-métrage au casting excellent est plutôt absorbant, même si j'ai trouvé le scénario un peu lent et paresseux par instants.
    Délicieusement oppressant.
    Site www.cinemadourg.free.fr
    garnierix
    garnierix

    230 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Doctor Sleep est adapté du roman éponyme de Stephen King de 2013, comme Shining l’était en 1980 ––c’en est d’ailleurs la suite. Et l’on est impatient de voir ce film d’horreur, car on se souvient du film Shining de Kubrick ––prix d’excellence de l’horreur (qui à ce niveau n’en est plus !). Synopsis : des gens (qui n’en sont plus) torturent à mort des enfants qui ont un don, pour en absorber un élixir de vie, tel est le contexte dans lequel on va suivre une gamine, qui a vu leur dernier meurtre (elle a le don), et suivre Ewan McGregor qui est le gamin ayant échappé à son père Jack Nicholson en 1980 (il avait le don). On ne devrait jamais être impatient… Stephen King n’aimait pas l’adaptation de Kubrick, qui trahissait son roman. Nous, on n’aime pas trop ni cette suite de Stephen King ni l’adaptation cinématographique qui en est faite ––bien que les deux divergent de toute façon ! Tout va bien, en fait (si l’on peut dire, car on dissèque quasiment un gosse), jusqu’au moment où les entités de 1980 se réveillent. A ce moment précis, rien ne va plus, tout devient grotesque. On n’avait pas besoin de revenir à cet hôtel de 1980 pour finir joliment l’histoire. Mais si l’on oublie cette fin, le film est bon, bien fait, bien joué, pas ennuyeux. Ewan McGregor apporte même de la tendresse à son personnage qui mène un combat depuis qu’il était gamin. De toute façon, si l'on est curieux, on ira voir ce film, forcément. A.G.
    patosud26
    patosud26

    105 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2019
    Stephen King a le don pour créer des personnages tellement vivants, qu'il est toujours difficile de tourner la page et de plonger dans un autre livre. C'est un peu le même ressenti avec cette adaptation. Tous les sentiments y passent en fonction du personnage. Même si Danny a le Shinning, c'est un personnage ordinaire, qui a peur, qui se met en sommeil, l'alcool tenant le rôle de somnifère. Et puis il a un sursaut, aidé par celui qui devient son seul et meilleur ami... Ensuite, survient Abra, qui elle aussi à le Shinning, et il replonge dans cet univers fantastique qu'il avait mis tant d'énergie à fuir. C'est beau, c'est fort, avec tout un tas de référence à The shinning. Peut-on voir l'un, sans avoir vu l'autre, probablement que oui, mais alors toutes ces références vont vous échapper et elles sont pourtant croustillantes et effrayantes à la fois.
    Gregory S
    Gregory S

    26 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2019
    Ce n'est pas la suite de Shining mais un film sur le Shining il faut se mettre ça en tête. Ça reste un honnête film qui se laisse regarder et qui passer assez vite malgré sa durée de 2h30. Et même s'il ne s'agit pas à proprement parler d'une suite c'est préfèrable d'avoir vu Shining pour apprécier les nombreux hommages.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    J'ai adoré ce film, l'histoire tient la route de bout en bout et les performances de Rebecca Ferguson et Emily Alyn Lind sont excellentes j'ai adoré leur personnages 👌🔥. Je recommande fortement ce film !!!
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