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    La Mécanique de l'ombre
    Note moyenne
    3,2
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    220 critiques spectateurs

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    conrad7893
    conrad7893

    276 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 décembre 2017
    Un film avec une ambiance oppressante porté par François CLUZET qui est parfait comme toujours et par une BO angoissante.
    Une histoire prenante dés les premiers instants;
    Suspens garanti
    un très bon film
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    186 abonnés 1 865 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 décembre 2017
    Ca commence vraiment de façon mystérieuse, malheureusement le scénario ne parvient pas à tenir la distance et nous révèle trop vite ce qu'on ne devrait savoir que, sinon à la fin, au cours du dernier quart d'heure. Les séquences "alcooliques anonymes" sentent le déjà vu. Enfin une mauvaise chute vient tout gâcher. Dommage car Cluzet et Podalydes sont excellents, chacun dans son registre.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 décembre 2017
    La mécanique de l’ombre cache sous ce titre banal et plat, un film brillant.
    Dans les coulisses du pouvoir où les hommes de main d’un candidat aux élections présidentielles et les services secrets « s’affrontent » avec des méthodes sournoises et violentes, inhérentes à la politique, un homme ordinaire se voit être la pièce centrale de l’échiquier, acteur et spectateur de sa tragédie.
    Cet homme interprété par François Cluzet c’est Duval, ancien comptable recruté comme trans.c.r.i.p.teur pour sa rigueur et pour son non-entourage que son alcoolisme a éloigné.
    Juste et touchant dans son interprétation, François Cluzet dresse le portrait d’un homme fragile, tourmenté puis décidé à sauver sa peau de cette machination.
    Le trio d’acteur qui l’entoure, Denis Podalydès, Simon Abkarian, Sami Bouajila est lui aussi séduisant.
    Mention spéciale tout de même à Denis Podalydès qui est particulièrement charismatique dans son interprétation froide et grave d’homme de main.
    La touche discrète et féminine de Sara jouée par Alba Rohrwacher n’apporte pas vraiment de saveur supplémentaire, cette amourette est clairement de trop dans le film sinon de lui voir une fin plus heureuse avec une suite à leur rencontre…
    L’atmosphère est assez pesante, l’absence de musique sinon le peu de présente n’y sont pas étranger tout comme les décors, je pense à l’appartement de Duval ou à celui où il est cantonné quotidiennement pour ses enregistrements mais aussi à une scène à la Défense…
    Un thriller réussi d’un jeune réalisateur, où la fiction n’est sans doute pas si lointaine d’une certaine réalité des dessous de la politique.
    bobmorane63
    bobmorane63

    165 abonnés 1 915 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 novembre 2017
    Un film d'espionnage qui s'appelle "La mécanique de l'ombre' plutôt bien huilée !! Premier long métrage de Thomas Kruithof et il est pétri de talent ce metteur en scène L'histoire d'un ancien alcoolique à la recherche d'n emploi depuis un moment qui, un soir, reçoit un coup de téléphone 'un homme mystérieux qui lui propose du travail de taper à la machine des écoutes téléphoniques seul dans un appartement avec des horaires et règlements strictes sans divulguer d'information dans son entourage. Le personnage central reçoit la visite d'un soit disant supérieur sur le lieu de travail mais la suite va virer à la paranoia de savoir en quelles personnes faire confiance ou le contraire. et que faire pour s'en sortir. Un long métrage au suspense haletant du début à la fin , c'est bien scénarisé, bien mis en scène, les comédiens comme François Cluzet en détresse, Denis Podalydès, Sami Bouajila, Simon Abkarian entre autres sont remarquables. Une oeuvre que je conseille vivement.
    Stephenballade
    Stephenballade

    373 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 novembre 2017
    Je ne sais pas si c’est parce que j’ai regardé ce film sans rien en savoir, mis à part que François Cluzet figurait dans la distribution (ben oui, on ne peut l’ignorer puisque son nom est écrit en gros sur l’affiche), mais le fait est que je suis resté un peu dubitatif : je ne savais pas trop quoi en penser. Au point que je ne savais trop quelle note donner, comprise entre 2 et 4 (sur 5 bien entendu). Pourquoi ? Eh bien les questions qui m’ont inondé tout au long de "La mécanique de l’ombre" sont revenues plus en force à l’entame du générique de fin. Vous allez mieux comprendre dans ce qui suit. Pour commencer, nous découvrons François Cluzet en une sorte de secrétaire, clerc de notaire, un truc comme ça. Il se voit chargé de constituer un dossier pour le lendemain matin spoiler: (nous saurons plus tard qu’il travaillait pour un cabinet d’avocats)
    . La routine, quoi. Sauf que d’emblée, une atmosphère particulière se met en place par la musique mécanique de Grégoire Auger, et par la pression de dingue que se met Duval (donc François Cluzet) pour constituer ce fameux dossier au grand complet. Mais qu’est-ce qui l’inquiète à ce point ? Son patron avait pourtant l’air si bienveillant puisqu’il lui avait apporté une tasse de café… Bon le synopsis l’explique par un burn-out. Je veux bien, alors soit ! Puis nous retrouvons ce personnage deux ans plus tard, désœuvré, sans boulot, dont l’emploi du temps se résume à une recherche d’emploi et aux réunions des alcooliques anonymes. S’est-il fait virer ? L’entreprise pour laquelle il travaillait a-t-elle mis la clé sous la porte ? On n’en sait rien, en tout cas ce n’est pas clair et il faudra attendre un peu pour savoir ce qu’il en est. Il a démissionné. Mais est-ce la vérité ? Des fois, la fierté nous pousse à mentir, histoire de faire genre. Et c’est justement le cas de Duval : il fait genre que tout va bien, comme beaucoup de monde le ferait à sa place. Tout cela pour dire qu’on vient à douter de tout, y compris du champ de compétences du nouvel employeur de Duval, qui vient le chercher de façon peu académique. Excusez-moi, mais la prise de contact avec ce nouvel employeur a de quoi interpeller. La nature du travail, les questions posées spoiler: (notamment à propos de l’éventuelle appartenance politique)
    , les nombreuses consignes ont de quoi mettre la puce à l'oreille. J’avais même envie de dire à Duval de ne pas accepter ce job. Mais quand on est aux abois financièrement et qu’on se voit proposer un salaire mirobolant pour un simple travail de retranscription, il est difficile de refuser l’offre, surtout quand on a atteint un âge délicat pour réintégrer le monde du travail. Seulement une question persiste : qui est ce monsieur Clément (Denis Podalydès) ? Est-il vraiment le grand patron de cette mystérieuse entreprise ou travaille-t-il pour lui-même ou pour quelqu’un d’autre ? Dans ce cas, pour qui ? Mystère… En somme, le spectateur est mis quasiment au même niveau que le personnage principal, à savoir Duval. De ce point de vue-là, c’est remarquable. Car quoique le spectateur puisse en dire, il est accroché, prêtant sa plus grande attention dans les informations sorties des bandes magnétiques dévoilées dans un appartement impersonnel parce que presque vide, comme si ce bien immobilier était prêt à être vendu. On sait assez rapidement que Duval a mis les doigts là où il ne fallait pas : un engrenage prêt à vous broyer menu. Un inquiétant engrenage qui sera ensuite personnifié par l’intermédiaire de Gerfaut (Simon Abkarian), un être pas gêné pour deux sous, et qui va inspirer chez le spectateur de l’inquiétude vis-à-vis de Duval. spoiler: Une inquiétude qui va monter de plusieurs crans d’un seul coup dans la voiture, au beau milieu de la nuit parisienne.
    Gerfaut incarne aussi la descente aux enfers de Duval, et marque par la même occasion le tournant du film. Divers partis apparaissent, et on ne sait pas trop bien qui est qui. On comprend que Duval est plongé au cœur d’un complot politique. Mais on vient à douter de tout le monde, jusqu’aux flics ! La prestance monolithique de Labarthe (Sami Bouajila) y est pour beaucoup. En somme, on doute de tout et de tout le monde, sauf de Duval. L’atmosphère est anxiogène à souhait, limite étouffante. Paradoxalement, on n’a pas du tout envie de lâcher le morceau tant qu’on n’a pas le fin mot de l’histoire. La faute à une forte empathie pour Duval. On souhaite vraiment de le voir se sortir de ce mauvais pas, mais on ne voit pas comment. Et puis le final, qui part en cacahuète (pas dans le sens incohérence). Et les questions demeurent. Qui est qui ? Ces gens sont-ils vraiment ce qu’ils disent être ? Qui fait vraiment quoi ? Toutes ces questions demeurent, ce qui peut pousser à donner une note très moyenne. Seulement, "La mécanique de l’ombre" est un long métrage auquel il faut laisser le charme agir. Au fil des heures qui s’écoulent après le visionnage, les pièces du puzzle se mettent en place, à l’image de celui que Duval réalise patiemment sur la table de sa cuisine. Auquel cas une curieuse constatation s’impose comme une intime évidence : si les différentes personnes sont vraiment ce qu’elles disent être, on notera un manque de corrélation entre les services de renseignements et de police. Quoiqu’il en soit, François Cluzet est encore une fois parfait. Je trouve que cet acteur continue à se bonifier avec l’âge. Ici, il retranscrit à merveille l’esprit tourmenté de son personnage. Et en cela il signe une nouvelle performance. Pas suffisant toutefois pour que le premier long métrage de Thomas Kruithof emporte l’adhésion totale de tout un public pour toutes les raisons évoquées plus haut, et ce en dépit d’une réalisation paranoïde, accessoirement hypnotique sur les enregistrements torturés par les nombreux « play », « pause », « review », des enregistrements judicieusement montrés en gros plans. On appréciera aussi l’esthétique de certaines images, comme les ombres très marquées lors de l’arrivée au rendez-vous fixé dans ce stade. Une première œuvre donc très encourageante pour Thomas Kruithof, mais très difficile à noter.
    podilato14
    podilato14

    28 abonnés 158 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2017
    Un bon film d'espionnage, au début on se demande ou cela va nous amener mais petit à petit on comprend sans comprendre la fin ce qui est une bonne chose puisque cela apporte du suspens, François Cluzet joue très bien comme d'habitude, un fil machiavélique comme presque tous les films d'espionnage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 octobre 2017
    Un film correct mais qui est un brin lent. François Cluzet est convaincant comme la DGSE, mais l'action a dû mal à se dérouler...
    peter W.
    peter W.

    40 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2017
    Un petit thriller dans le monde des barbouzes qui distille une ambiance un peu oppressante, une réalisation austère mais efficace. Bon le final n'est hélas pas vraiment à la hauteur de mes attentes, pas très original et mou du genou mais il y avait une bonne base.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    179 abonnés 1 428 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 août 2017
    Un film un peu déconcertant à cause de son rythme peu soutenu. On nous propose une histoire qui, à mon goût, reste inachevée et à laquelle on n'a pas ajouté assez de détails pour s'y attacher davantage.
    Alain D.
    Alain D.

    531 abonnés 3 231 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 août 2017
    Ce thriller coécrit et réalisé par Thomas Kruithof laisse des impressions très mitigées. Il propose une ambiance austère, des personnages moroses et rigides, des décors froids et synthétiques d'une tristesse parfaitement en adéquation avec l'histoire. La première moitié du film se déroule sur un rythme extrêmement lent, sans décors, sans action, le tout à la limite de l'ennui. Le scénario s'anime ensuite très progressivement pour nous livrer une histoire abracadabrante et assez peu crédible. Heureusement, le jeu d'acteurs sauve la situation avec une bonne prestation de Simon Abkarian et un duo de grande classe dans les premiers rôles de Denis Podalydès et François Cluzet.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 juillet 2017
    C'est très très bon. François Cluzet et Denis Podalydes sont excellents dans leurs rôles respectifs qui nous mènent brillamment dans les arcanes des manipulations liées aux dessous de la vie politique et de ses cercles concentriques. Un final un peu rapide peut-être mais un des films forts et importants du début d'année 2017. A ne rater sous aucun prétexte.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 juillet 2017
    Rien que pour le jeu d'acteur de Cluzet, ça vaut le coup de voir ce film! Même si les moyens utilisés par les ""services secrets"" sont sujet à débats (une machine à écrire???), l'histoire reste prenante. Je trouve les scènes bien filmées. Les producteurs ont eu raison de donner la chance à ce film :-)
    Djo D
    Djo D

    59 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 octobre 2017
    Un trhiller sans chichi, juste porté par une trame solide et une intrigue qui laisse libre cours à l'interprétation du spectateur !
    nielrowbooks
    nielrowbooks

    22 abonnés 669 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juillet 2017
    Un petit air de vrai flotte dans le scénario qui retrace une bien sombre histoire tout à fait contemporaine. Le suspense ne décroche pas, et le spectateur s'imaginant à la place de l'infortuné chômeur prendra conscience de ce qu'il endure dans l'étau des services secrets. François Cluzet est au top, la réalisation aussi. C'est propre et net. A voir.
    clint54
    clint54

    22 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juin 2017
    Film français à l'honneur qui tranche bien entre le drame sociétale d'un côté et le thriller sombre de l'autre. Une manière également de transposé les faits divers actuels en rendant hommage à quelques films noirs des années 1980. Sans transgresser totalement le genre, ce long-métrage tisse lentement sa toile de suspense , méthodique .
    Manipulations et jeux du Pouvoir s'entrechoquent sur cet échiquier ténu de la transparence et de la Vérité. F.Cluzet et encore brillant dans le rôle titre et endosse à merveille cet anti-héros dépassé par les événements mais qui n'en reste pas moins très humain. Un spécial clap d'applaudissement pour D. Podalydes incarnant cette partie machiavélique de cette mécanique sombre et terrifiante. Le rythme lent donne cet impression parfois de malaise et accentue le côté très tendu et atmosphérique de certaines scènes qu'Alfred Hitchcock n'aurait pas renié. Le final reste cependant plus classique mais ne plombe pas pour autant la très bonne mise en scène de cette première oeuvre.
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