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    La Mécanique de l'ombre
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    220 critiques spectateurs

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    Kyara P.
    Kyara P.

    11 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Brillantissime !!!! surtout pour Un premier film.
    Un suspens entier de la première image à la dernière. Un casting de qualité et un scénario vraiment haletant. L année 2017 s annonce excellente pour le cinéma français.
    galau7
    galau7

    28 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Un thriller dépouillé mais efficace, même si le rythme est volontairement lent. L'aspect ordinaire du film et des acteurs renforce l'angoisse du spectateur par une forme de banalisation.
    Alain D.
    Alain D.

    530 abonnés 3 230 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 août 2017
    Ce thriller coécrit et réalisé par Thomas Kruithof laisse des impressions très mitigées. Il propose une ambiance austère, des personnages moroses et rigides, des décors froids et synthétiques d'une tristesse parfaitement en adéquation avec l'histoire. La première moitié du film se déroule sur un rythme extrêmement lent, sans décors, sans action, le tout à la limite de l'ennui. Le scénario s'anime ensuite très progressivement pour nous livrer une histoire abracadabrante et assez peu crédible. Heureusement, le jeu d'acteurs sauve la situation avec une bonne prestation de Simon Abkarian et un duo de grande classe dans les premiers rôles de Denis Podalydès et François Cluzet.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 janvier 2017
    Toute relation entre le sujet du film et des évènements contemporains réels pourrait ne pas être une pure coincidence. Les acteurs sont tous de bon niveau avec, en particulier, F. Cluzet avec son interprétation toute en expression faciale. Hélas, les rôles, les situations et les dialogues sont basiques. Les vues dépouillées très (trop) léchées se succèdent mécaniquement comme dans une présentation de diapos, avec insistances (sinon arrêts) sur images, ce qui fait que le film se traîne ; ceci est d'autant plus sensible que plusieurs scènes ont l’air de se répéter. Le suspens est insuffisant pour parler de "thriller". S’il s’était agi d’une dissertation, le prof aurait dit « travail soigné mais manque d’inventivité et de rythme ». A voir à la rigueur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 janvier 2017
    Avec une intrigue finement ciselée et un casting remarquable, La Mécanique de l'ombre est un premier essai transformé haut la main par Thomas Kruithof. Dans la droite lignée de La Taupe, c'est l'occasion de découvrir l'un des meilleurs thrillers français de ces dernières années.

    Très soigné et parfaitement maitrisé de bout en bout, nous sommes pris à la gorge de ce film en même temps que Duval (François Cluzet). J'avais été déçu par Iris de Jalil Lespert, je dois avouer que j'ai adoré La mécanique de l'ombre qui offre une confrontation excellente entre Denis Podalydès et François Cluzet.
    Béatrice L
    Béatrice L

    83 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2017
    Un thriller captivant servi par des interprètes hors paire ( principalement François Cluzet génial et Denis Podalydès inquiétant). Par contre le scénario n'est pas assez abouti. La fin est baclée et ça fait pschitt. Dommage car il y avait tous les ingrédients pour en faire un très bon film.
    Guiciné
    Guiciné

    142 abonnés 1 217 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    Un film au scénario diaboliquement efficace, parfaitement maîtrisé et interprété, la tension s'amplifie au fur et à mesure sans nous lâcher jusqu'au dénouement. Un divertissement impeccable à voir sans aucune hésitation.
    PLR
    PLR

    427 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2017
    Un thriller répondant tout à fait à la loi du genre : une intrigue solide, des faux-semblants, des fausses pistes, des rebondissements. Le scénario a le défaut de ses qualités. Dans un récit complexe, le risque est de rater quelque chose de déterminant dans le récit. C'est à mon avis ce qui justifie quelques critiques sévères de spectateurs qui auront décroché et se seront donc ennuyés. Moi-même, à vrai dire, je ne suis pas sûr d'avoir tout vraiment suivi et compris. J'en serais presque à vouloir revoir ce film une deuxième fois pour bien cerner davantage de détails.
    Laurent C.
    Laurent C.

    244 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2017
    Duval est un comptable dévoué, presque jusque la mort. Il se donne tant à son travail qu'il finit alcoolique et épuisé. Chômeur, il est contacté par une organisation secrète pour dactylographier des communications téléphoniques où il est question d'otages, de politique et de crime. C'est à peu près l'intrigue surprenante et angoissante de "La mécanique de l'ombre". Le titre est totalement évocateur, la caméra jouant avec une photographie sombre, des gros plans sur des tasses ou des verres dont on imagine l'envers. La réussite de ce film provient de la manière dont François Cluzet incarne le héros. Il habite son personnage jusque la chair, le visage se marquant de rides et de rictus presque imperceptibles. On tremble avec lui, et on se demande comment, si le récit était réel, quiconque pourrait supporter autant de stress. D'ailleurs, le réalisateur est un malin. Il parvient en effet à construire un film sur le rasoir, totalement kafkaïen, dont on ressort en se demandant si de telles choses ne se produisent pas tous les jours au sommet de l'Etat. Et c'est là son habileté de metteur en scène, celle de laisser penser qu'il y a quelque chose de profondément vraisemblable dans cette mécanique funeste. Pour une première œuvre, chapeau bas ! Voilà un réalisateur qui maîtrise d'un bout à l'autre son sujet, les cadrages, le montage et la photographie donnant à la mise en scène une vision de cinéma, telle qu'on le voyait il y a quelques décennies chez Lautner ou Melville.
    Chris58640
    Chris58640

    190 abonnés 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2017
    Un bon thriller des familles, bien ramassé, avec un scénario à la fois créatif et crédible et bien mis en scène, bref, un thriller moderne, voilà ce que j’attendais de « La mécanique de l’ombre ». Je ne connais pas le réalisateur Thomas Kruithof, et pour cause, sa filmographie est minimaliste et il s’agit, sauf erreur, de son premier long-métrage. Mais je sais que le polar français, et au-delà de ça le thriller français, sont en plein renouveau, débarrassés de leurs complexes, n’hésitant plus à oser mettre en scène avec rythme des sujets brulants, parfois même polémiques. « La mécanique de l’ombre », de ce point de vue, ne déçoit pas. Il y a de l’idée dans la réalisation de Kruithof, avec des vraies bonnes trouvailles : des gros plans intéressants, une utilisation de l’ombre et de la lumière intelligente, une musique appropriée et bien placée, et surtout une obsession pour les endroits déserts : les autoroutes vides de voitures, les centre commerciaux déserts, les stades vides, les appartements abandonnés, l’Esplanade de la Défense complètement vide (ce qui ne doit jamais arriver, même le samedi ou le dimanche !). En vérité, Thomas Kruithof mise sur ces idées pour poser une atmosphère, une ambiance et ça fonctionne. Ici, pas de cascade (juste une, très courte), peu de scènes de violences (mais elles n’ont pas besoin d’être nombreuses pour être efficace, au contraire), pas d’effets spéciaux, tout est dans le feutré, le dissimulé, l’intimidation en costume-cravate et à mots couverts. A ce petit jeu, des 4 acteurs en tête d’affiche, c’est surtout François Cluzet et Denis Podalydes qui s’en sortent le mieux, sans vouloir manquer de respect ni à Simon Abkarian (dont le rôle est plus « brut de décoffrage ») ni à Samy Bouajila, dont l’apparition dans l’intrigue est un peu trop tardive pour qu’il surpasse les deux ténors. Juste par le regard et le ton, Podalydes glace le sang et Cluzet incarne la panique grandissante du type pris dans un engrenage qui le dépasse complètement et qui va inexorablement le broyer. C’est le propre des grands acteurs, faire passer toutes les émotions sans en faire des tonnes ! Le scénario de « la mécanique de l’ombre » se met en place assez lentement, au début on est dans un brouillard qui va doucement, très doucement se dissiper. Qui est ce Clément qui possède des écoutes téléphoniques de ce type ? spoiler: Des écoutes téléphoniques où il est question d’otages français à l’étranger, d’élections présidentielles imminentes, d’anciens ministres de Kadhafi qui négocie avec les preneurs d’otages, des écoutes téléphoniques qui vont jusqu’à toucher la DGSI elle-même. Pas besoin d’être devin, en tant que spectateur pour comprendre qui, en France, peut se targuer d’écouter jusqu’à la DGSI.
    En fait, le pourquoi du comment peut se deviner assez vite si on est perspicace et observateur. Mais le scénario est malin, il nous enfume un petit peu, nous endors presque avec cette atmosphère de secret et on se laisse emmener par le bout du nez jusqu’à une conclusion qu’on aurait pu deviner très vite tout seul. spoiler: Comme on dit dans ces cas là, « Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existés est purement fortuite », sauf que toute cette affaire d’otages nous en rappelle d’autres, ce candidat au slogan si « patriote » nous en rappelle un autre et le cynisme de Clément à la fin du film, au moment où tout se dénoue, il sonne carrément juste.
    Toutes les « affaires » qui ont été mises au jour ces dernières années, toutes ces collusions avérées entre certains dirigeants et des intermédiaires, des hauts fonctionnaires de la police, tout ce qui remplit les pages de Médiapart donne du grain à moudre aux scénaristes d’aujourd’hui et donnent une certaine crédibilité, pour ne pas dire une crédibilité certaine, à leurs intrigues, mêmes tordues, même bien poisseuses. Malgré toutes ces bonnes intentions, ce scénario crédible, ce casting impeccable et cette réalisation soignée et prometteuse pour un premier film, « La mécanique de l’ombre » se laisse suivre sans déplaisir mais accuse quelques faiblesses. Le film ne dure que 90 minutes et pourtant, il semble se trainer un peu par moment, le passage avec Gerfaut est le vrai trou d’air du film, il dénote un peu. C’est ce passage, un peu trop « barbouze », un peu trop « à l’ancienne » auquel on croit le moins, au final. D’ailleurs ce personnage, qui arrive comme un cheveu dans la soupe dans la vie de Duval, est porteur d’une violence qui ne colle pas avec le reste du film, même si c’est expliqué et justifié ensuite. Et puis, on peut s’interroger aussi sur la pertinence du personnage de Sarah, infirmière rencontrée aux AA et qui incarne une possibilité de rédemption possible pour Duval. Cette petite histoire parallèle, même si elle finira par se heurter à la grande, ne trouve jamais vraiment sa place dans un scénario globalement très noir et très cynique. Mais « La mécanique de l’ombre » est une mécanique de film d’espionnage qui fonctionne malgré ses petits défauts, à condition d’être réceptif à une ambiance aux antipodes d’un « Jason Bourne » !
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    101 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2017
    Pour son premier long-métrage, Thomas Kruithof s’attaque à un genre assez peu courant en France : le polar politique. Un film stylisé et à la mise en scène captivante.

    LA SUITE :
    Romain J.
    Romain J.

    63 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2017
    Bien réalisé, bien interprété, LA MECANIQUE DE L'OMBRE possède une ambiance particulière et sombre. On regrette quelques écueils inhérents au genre, mais on salue la performance de Thomas Kruithof dont c'est le premier film.

    Critique complète ici.
    David B.
    David B.

    39 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2017
    Un film plein de mystères, une tuile majeure qui tombe sur un homme déjà mis à mal psychologiquement. François Cluzet est impeccable une fois de plus et Denis Podalydès bien flippant. Embrouille après embrouille, on découvre le complot qui s'ourdit.
    frederic-briones.com
    frederic-briones.com

    20 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 janvier 2017
    Un film brillant dans un genre depuis longtemps laissé de côté : le thriller d'espionnage dans les arcanes du pouvoir.
    Une intrigue simple, tendue et efficace (et pas si fictive qu'elle en à l'air), servie par d'excellents acteurs et une mise en scène précise et maîtrisée :
    * François Cluzet est excellent (comme très souvent) dans ce rôle de héros ordinaire, rendu humain, réaliste et nuancé dans ses talents, ses angoisses et ses faiblesses. Denis Podalydès est quant à lui époustouflant dans son rôle fourbe et manipulateur, doté d'une froideur et de l'arrogance qui caractérise les hommes proches des arcanes du pouvoir... Même absent de l'écran, son ombre plane sur de nombreuses scènes.
    * La mise en scène est précise, rigoureuse, sans effets de manche : les gros plans sont maîtrisés, au plus près des visages et des expressions des acteurs ; ou au plus près des mécanismes en mouvement pour rendre le côté mécanique machination kafkaïenne qui broie l'individu... Le choix du quasi huis clos ajoute encore à la tension et au réalisme des situations.
    J'ai lu quelque part que c'était le premier passage derrière la caméra du réalisateur : et bien il s'agit là d'un grand qui maîtrise parfaitement ses références et les sublime à l'écran : il y a du Pakula, du Lumet, du Eastwood, du Lautner ou du Verneuil dans ce film, mais avec la touche de modernité en plus...
    La scène d'introduction du Burn Out est exemplaire de maîtrise et de tension et pose parfaitement le cadre et l'ambiance.
    En conclusion, un grand film français de genre que je vois conseille fortement même s'il est sorti un peu en catimini.
    tixou0
    tixou0

    662 abonnés 1 979 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2017
    Un citoyen lambda, et même des moins attirants, que ce "Duval"... Proche de la retraite, vivant seul dans un appartement sinistre, avec pour seul loisir faire d'interminables puzzles, ce comptable honnête et terne s'est retrouvé licencié à la suite d'un "burn-out". 3 ans plus tard, déprimé et alcoolique, il a quand même réussi (un peu) à remonter la pente, grâce aux "AA" (où il vient de rencontrer une infirmière italienne - créature fragile à prendre sous son aile...), et pense que la chance lui sourit enfin, avec la proposition d'emploi (grassement payé) d'un certain "Clément" (1.500 euros la semaine - en espèces). Mais est-ce bien la providence qui lui a fourni cette prébende ?... Et un premier grain de sable vient rapidement gripper "La mécanique de l'ombre" (sous la forme d'un certain "Gerfaut"). Suivi de pas mal d'autres, le travail de bureau se transformant en tâche à risque(s), grand(s) risque(s)... Une histoire bien écrite, une mise en scène redoutablement minimaliste, une excellente distribution (François Cluzet, Denis Podalydès, Simon Abkarian, Alba Rohrwacher...) - voilà qui fait de ce premier "long" (par Thomas Kruithof) une très bonne surprise, celle d'un cinéma de qualité, dans une veine peu brillamment illustrée en général dans le cinéma français récent, celle du "thriller", entre (contre)-espionnage peu reluisant et magouilles politicardes. Sous l'oeil d'un témoin "civil", pas si dépassé que cela par le cynisme de la « raison d'Etat », et les impératifs du « secret-défense »....comme on le verra.
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