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Film-somme et film-monde, "Homeland (Irak Année Zéro)" marque d'une pierre blanche l'histoire du cinéma irakien, et constitue un document d'une ampleur inédite sur les racines des dérèglements géopolitiques actuels.
Peu porté sur le spectaculaire, (...) ce documentaire fleuve dégage pourtant une puissance tragique folle. Elle émane de son regard immersif, plein d’intelligence et d’empathie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le film expose simplement et directement les points de vue et les problèmes concrets de l’Irakien moyen qui doit continuer à vivre au milieu du chaos déclenché par l’invasion américaine…
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
"Homeland", jamais spectaculaire, jamais voyeuriste, est pourtant traversé de scènes terribles et magnifiques, qui clouent le spectateur sur son siège.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Impossible de ne pas avoir la gorgée nouée, quand la triste réalité nous éclate à la figure. De ne pas songer à tous les regards d’enfants que le cinéaste a immortalisés pour ne pas qu’on les oublie.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Ce documentaire en deux parties est une immersion au sein de la famille irakienne du réalisateur entre 2002 et 2003. Une durée moindre aurait mis en valeur les formidables informations que recèle cette chronique.
Critikat.com
"Homeland", sans jamais s’appesantir sur l’horreur et la douleur, est aussi un caveau de famille, un film mémorial du peuple irakien.
L'Obs
Saisissant, captivant, essentiel.
Le Journal du Dimanche
Personnel sans être impudique, (un) documentaire passionnant.
Le Monde
(Un) documentaire d'une ampleur et d'une urgence inouïes, une terrassante densité émotionnelle.
Les Inrockuptibles
Élégance du filmage et fluidité du montage. Le grand film intimiste sur la guerre d’Irak.
Positif
Film-somme et film-monde, "Homeland (Irak Année Zéro)" marque d'une pierre blanche l'histoire du cinéma irakien, et constitue un document d'une ampleur inédite sur les racines des dérèglements géopolitiques actuels.
Première
Peu porté sur le spectaculaire, (...) ce documentaire fleuve dégage pourtant une puissance tragique folle. Elle émane de son regard immersif, plein d’intelligence et d’empathie.
Studio Ciné Live
Un documentaire exceptionnel qui offre un oeil neuf sur ce pays ravagé par les guerres.
Cahiers du Cinéma
La traversée cinématographique du homeland irakien parvient à transformer notre conscience à l’échelle du monde.
L'Humanité
Le film expose simplement et directement les points de vue et les problèmes concrets de l’Irakien moyen qui doit continuer à vivre au milieu du chaos déclenché par l’invasion américaine…
La Croix
"Homeland", jamais spectaculaire, jamais voyeuriste, est pourtant traversé de scènes terribles et magnifiques, qui clouent le spectateur sur son siège.
Paris Match
Impossible de ne pas avoir la gorgée nouée, quand la triste réalité nous éclate à la figure. De ne pas songer à tous les regards d’enfants que le cinéaste a immortalisés pour ne pas qu’on les oublie.
Transfuge
"Homeland" nous permet de mieux comprendre la complexité actuelle, en nous permettant de regarder enfin de l'autre côté de l'écran.
Télérama
"Homeland : Irak année zéro" nous laisse avec l'impression tragique qu'un grand film de guerre a miné le film de famille.
Les Fiches du Cinéma
Ce documentaire en deux parties est une immersion au sein de la famille irakienne du réalisateur entre 2002 et 2003. Une durée moindre aurait mis en valeur les formidables informations que recèle cette chronique.