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GyzmoCA
184 abonnés
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3,0
Publiée le 3 mai 2018
La mécanique de l'ombre est un thriller politique au coeur des services secrets français entremêlés avec les partis politique. L'ambiance est pesante avec comme à son habitude un François Cluzet parfait dans son rôle. Les seconds rôles Denis Podalydès et Sami Bouajila incarnent parfaitement ces hommes de l'ombre en lutte secrète. Cependant il manque au film un scénario plus travaillé avec plus d'histoire. La trame est interessante (un homme innocent au coeur du système d'influence) mais il manque une vraie histoire qui en ferait un bon thriller. Dommage.
Une belle surprise. Film haletant, au scénario soigné, la mise en scène tient en haleine et l'on suit avec intérêt le cheminement de cet homme.. Intéressant
Un scénario sympa à suivre, Cluzet est vraiment très bon dans le film (il fait du Cluzet). Un rythme assez moyen malgré tout et au final un gout de (ouais ..; Sympa sans plus)
Malgré de talentueux acteurs, le film ne fait qu'emprunter les codes de l'espionnage sans arriver à y installer une atmosphere oppressante.
On suit un François Cluzet impeccable subissant les rebondissements du scénar mais sans véritable étincelle. Comme le personnage, on subit l'avancée de l'histoire sans se sentir vraiment concerné. La faute à un rythme trop monotone et à la pauvreté de la mise en scène.
pour ma part, j'ai l'impression que ce film est inspiré d'une histoire vrai. ces 3 otages libérés pendant les Elections, je m'en rappelle très bien. exemple : fillon on l'a fait tomber pour qu'ils perdent les éléctions,il a été laché et balancé par un intime. ce qui a laissé le chemin à macron. je pense qu'on voit que le bout de l'iceberg du monde pourri, qui nous gouverne. ce film me fait penser à l'affaire boulin, qui a été assassiné par des gens du gouvernement, car si il balançait tout ce qu'il savait, il aurait fait exploser le gouvernement. il y a eu beaucoup de preuves, qui ont démontré que c'était un assassinat, mais les commanditaires ont été couverts par les journalistes, la preuve, et tout le gouvernement, plus pressions sur certaines personnes. que ce monde est moche, le pouvoir pourrit tout. à découvrir
Un excellent thriller à la française porté par de fabuleux acteurs (Cluzet, Podalydès, Bouajila, Abkarian). Un scénario aux petits oignons magistralement bien ficelé pour une mise en scène soignée. La bande son est top et renforce l'atmosphère irrespirable de ce méli-mélo politico-complotiste.
Film sobrement réalisé, sobrement bien dialogué, et sobrement bien interprété. François Cluzet en tête. Il parvient à traduire, à travers ses silences, ses regards, ses peurs, ses doutes, ses interrogations, sa fragilité, sa solitude, ses échecs. Son personnage Duval n’est ni héros ni lâche, ni effacé ni brillant, juste un type ordinaire qui a tout simplement une conscience, et qui n’est pas à sa place. Il ne paie pas de mine comme ce grain de sable qui l’est. Le fameux grain de sable qui à lui tout seul peut enrayer les rouages tant vantés par Clément (Denis Podalydès), homme de l’ombre, d’une mécanique qu’il croit bien précise.
Un thriller honnête à l'atmosphère oppressante avec un Cluzet impeccable. Dommage que le scénario soit si opaque. Toute la tension accumulée durant la première heure s'évapore avec cette complexité inutile qui cache peut-être un manque d'idées...
Bonjour. Sujet très bon, acteurs merveilleux, mise en scène excellente, éclairage excellent, rythme excellent, alors pourquoi cette mauvaise note? Ce film rappelle Clouzot On est enchanté de ne plus savoir qui est le bon, qui est le mauvais, qui travail pour quoi, quel est ce travail. Le passage le plus intéressant lorsque le chômeur dans cette pièce nue entend la sonnette , va à la porte, regarde par le judas, voit un visage vieux et confus, il attend, il attend puis une femme vient prendre le vieillard et le reconduit dans une chambre. Là on avait un virage possible vers un film "à la Kafka" et cette ligne est totalement abandonnée. L'auteur rate aussi la possibilité de faire taper à la machine un texte sans aucun sens, Conan Doyle l'avait fait avec le mystère des rouquins ou un homme était payé pour recopier la Bible ou l'Encyclopédie.Ici le fil choisit de raconter la traditionnelle histoire de qui trahi qui, pour une histoire sans aucun intérêt. Un détail, un pro ne s'assoit pas au restaurant avec le dos tourné vers la salle et la porte.Le côté A.A. semble être un cheveu sur la souple. Le film est passé d'un cheveu juste à côté d'un très très bon film, pourquoi?. Mes excuses à ceux qui ont vu le film autrement.Merci de votre patience
Pas mal pour un premier film : un pauvre chômeur est engagé par une organisation secrète pour retranscrire des écoutes téléphoniques avant une élection présidentielle. Notre Français très moyen, qui voulait simplement bosser, se retrouve dans l'univers impitoyable de l'espionnage,avec ses cambriolages, ses morts, ses luttes d'influence, la DGSI...Un exercice de style sans doute peu crédible, mais où la "mécanique" est bien rendue. F. Cluzet, dans le rôle du paumé, excelle. Original mais ne plaira pas à tout le monde (mon épouse a trouvé ça ch...t)
Le film, de type paranoïaque, est très bien maîtrisé la première demi heure. Hélas après, c'est un peu moins bien. Et la fin déçoit beaucoup par sa banalité, faisant baisser au final la note. À signaler : le d'habitude pachydermique Cluzet joue très bien ici.
très bon film français pour ma part. un suspense crescendo et pas d'explosions à outrance comme dans certains films américains. les acteurs font leur travail sans en rajouter.
A l’image de son personnage principal qui est un citoyen lambda, ce film est très lambda. Il ne m’en reste pas grand chose au final, ci ce n’est à quel point l’homme est facilement corruptible car le personnage de François Cluzet n’est pas dupe sur le fait que ce nouveau travail n’est pas net dès le départ. Le côté suspens est plutôt bien emmené en revanche le film m’a convaincu d’une chose c’est que le cinéma français n’arrive pas à parler le politique en ne voulant pas s’impliquer c’est un défaut trop important dans ce film et un défaut récurrent dans le cinéma hexagonal. Manquant de profondeur, trop superficiel et austère c’est raté à mon goût.