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Christian B.
17 abonnés
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4,5
Publiée le 20 juillet 2012
Un film long mais excellent avec la vie d'une famille juive Hongroise sur plusieurs génération , on ne tombe , ni dans la mièvrerie , ni uniquement dans la violence , on montre comme on a jonglé avec un peuple , comme on l'a utilisé , tragique .....On montre aussi l'idéologie Nazisme ou communisme ou Stalinisme sans tombé dans l'excés , super beau film
13 583 abonnés
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4,0
Publiée le 7 octobre 2016
Après "Chère Emma" (et sept annèes d'absence), voici le nouveau film du cèlèbre rèalisateur hongrois Istvan Szabo! Des passions secrètes et des trahisons tragiques se dèroulent en même temps que des bouleversements mondiaux! La destinèe romantique d'une famille juive au XXe siècle nous donne un excellent film à l'arrivèe! L'histoire des Sonnenschein reflète fort bien celle de la Hongrie! Le film dèpeint un champ social, domestique, èmotionnel et spirituel! Ralph Fiennes (qu'il serait temps de reconnaître comme l'un des meilleurs de sa gènèration) rèussit l'exploit de jouer un père, son fils et son petit fils au cours de trois gènèrations d'une même famille! Une saga familiale très dense qui bènèficie d'une interprètation sans faille avec de belles images. "Sunshine" est aussi un des plus beaux films de son auteur! C'est une oeuvre qui touche à nos èmotions profondes avec de l'amour, du dèsir (difficile de rèsister à Jennifer Ehle), de la haine, de la peur, de l'ambition et de la confusion! Une histoire qui parle aussi de politique et de trahison, des relations au sein d'une famille! il est fascinant de penser que des gens, èlevès dans un pays, ne puissent pas y vivre en paix tels qu'ils sont! spoiler: La scène de torture d'Adam, le cadet qui devient un joueur d'escrime de haut niveau, est vraiment effrayante à voir! C'est comme une brûlure dans le cerveau! Ineffaçable! Elle nous montre en même temps les atrocitès des camps pendant la Seconde Guerre Mondiale! La dernière partie du film nous montre un homme cherchant qui il est! Parce que dans les deux autres parties, les gens sacrifient leur personnalitè profonde! Près de 3h de grand cinèma...
Une fresque historique magnifique, Ralph Fiennes égal à lui-même: un énorme acteur. Cette saga n'est pas seulement celle d'une famille judéo-hongroise: c'est, à travers elle, l'histoire de toutes les familles européennes qui défilent sous nos yeux,l'histoire mouvementée, grande, tragique et belle de notre continent.
Une fresque magnifique de délicatesse et dhumanisme, qui prend comme fil conducteur lantisémitisme et ses ravages à travers le 20ème siècle, illustré par la destiné douloureuse dune famille juive. Toujours filmé à auteur dhomme, sans fioritures stylistiques mais avec de belles idées de mises en scènes (Ralph Fiennes qui incarne tous les patriarches de chaque génération ), Szabo ne possède pars le lyrisme dun Cimino, ni lélégance dun Visconti, mais le rythme singulier quil impose à son film vous séduit sans que vous vous en rendiez compte, et sa petite mélodie filmique arrive à faire passer de grandes émotions.
Quel dommage ! Malgré une histoire intéressante et une approche originale, l'ensemble manque singuliérement de réalisame, et ce à cause des personnages à peine esquissés et qui manquent de profondeur. Et ça plombe l'ensemble.
Sunshine est un excellent film de Istvan Szabo. La mise en scène du réalisateur est irréprochable, le scénario est recherché et travaillé, le film est intéressant, les acteurs comme le grand Ralph Fiennes, mais aussi Deborah Unger Rachel Weisz sont convaincants dans leurs rôles et pour finir, on ne voit pas le temps passer en visionnant le long-métrage. Bref, c’est à voir…
Je n’ai pas eut l’impression que la mayonnaise ait bien pris, entre la petite histoire de cette famille juive et la grande histoire qui bouleversa le monde et l’Europe pendant près d’un siècle. Malgré les images d’archives et les rappels historiques, on ne retient que les amourettes des uns, et les tracasseries des autres qui cherchent à grimper l’échelle sociale. Aucun souffle romanesque, juste un mélo avec quelques paravents historiques pour faire sérieux. Le manque de moyens fait qu’on voit juste une reconstitution d’époque et non la fresque historique attendue. Et puis cette actrice avec un faux air de Meryl Streep, je ne sais pas si c’est fait exprès, mais ça ne passe pas, j’ai eut l’impression qu’il essaie de la faire jouer comme elle. Et puis Ralph Fiennes qui joue trois fois exactement le même rôle, c’est un peu téléphoné.
Le destin d’une famille juive hongroise, lié à la grande Histoire de l’Europe au XXe siècle. Une saga familiale dense et captivante, incarnée par un casting impeccable, avec notamment le charismatique Ralph Fiennes dans trois rôles sur trois générations.
Sunshine (2000) est une très belle fresque historique, dont il est nécessaire d’être attentif (d’une durée de près de 180 minutes au compteur), le film d’Istvan Szabo est une épopée retraçant l’histoire d’une famille juive hongroise sur trois générations tout au long du XXème siècle. Le plus surprenant (et déstabilisant pour certains), est de retrouver Ralph Fiennes dans la peau du protagoniste principal à chaque génération. Une histoire basée sur des faits réels qui s’avère passionnante, voir émouvante par moment. Mais sa longueur excessive aurait trouvé une meilleure place au sein d’un téléfilm en plusieurs parties plutôt qu’en un seul et même long-métrage où bien évidemment, les ellipses sont inévitables afin de pourvoir faire tenir le film sur une durée plus facilement exploitable dans les salles de cinéma. A côté de cela, il est tout de même important de souligner la très belle prestation de Ralph Fiennes, aux côtés d’une riche distribution où l’on y retrouve entre autre : Deborah Unger, Rachel Weisz, James Frain, Rosemary Harris & John Neville.
J'aime beaucoup les fresques mais celle de sunshine est trop fade. Trop de sentimentalisme répétitif, de "l'herbe est toujours plus verte ailleurs". Les personnages n'ont pas d'intérêt humain. 2,9/5
Istvan SZABO signe là une superbe fresque de l’histoire de la Hongrie, depuis la fin du 19ème siècle jusqu’après le milieu du 20ème à travers la vie d’une famille juive, les SONNENSCHEIN. On peut, certes, trouver le film un peu long, on peut reprocher au réalisateur d’avoir confié trois rôles au même Ralph FIENNES mais il s’agit là de détails, la force du récit n’en souffre pas. En revanche, pourquoi Maurice JARRE s’est-il autorisé à massacrer la Fantaisie pour piano à quatre mains de Franz SCHUBERT, qui revient en version orchestrale et « arrangée » à maintes reprises ? Le comble, c’est qu’il n’a même pas songé à un choix plus pertinent : la Mélodie hongroise, du même compositeur !
L'intérêt de ce film et de voir l'évolution de l'Autriche et de Longris, à la fin d'un règne est au début de notre règne qui est le nazisme, le stalinisme et tous les dégâts collatéraux Sur un plan sociologique, politique, économique et surtout idéologique.