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    Homeland : Irak année zéro - partie 1 / Avant la chute
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    23 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 février 2016
    Nous sommes tous des Irakiens! Voilà enfin un film qui donne un visage aux Irakiens. On sort du film ému, émerveillé et en colère. Emu par tous ces visages et regards, d'enfants et d'adultes, qui nous disent leur humanité. Emerveillé de découvrir la beauté d'un pays que les médias ont réduit à quelques clichés. Et en colère contre les mensonges de guerre qui ont plongé l'Irak dans le chaos, un chaos qui a débordé jusqu'à nos rues.
    Paris10
    Paris10

    79 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 février 2016
    Prodigieux par sa durée (5h34 - en deux parties), sa dimension historique (la première partie se passe les quelques semaines qui précèdent la chute de Saddam Hussein, la seconde pendant les premiers mois de l'occupation américaine), sa dimension humaine (il fait de sa famille que nous suivons pendant près de deux ans, notre famille et que l'on quitte le coeur brisé quand le film prend brutalement fin), sa dimension politique évidente tant cette guerre d'Irak a provoqué un bouleversement dont les conséquences n'ont pas fini de se faire sentir. Cette fresque cinématographique est une expérience humaine inédite, une sorte "d'anti American sniper" qui transforme à jamais le regard de son spectateur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 février 2016
    Rarement un documentaire a su montrer avec une telle intimité les ravages de la guerre. Homeland est un grand moment de cinéma et d'humanité.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 février 2016
    Ce film m'a mit une claque.

    Effectivement sa durée peut faire peur et rebuter mais il ne faut pas s'arrêter à ça.
    On s'attache à cette famille, on vit à travers elle son quotidien, ses peurs, ses interrogations.
    On découvre une autre culture où malgré la peur les personnes continuent de sourire et positiver.

    La première partie peut sembler longue mais il ne faut surtout pas que cela vous empêche de voir la seconde partie que je trouve meilleure dans le sens où les langues se delient où on comprend mieux la première partie. On ne voit pas le temps passer.

    Et que dire de ce petit bonhomme auquel on s'attache tout naturellement par son sourire et ses répliques spontanées et apprendre ensuite son tragique destin. Se dire qu'on a appris a le connaître par ce film et que ce n'est pas une fiction mais une réalité vraiment c'est dur à encaisser.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 décembre 2015
    Il serait insuffisant de parler de Homeland comme d'un film. Vue l'ampleur de l'oeuvre, il conviendrait mieux de parler de film-fleuve, de film-monde ou film-pays. De fait, plus qu'un film, c'est une expérience de vie dont on sort boulversé, changé. J'ai découvert le film au festival de Carthage et ses images continuent à me hanter. Il est rare que de grands événements ou bouleversements historiques donnent naissance à des oeuvres artistique à la hauteur de l'importance des dits événements. Homeland, comme le Guernica de Picasso, fait partie des rares oeuvres artistiques qui y parviennent. Pour le cinéma documentaire, pour le cinéma tout court, les cinq heures et demie de Homeland constituent une date marquante, comme Nuit et Brouillard, Shoah et A l'ouest des rails. Je ne veux parler du film en détails tant il fourmille de personnages, de visages et de scènes inoubliables. Et inutile de dire que j'ai hâte de le revoir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 février 2016
    Je suis ravie d'avoir vu ce film. J'espère que plusieurs personnes aient la même opportunité que j'ai eue hier et avant-hier de le voir. Ce film me marquera pour toujours. En plus du voile qu'il nous enlève, de l'émotion qu'il nous provoque, il est aussi une réflexion sur les plusieurs situations parallèles de perte de dignité traversées dans le monde. Définitivement subtil et profond.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 février 2016
    Excellent film, très prenant. Le réalisateur filme sa propre famille irakienne avant et après l'invasion américaine de 2003. On voit vraiment ce qui se passe sur le terrain, c'est passionnant. Ayant eu une vision des choses plutôt teintée par les medias américaines, c'est bien de voir un autre point de vue. J'ai vu le film en décembre lors d'un avant-première et je l'ai toujours en tête. Formidable!
    Archibald T.
    Archibald T.

    19 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 février 2016
    L'intention initiale est louable certes. Mais un documentaire demande un minimum de cohérence, de fil conducteur et d'un montage soigné et percutant.
    Ici les scènes s'enchaînent sans logique et on se demande où veut nous emmener le réalisateur.
    Nous sommes très loin d'un Pauline s'arrache.

    Très déçu par ce film où on pourra retenir cette phrase 'je rêve d'ouvrir un théâtre pour l'élite littéraire irakienne'. Un théâtre uniquement pou rl'élite? Tout est dit...
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    202 abonnés 1 910 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 février 2016
    J'ai beaucoup de mal à comprendre l'engouement de la critique - ou d'une partie de la critique. Disons le franchement, cette première partie ne présente pas le moindre intérêt et est mortellement ennuyeuse. Le réalisateur nous inflige par exemple un quart d'heure/vingt minutes de mariage oriental (riche), comme on en a déjà vu des centaines beaucoup mieux filmés. Tout est à l'avenant, on croirait un montage grossier de souvenirs de famille et de visites touristiques au bazar et au musée filmés au smartphone - ou l'équivalent de l'époque. Nous n'apprendrons rien sur la société irakienne, sinon que les Irakiens sont des êtres humains comme les autres et non des cibles de jeu vidéo. J'ignore si, comme le note un autre critique qui n'a pas apprécié ce film, le réalisateur a bénéficié d'une autorisation officielle, mais franchement il n'en avait guère besoin. Surtout pour filmer au moins 10 clips de propagande pour Saddam... Notons tout de même un passage émouvant quand les jeunes irakiens voient des jeunes occidentaux manifester contre la guerre, mais, sur 2 h 40, c'est peu. Je vais quand même faire l'effort de voir la seconde partie en espérant qu'elle sera plus intéressante...
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 058 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 février 2016
    Très déçu par la première partie, je ne sais pas si j'irai voir la seconde. Ce film a plusieurs gros problèmes qui plombent à la fois son rythme, mais aussi le fait qu'on puisse considérer ça comme un film, comme étant du cinéma. Alors j'aime beaucoup les documentaires et je suis le premier à les considérer comme de vrais films, c'est bien simple n'importe quel documentaire de Depardon ou de Marker enterrent n'importe quel autre film de fiction sur des sujets similaires.

    Sauf que là on est dans un genre de documentaire très particulier, on a un type dont on ne sait rien qui filme la vie de sa famille et d'autres gens par la suite dont on ne sait rien non plus, sans doute avec son camescope et qui fait un montage a posteriori pour dire voilà ça c'était la vie avant la guerre et ça la vie après (enfin je suppose, comme dit je n'ai pas vu la seconde partie). Et là plein de questions se posent, avait-il l'intention d'en faire un film au départ ? quelle quantité de rush avait-il à sa disposition ? que voulait-il faire exactement ? un portrait de sa famille ? un portrait de son pays ? aborder un maximum de sujets sur la vie en Irak ? Et j'avoue qu'après avoir vu ce film je ne suis pas plus avancé que ça.

    J'ai trouvé ça extrêmement foutraque, très long et plus intéressant que ça n'est bien. Forcément voir la vie des irakiens avant la guerre c'est intéressant, n'importe quel document datant de cet époque serait intéressant et c'est ce que montre ce film. Mais en vrai... ça ne suffit pas pour que ça soit bien. Ca ne suffit pas car il ne se passe rien dans ce film entre les personnages et le spectateur, c'est juste des gens, on ne sait rien sur eux pour qu'on puisse s'attacher à eux, les prendre en empathie ou que sais-je. On a juste un gamin super chiant, un peu effronté, mais aussi assez attachant dont on apprendra au travers d'un banal sous-titre qu'il est mort après l'arrivée des américains, sinon tous les autres ne sont pas vraiment présentés, on ne sait pas ce qu'ils pensent, on n'arrive pas à les différencier les uns des autres... C'est dommage...

    Je pense que oui on peut filmer ça, mais il faut s'en donner les moyens, alors ce n'est pas forcément facile avec des images tournées il y a plus de 10 ans de faire un montage permettant de tout explique, mais c'est pour ça qu'on aurait pu recourir à de la voix off, commenter, savoir qui parle, d'où il parle. Parce que là je ne sais pas s'ils sont importants ou non, si on va les revoir et même pire je m'en fous vu que je ne les connais pas.

    Je ne sais pas si ces gens ont un niveau de vie moyen, un haut niveau de vie, s'ils sont pauvres, s'ils sont issus d'un milieu culturellement élevé ou non... on parle juste deux fois rapidement de livres, mais ça ne dit pas grand chose.

    Donc oui, on peut filmer des scènes de vie, c'est intéressant, mais il faut encore savoir le faire, pour moi il y en a une qui fonctionne avec juste trois personnages, le gamin chiant, une fille et un oncle, on voit le gamin pomper, reprocher à la fille de ne pas pomper et d'avoir quand même les bénéfices d'une eau claire lorsque la guerre éclatera.

    Mais tout le reste c'est bien trop court pour qu'à un moment donné il se passe quelque chose entre le spectateur et la personne filmée.

    C'est d'autant plus vrai qu'il filme à plusieurs moments sur la fin des portraits d'anonymes, on s'en fout... il ne se passe rien, le réalisateur n'a pas le talent pour capter immédiatement l'âme d'une personne sur pellicule. Là je vois juste un gars filmer des gens et rien de film.

    C'est ça le problème il n'arrive jamais à créer de l'émotion, de faire en sorte que ça ait un impact, pourtant son film dure une plombe, il aurait le temps de développer tout ça. Je pense même qu'il aurait dû faire comme Herzog et aller poser des questions, les questions qui l'intéressent pour rythmer tout ça. Filmer la vie de Bagdad est une bonne idée mais ici ça ne rend absolument pas, je ne vois même pas comment ça pourrait rendre, on ne sait pas réellement quand on est (on arrête bien vite de nous donner des indications de temps), c'est très bref, alors que c'est très intéressant.

    En fait le film tente de tout montrer à la fois, la famille, et Bagdad et la vie intellectuelle du pays et ça et ça. C'est trop. Déjà parce qu'un documentaire aussi intimiste ne peut avoir comme ambition de montrer tous les aspects, ça donne quelque chose de bien trop artificiel, mais surtout ça manque de direction, je ne sais pas où va le film.

    Cependant si cinématographiquement je n'aime pas ce film qui m'ennuie pas mal malgré quelques rares bonnes idées, ça reste un document très intéressant même si les conditions de fabrication sont floues : comment est-ce filmé, les dialogues sont-ils induits ? Le choix du montage final est-il représentatif de tout ce qui a été filmé ? On parle beaucoup de la guerre, est ce que c'est induit par le réalisateur, est-ce-que les gens parlaient de ça tout le temps, etc. Il faut garder un recul critique car il y a forcément manipulation, volontairement ou non au montage. On ne voit pas la réalité.

    Cependant j'aime beaucoup voir des gens normaux, avec leurs pulls USA dans les rues de Bagdad, les réactions aux manifestations contre la guerre en Irak (d'ailleurs d'autres réactions, comme aux clips de Saddam auraient été intéressantes), voir comment on fait à manger, comment les gens vivent...

    Mais c'est surtout un rappel que Bush fils a attaqué l'Irak à peine une décennie après que son père l'ait fait (que dirait Freud ?), que se sont des gens normaux, qui regardent la télé, font leurs courses et que les crimes des USA sont réels, que Saddam dit des choses très sensées sur les USA qui ne sentiront en sécurité uniquement lorsqu'ils seront les seuls à avoir une technologie avancée, sur leur volonté de prendre le pétrole ou sur le fait que les USA ne sont pas dans leur droit ou dans la justice à traverser les océans et aller attaquer un pays qui est sur ses terres etc. Et si Saddam a payé de sa vie ce qu'il a pu faire au peuple irakien (qui n'a pas l'air de souffrir le martyr (et j'aime ça, voir qu'on est pas entrain de chouiner, mais qu'au contraire on a une position assez neutre envers lui)) Bush père et fils n'ont jamais payé ce qu'ils ont fait subir au peuple irakien et pour ce que le peuple irakien continue de subir.

    Je sais bien que les vainqueurs écrivent l'histoire mais c'est assez scandaleux... Après la secondaire guerre mondiale on a envoyés les journalistes visiter les camps pour montrer la barbarie nazie, pourquoi là on n'a pas envoyé les journalistes visiter les abris bombardés par les américains avec des enfants, des familles mortes par centaines à l'intérieur ? (à quand la statue de Bush érigée par Daesh, sans qui rien n'aurait été possible ?

    Et c'est parce que j'ai envie de voir l'état du pays après la guerre que j'irai sans doute malgré tout le mal que je peux penser cinématographiquement de ce film, voir la seconde partie. Pas parce que le film est bien, mais parce qu'il montre malgré tout des choses, même si c'est mal monté, trop long et que ça manque de réels propos ou tout simplement de mise en scène. Car si c'était juste pour prendre des images au hasard, on aurait pu en prendre plein d'autres, d'autres vidéastes amateurs, il ne devait pas être le seul.

    Je trouve ça vraiment dommage que tout ceci n'ait pas été intellectualisé, ou alors quitte à donner dans le brut, pourquoi ne pas avoir mis juste 3 ou 4 longues séquences de 40 min où on voit un dîner de famille, ça m'aurait passionné, mais ce zapping entre différents sujets pour 3 à 5 min ne peut pas me passionner. Comme je l'ai dit, je ne sais pas qui sont ces gens et tu ne me laisses pas le temps de le savoir, surtout que formellement c'est pas ça, c'est très amateur...

    Il fallait faire un choix, les longues séquences ou bien la voix off, ou ce que tu veux pour expliciter le contexte... aucun des deux n'a été fait... on a une sorte de truc assez informe...

    C'est d'autant plus terrible qu'on sait que aujourd'hui les irakiens n'ont pas fini de subir la guerre sur leur sol.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 février 2016
    Un film magnifique, qui nous éclaire sur la complexité du conflit, sur le détachement d'un peuple face à la fatalité. Un regard juste et touchant, on ne voit pas le temps passé.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2016
    Une famille à l’aube, encore en pyjama, prenant le thé devant la télévision. Le ton est donné, on a l’impression d’être dans un film de famille. Effectivement, Abbas Fahdel ne dessine pas le portrait d’une famille irakienne, il filme tout simplement la sienne. Installé en France depuis ses dix-huit ans, le cinéaste apprend douze ans plus tard que les Etats-Unis s’apprêtent à lancer une nouvelle offensive contre son pays natal, alors que celui-ci est encore sous l’embargo de la précédente guerre. C’est alors qu’il rentre au pays pour filmer tous les membres de sa famille et un peu tout ce qu’il veut, tant pis si ça ne servira pas au montage. Car cette première partie d’Homeland décrit le mode de vie d’une famille irakienne en toute simplicité. Ainsi, on les rencontre toujours très calme devant la télévision, qui fait office de pièce centrale. Les programmes télé défilent des clips montrant Saddam Hussein en héro sans reproche. On ne sait pas encore si la famille se rend compte de la propagande omniprésente et de la censure des programmes. La famille aisée se prépare non pas sans joie à l’annonce d’une guerre prochaine. Ainsi, on les voit creuser un puits, aller chercher des provisions de médicaments et de nourriture, refaire les scotchs qui solidifient les fenêtres et surtout on attend. Chacun continue comme il peut à vivre. Avec humour Abbas Fahdel suit sa famille au marché, filme des établis et les visages pour la plus grande joie de tous. Malgré ce bazar, où un nombre incalculable d’enfants courts de partout, la vie semble belle, presque apaisée, alors que tout est finalement contrôlé. Homeland : Irak année zéro – partie 1 : Avant la chute est une fresque de vie de près de trois heures qui laisse une trace de cet entre-deux guerres où chacun vit le mieux possible sa vie en restant toujours optimiste.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    Loïck G.
    Loïck G.

    334 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2016
    On a souvent parlé des ravages de la guerre, filmé le désarroi dans lequel sombre des populations tout entière mais cette fois Abbas Fahdel nous montre avec une simplicité poignante le quotidien de gens qui s’apprêtent à recevoir des bombes et à en mourir. Le plus souvent c’est un gamin de 12 ans, Haïdar qui nous sert de guide et de repère, à travers une ville et une Histoire marquées par plusieurs conflits et une culture ancestrale fortement ancrée dans la famille. En l’occurrence, celle du réalisateur. C’est le ciment de ce document qui tout en relevant les malheurs et ses conséquences abominables, ne s’appesantit jamais sur le noir et la douleur. Il en ressort encore plus de vérités premières sur les affres d’un événement qui des années durant demeurera dans le cœur et les esprits de ses protagonistes.

    Avis bonus Une courte interview du réalisateur
    Pour en savoir plus
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 mai 2017
    Ce documentaire fleuve nous montre la vie d’une famille irakienne avant puis après l’invasion de leur pays par les Américains en mars 2003. La tension monte à l’approche de la guerre, et il est étonnant d’entendre les arguments de Saddam Hussein à la Tv qui, avec le recul, paraissent on ne peut plus lucides et réalistes, pointant avec beaucoup de justesse cette volonté des Américains d’imposer au Irakiens un ordre nouveau, malgré eux. Un peu plus et le réalisateur ne serait pas loin de le réhabiliter. Du reste, l’ont voit la vie quotidienne de cette famille, dont les occupations et préoccupations ne diffèrent guère de celles des Occidentaux. Montrer l’autre afin de ne pas le réduire a de vulgaires préjugés, voilà un des enjeux principaux de ce documentaire, qui nous montre très bien, dans cette première partie, les états d'âmes et les modes de vie de ces gens, ainsi que leurs craintes face à l'imminence de la guerre. Bref, peut-être le meilleur documentaire de 2016, comme vous pouvez le voir dans mon classement des meilleurs films de l'année sur mon blog, où se trouvent également des critiques (illustrées et avec quelques extraits) sur quelques uns des films de l'année : 7emeart.wordpress
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 février 2016
    Les mauvais réalisateurs restent mais les critiques changent. Je vous rappelle ce que Première écrivait pour le précédent film d'Abbas Fadhel et qui s'applique de la même manière à son homeland : "Etait-il nécessaire d'avoir recours à une intrigue simpliste de roman photo où chaque personnage est figé dans sa nature archétypale?"
    Les meilleurs films de tous les temps
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