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Votre avis sur La Mécanique de l'ombre ?
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Trame minimaliste, interprétations sobres, absence d’effets de manche, autant de choix tranchés pouvant rebuter une grande majorité de spectateurs à l’ère des séries télévisés aux intrigues ciselées nécessitant un micro-rebondissement toutes les quinze minutes. Et de fait ce film ne convaincra pas les sceptiques résumant le cinéma français à ses deux versants principaux, introspections sous valium et comédies crétines. La mécanique de l’ombre reste concentré sur le factuel, s’embarrasse peu des dilemmes de ses protagonistes, se montre rarement drôle, jamais démonstratif. D’où sa relative brièveté pour surfer sur un thème, l’espionnage politique, pourtant susceptible de donner lieu à des fresques impérissables. D’où ce jusqu’au boutisme consistant à n’apporter qu’une partie des éléments d’explication, laissant au spectateur la jugeote de relier les pièces du puzzle. François Cluzet excelle en bon petit salarié moyen se retrouvant mêlé à un univers le dépassant, Denis Podalydès incarne à merveille un froid manipulateur, Sami Bouajila intrigue dans sa composition de chef des renseignements à la vie trouble. Le second rôle féminin, relativement plat, est la seule tâche au tableau tant son existence semble être purement utilitaire. Hélas les ficelles se dénouent en laissant émerger un sentiment de « Tout ça pour ça ! » chez le spectateur. Comme si la pudeur du film se retournait contre lui. Il manque ne serait-ce qu’un petit virage narratif ou une audace de point de vue pour auréoler cette fiction d’un supplément d’âme.
Très bon film, avec de formidables acteurs (Cluzet, Podalydès, Bouajila...). Il y a un suspens jusqu'à la fin.
Un très bon thriller et surtout un très bon premier film pour Thomas Kruithof.
Un très bon thriller et surtout un très bon premier film pour Thomas Kruithof.
Deux ans après un « burn-out », Duval ne parvient pas à sortir du chômage. Contacté par un homme d’affaire énigmatique, il se voit proposer un travail simple et bien rémunéré : retranscrire des écoutes téléphoniques. Aux abois financièrement, Duval accepte sans s’interroger sur la finalité de l’organisation qui l’emploie.
La mécanique de l'ombre est un thriller politique dans lequel un chômeur accepte un job de retranscription d'écoutes qui finissent par lui mettre la puce à l'oreille. Il a mis le doigt dans un engrenage qui va rapidement le dépasser.
Le film de Thomas Kruithof flirte avec l'ambiance du "procès" de Kafka pour son coté secret et implacable et "Adieu poulet" pour son coté politicard franchouillard pas net...ce qui sied à la période que nous traversons.
J'ai trouvé le film moyen. Il se laisse regarder et on prend plaisir à voir le regard de Duval (François Cluzet) devenir de plus en plus inquiet face à une situation qui le dépasse et qui le rend de plus en plus paranoiaque. D'autant plus qu'entre un commanditaire énigmatique et maniaque (Denis Podalydes), un collègue encombrant (Simon Abkarian), une collègue de son groupe de parole (Alba Rohrwacher) paumée mais vraiment curieuse, la situation se tend dangereusement tout autour de lui...
La dernière demi heure est assez amusante, hélas, le film ne se situant pas dans ce registre. Pour clôturer l'intrigue, un retournement de situation invraisemblable presque comique...ce qui fait passer Labarthe (Sami Bouajila), gradé de la DGSI, pour un ambitieux sans scrupules âpre au gain soit dit en passant.
Le tout filmé dans le quartier bien choisi et déshumanisé de la Défense ne m'a pas semblé trop convaincant.
La mécanique de l'ombre est un thriller politique dans lequel un chômeur accepte un job de retranscription d'écoutes qui finissent par lui mettre la puce à l'oreille. Il a mis le doigt dans un engrenage qui va rapidement le dépasser.
Le film de Thomas Kruithof flirte avec l'ambiance du "procès" de Kafka pour son coté secret et implacable et "Adieu poulet" pour son coté politicard franchouillard pas net...ce qui sied à la période que nous traversons.
J'ai trouvé le film moyen. Il se laisse regarder et on prend plaisir à voir le regard de Duval (François Cluzet) devenir de plus en plus inquiet face à une situation qui le dépasse et qui le rend de plus en plus paranoiaque. D'autant plus qu'entre un commanditaire énigmatique et maniaque (Denis Podalydes), un collègue encombrant (Simon Abkarian), une collègue de son groupe de parole (Alba Rohrwacher) paumée mais vraiment curieuse, la situation se tend dangereusement tout autour de lui...
La dernière demi heure est assez amusante, hélas, le film ne se situant pas dans ce registre. Pour clôturer l'intrigue, un retournement de situation invraisemblable presque comique...ce qui fait passer Labarthe (Sami Bouajila), gradé de la DGSI, pour un ambitieux sans scrupules âpre au gain soit dit en passant.
Le tout filmé dans le quartier bien choisi et déshumanisé de la Défense ne m'a pas semblé trop convaincant.
Ce film n’a pas eu le box-office qu’il mérite. J’ai réussi à le voir in extremis un mois après sa sortie dans un cinéma indépendant du 5ème arrondissement de Paris, doté d’une caissière antipathique, qui agresse au lieu de parler et qui ne sait pas sourire, dans une salle riquiqui, bas de plafond et aux nombreux fauteuils cassés. Et pourtant, c’est un bon thriller où l’on s’inquiète petit à petit pour le héros qui est, malgré lui, dans un sacré « merdier » et où l’on a du mal à imaginer comment il va bien pouvoir se sortir de sa situation qui semble vraiment inextricable. Le film, bien que concernant les services secrets, dont les informations filtrent par essence très peu, semble très bien documenté et proche de la réalité pas toujours connue, si ce n’est au détour de quelques faits divers. C’est un premier film de Thomas Kruithof, fait avec peu de moyens financiers, mais qui bénéficie d’un très bon scénario. On n’est pas au niveau des meilleurs thrillers – à cause de quelques baisses de rythme çà et là - mais c’est prometteur pour la carrière de ce réalisateur.
Après un burn-out, un comptable (François Cluzet) va traverser 2 années compliquées à essayer de stopper sa dépendance à l'alcool et tenter de retrouver un emploi.
La chance lui sourit à nouveau : un homme mystérieux lui propose de travailler pour lui en retranscrivant sur papier des écoutes téléphoniques. Le mécanisme de ce polar est alors en place...
Du très bon Cluzet, dans une intrigue captivante à l'atmosphère lente et pesante.
J'ai aimé ce thriller plongeant un innocent au coeur d'un imbroglio entre les services secrets et un complot politique.
Prenant et plaisant.
La chance lui sourit à nouveau : un homme mystérieux lui propose de travailler pour lui en retranscrivant sur papier des écoutes téléphoniques. Le mécanisme de ce polar est alors en place...
Du très bon Cluzet, dans une intrigue captivante à l'atmosphère lente et pesante.
J'ai aimé ce thriller plongeant un innocent au coeur d'un imbroglio entre les services secrets et un complot politique.
Prenant et plaisant.
Brillant polar d’un petit nouveau bien prometteur. Dans le genre polar politique, genre peu exploité en France, Thomas Kruithoff réalise un film haletant bien que sans effets à l’américaine Le suspense comme la violence sourdent dans une atmosphère parfaitement retranscrite, une mise en scène sobre mais très esthétique et un scénario intelligemment monté. François Cluzet reste toujours excellent, plus mûr et plus épais (au figuré !) à chaque film et tous les seconds rôles, tous interprètes de premier plan, sont irréprochables et très crédibles, dans cet imbroglio tout à fait crédible (La baderne Reagan a bien fait chuter Jimmy Carter en bloquant le retour des otages US de Téhéran à des fins électorales en 1979). Seule la fin est un peu bâclée mais cela n’entache néanmoins pas ce très bon thriller sans esbroufe.
Un suspense haletant, qui nous tient en haleine avec une mise en scène parfois minimaliste. L'abstinence alcoolique gouverne le chemin du héros magnifiquement incarné par François Cluzet. Les hommes de l'ombre (incarnés par chacun dans leur style par Denis Podalydès, Sami Bouajila et Simon Abkarian) sont sordides à souhait, chacun dans leur style. La présence d' Alba Rohrwacher est une belle surprise. Seule figure féminine humanisée, donc porteuse de failles, elle est la rencontre salvatrice que fait le héros, qui n'a plus affaire qu'à la solitude affective et au lien fraternel du groupe des Alcooliques Anonymes. Les arrangements des politiques, qui prennent en otage les négociations pour la libération des otages, sont tout simplement à vomir. Cela n'est pas sans nous rappeler quelques faits historiques d'écoutes illégales, de libérations différées pour cause d'élections... Sans compter bien sûr les services secrets, qui fomentent secrètement des stratégies pour accroitre leurs pouvoirs. François Cluzet est définitivement un grand acteur !
Un bon film fan l'ensemble c'est plutôt bien interprété et bien réalisé mais il manque quelque chose pour en faire un très bon film.
Ce film de genre m'a beaucoup déçu. J'y avais été pour Francis Cluzet, espion manipulé malgré lui, qui était habitué à des grands rôles. J'ai trouvé le scénario particulierement confus. Un film a oublier
Je me suis profondément ennuyé et j'ai failli quitter la salle (ce qui est rarissime pour moi). J'ai trouvé le scénario mal écrit et invraisemblable. Même les excellents Cluzet et Podalydès sont à la ramasse complet. Bref, pour moi, un mauvais film, sans intérêt, même pas digne d'une soirée TV.
Un thriller politique passionnant, étouffant, l'intrigue est excellente. Le casting réussi à réunir 3 merveilleux acteurs : François Cluzet, Denis Podalydès et Sami Bouadjila, sans oublier Simon Abkarian.
Très bon film donc !
Très bon film donc !
Situation intéressante de rouage politique. Monté comme un thriller, on ne peut s'empêcher de penser que ça pourrait arriver, voire c'est déjà arrivé...
Très bon thriller, qui réserve son lot de surprises et de rebondissements, certains qu'on voit venir mais on se laisse prendre au jeu
Un leger suspens tout au long du film, des doutes jusqu'à la fin :)
Les acteurs sont parfaits dans leur rôle !
Les acteurs sont parfaits dans leur rôle !
un excellent film français, un casting de haut niveau. scénario captivant qui emprisonne peu à peu cluzet dans le monde des services secrets.
intime, bande son minimalistic et beaucoup de bons sentiments dans une société cruelle.
mis à part quelques frottements rien à redire.
intime, bande son minimalistic et beaucoup de bons sentiments dans une société cruelle.
mis à part quelques frottements rien à redire.
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