Jurassic World: Le Monde d'après : Critique presse
Jurassic World: Le Monde d'après
Note moyenne
2,3
32 titres de presse
20 Minutes
Filmsactu
L'Ecran Fantastique
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
Télé Loisirs
L'Obs
Les Echos
Les Fiches du Cinéma
Positif
Télé 7 Jours
CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
GQ
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Geek
Le Monde
Les Inrockuptibles
Mad Movies
Sud Ouest
Télérama
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Ecran Large
La Voix du Nord
Le Point
Libération
Ouest France
Première
aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les dinosaures sont évidemment les stars du film avec leurs bonnes grosses dents acérées et leur appétit dévorant. (...) C’est ce qui fait le charme du film : le suspense est renforcé par le fait que les grosses bêtes menacent des héros sympathiques auxquels le spectateur s’est attaché.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Jurassic World : Le Monde d’après propose un spectacle enthousiasmant, bourré de clins d’œil habiles et efficaces, de scènes et de péripéties rocambolesques encore inédites dans la saga et nous offre enfin le retour des héros de 1993.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Ecran Fantastique
par Pascal Pinteau
En développant intelligemment les arches narratives de tous les personnages, y compris celle de Blue, le raptor femelle avec lequel Owen/Chris Pratt avait tissé des liens privilégiés, Trevorrow conclut en beauté cette histoire qui nous est racontée depuis 1993.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Surtout, sans jamais vouloir rivaliser avec le premier film de Spielberg (aujourd’hui culte), ce sixième long-métrage sait rester à sa place. Il se contente d’être un spectaculaire divertissement sans autre prétention philosophique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
En dépit de quelques longueurs, ce troisième volet remplit son cahier des charges, orchestrant l’action dans des pays exotiques, et assumant sa dimension féministe et militante. Un blockbuster avec une conscience.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Mais les vraies stars, ce sont bien entendu les grosses bébêtes. Et, encore une fois, les créateurs se sont surpassés, entre un colossal monstre marin, un belliqueux prédateur à plumes, ou encore un ptérosaure géant appréciant peu de voir un avion contester son espace aérien…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Émilie Léoni
Visuellement saisissante, cette conclusion mêlant spectacle, science, humour, frisson et émotion comblera fans nostalgiques et amoureux des grands films d'aventure.
L'Obs
par François Forestier
Le spectacle vaut le coup d’œil, malgré son invraisemblable longueur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Sixième volet d'une saga qui s'étend sur près de trente ans, « Jurassic World : le monde d'après » propose un tour de manège amusant porté par un attachant trio de comédiens… et une bande de dinos qui ne vieillit pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Trevorrow conclut sa trilogie en privilégiant la nostalgie et l’action, au détriment des personnages. Reste les dinosaures !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Grégory Valens
C’est la limite de ce blockbuster sympathique : il s’agit avant tout d’un hommage à Maître Spielberg, [...]. Une sorte de fan movie à quelques dizaines de millions d’euros.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Ces créatures sont fort impressionnantes, grâce à des effets spéciaux hallucinants de réalisme. Toutefois, il manque quand même une scène « qui file les chocottes », pour que cet opus puisse prétendre rivaliser avec les meilleurs de la saga.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
La promesse de voir un monde confronté aux dinosaures disparaît corps et biens dans un troisième acte circonscrit à une seule zone où, en dépit de quelques belles images et une thématique intéressante, Le Monde d'après rejoue maladroitement des scènes mythiques du premier volet.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le troisième volet de Jurassic world, au scénario sans imagination, banal, bancal, a beau multiplier les rimes et les clins d’œil aux précédents films de la saga, il abandonne ce qui faisait le sel de l’aventure : la peur du monstre qu’est le dinosaure (...).
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le film ne repose plus que sur le spectacle d'animaux disparus fascinants, sous une forme toujours réaliste et belle. Plaisir des yeux, mais guère plus.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
Avant de se changer en un blockbuster dévitalisé, ce nouvel opus de la deuxième trilogie imaginée à partir du film de Steven Spielberg ressemble d'abord à une très jolie coquille vide.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Mais Le Monde d’après est à la peine pour porter son message de respect de la nature et de sauvetage de la Terre, avec elle de l’humanité : intrigue grossière ; rebondissements improbables ; dialogues inconsistants ; personnages plats ; acteurs majeurs sous-utilisés.
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Le Monde d'après réunit tous les ingrédients de la recette Jurassic Park, sans pour autant retrouver ce qui fait l'essence de la franchise que l'on aime tant. Un film prétexte qui nous laisse de glace et confirme que le spin-off doit choisir la voie de l'extinction, et pour de bon cette fois.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par Clarisse Fabre
Reconnaissons le travail des comédiens, tous convaincants, qui tiennent ce film aux mille rebondissements (...). Mais ce sixième volet souffre d’un récit surchargé, pas toujours lisible, au point de reléguer presque au second plan les batailles de « dinos », – pourtant longues et roboratives –, mêlant animatroniques et créatures numériques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Trop de directions, trop de personnages, trop de styles hétérogènes, et aucun parti pris clair : le film est assez disgracieux dans sa volonté de tout récapituler et tout comprendre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Si le contrat semble donc rempli en termes de quantité et d'exigence technique, il ressort rapidement du "Monde d'après" l'amère impression de consommer un produit prémâché et artificiel, dont les aspirations lorgnent moins du côté de l'artistique que du pur merchandising.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le réalisateur Colin Trevorrow clôt la saga « Jurassic » avec un volet plan-plan qui recycle et rassemble les générations (...).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Cécile Mury
Un opus peu innovant, qui reste spectaculaire grâce à des effets spéciaux perfectionnés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Voué au surplace, le film est condamné à se commenter lui-même, tel Sam Neill avançant prudemment au moment du combat final entre deux giganotosaures : « Cela ne nous concerne pas. » Seul Jeff Goldblum, en roue libre, apporte l’autodérision qui manque cruellement à l’ensemble.
Critikat.com
par Corentin Lê
Il semble qu’on soit revenu au point de départ avec Le Monde d’après, qui porte bien mal son nom. Colin Trevorrow livre l'épisode le plus désinvesti de la saga.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Trahissant rapidement sa promesse d'orgasme jurassique, le blockbuster de Colin Trevorrow enferme son intrigue idiote dans un énième enclos à concepts, qui l'autorise à rejouer le film originel, orchestré avec une incompétence quasi-miraculeuse. Et cette entreprise techniquement inégale de s'égarer dans les égouts du fan service, qui dévore l'entreprise à la manière du nuage de sauterelles qui vampirise son synopsis.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Les vraies bonnes idées ? Mal exploitées. L’émerveillement ? En voie d’extinction. Le raptor ? Guère plus dangereux qu’une marmotte dans une forêt enneigée. Le T-rex ? Un second rôle indigne. Souvenez-vous donc de ce que ces animaux incarnaient jadis. Et pleurez.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Point
par Philippe Guedj
Tristement médiocre, le film de Colin Trevorrow n'est que le nouvel avatar d'une pop culture mémorielle sans saveur ni talent, qui tôt ou tard s'éteindra par tant de paresse mais persiste à l'ignorer.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Olivier Lamm
Rien à dire, rien à montrer, l’humanité pleine d’hubris est encore et toujours bien attrapée, mais c’est surtout Hollywood qui se piège à se croire plus malin en dévouant des trilogies de films super dispendieux pour commenter leur propre inanité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Un feu d'artifice final qui fait pschitt.
Première
par Sylvestre Picard
Parfois dans le monde d’avant, une suite parvenait soit à rebattre les cartes soit à conclure une saga en embrassant sa mythologie. Ce monde a disparu. Perdu. Le Monde d’après, suite/reboot/remake sans autre horizon que son propre vide, n’a plus qu’à se cannibaliser elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Cet énième numéro de Jurassic World est un patchwork bruyant de tout ce que le cinéma d’aventure peut parfois faire de pire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Les dinosaures sont évidemment les stars du film avec leurs bonnes grosses dents acérées et leur appétit dévorant. (...) C’est ce qui fait le charme du film : le suspense est renforcé par le fait que les grosses bêtes menacent des héros sympathiques auxquels le spectateur s’est attaché.
Filmsactu
Jurassic World : Le Monde d’après propose un spectacle enthousiasmant, bourré de clins d’œil habiles et efficaces, de scènes et de péripéties rocambolesques encore inédites dans la saga et nous offre enfin le retour des héros de 1993.
L'Ecran Fantastique
En développant intelligemment les arches narratives de tous les personnages, y compris celle de Blue, le raptor femelle avec lequel Owen/Chris Pratt avait tissé des liens privilégiés, Trevorrow conclut en beauté cette histoire qui nous est racontée depuis 1993.
Le Figaro
Surtout, sans jamais vouloir rivaliser avec le premier film de Spielberg (aujourd’hui culte), ce sixième long-métrage sait rester à sa place. Il se contente d’être un spectaculaire divertissement sans autre prétention philosophique.
Le Journal du Dimanche
En dépit de quelques longueurs, ce troisième volet remplit son cahier des charges, orchestrant l’action dans des pays exotiques, et assumant sa dimension féministe et militante. Un blockbuster avec une conscience.
Le Parisien
Mais les vraies stars, ce sont bien entendu les grosses bébêtes. Et, encore une fois, les créateurs se sont surpassés, entre un colossal monstre marin, un belliqueux prédateur à plumes, ou encore un ptérosaure géant appréciant peu de voir un avion contester son espace aérien…
Télé Loisirs
Visuellement saisissante, cette conclusion mêlant spectacle, science, humour, frisson et émotion comblera fans nostalgiques et amoureux des grands films d'aventure.
L'Obs
Le spectacle vaut le coup d’œil, malgré son invraisemblable longueur.
Les Echos
Sixième volet d'une saga qui s'étend sur près de trente ans, « Jurassic World : le monde d'après » propose un tour de manège amusant porté par un attachant trio de comédiens… et une bande de dinos qui ne vieillit pas.
Les Fiches du Cinéma
Trevorrow conclut sa trilogie en privilégiant la nostalgie et l’action, au détriment des personnages. Reste les dinosaures !
Positif
C’est la limite de ce blockbuster sympathique : il s’agit avant tout d’un hommage à Maître Spielberg, [...]. Une sorte de fan movie à quelques dizaines de millions d’euros.
Télé 7 Jours
Ces créatures sont fort impressionnantes, grâce à des effets spéciaux hallucinants de réalisme. Toutefois, il manque quand même une scène « qui file les chocottes », pour que cet opus puisse prétendre rivaliser avec les meilleurs de la saga.
CinemaTeaser
La promesse de voir un monde confronté aux dinosaures disparaît corps et biens dans un troisième acte circonscrit à une seule zone où, en dépit de quelques belles images et une thématique intéressante, Le Monde d'après rejoue maladroitement des scènes mythiques du premier volet.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le troisième volet de Jurassic world, au scénario sans imagination, banal, bancal, a beau multiplier les rimes et les clins d’œil aux précédents films de la saga, il abandonne ce qui faisait le sel de l’aventure : la peur du monstre qu’est le dinosaure (...).
Franceinfo Culture
Le film ne repose plus que sur le spectacle d'animaux disparus fascinants, sous une forme toujours réaliste et belle. Plaisir des yeux, mais guère plus.
GQ
Avant de se changer en un blockbuster dévitalisé, ce nouvel opus de la deuxième trilogie imaginée à partir du film de Steven Spielberg ressemble d'abord à une très jolie coquille vide.
Le Dauphiné Libéré
Mais Le Monde d’après est à la peine pour porter son message de respect de la nature et de sauvetage de la Terre, avec elle de l’humanité : intrigue grossière ; rebondissements improbables ; dialogues inconsistants ; personnages plats ; acteurs majeurs sous-utilisés.
Le Journal du Geek
Le Monde d'après réunit tous les ingrédients de la recette Jurassic Park, sans pour autant retrouver ce qui fait l'essence de la franchise que l'on aime tant. Un film prétexte qui nous laisse de glace et confirme que le spin-off doit choisir la voie de l'extinction, et pour de bon cette fois.
Le Monde
Reconnaissons le travail des comédiens, tous convaincants, qui tiennent ce film aux mille rebondissements (...). Mais ce sixième volet souffre d’un récit surchargé, pas toujours lisible, au point de reléguer presque au second plan les batailles de « dinos », – pourtant longues et roboratives –, mêlant animatroniques et créatures numériques.
Les Inrockuptibles
Trop de directions, trop de personnages, trop de styles hétérogènes, et aucun parti pris clair : le film est assez disgracieux dans sa volonté de tout récapituler et tout comprendre.
Mad Movies
Si le contrat semble donc rempli en termes de quantité et d'exigence technique, il ressort rapidement du "Monde d'après" l'amère impression de consommer un produit prémâché et artificiel, dont les aspirations lorgnent moins du côté de l'artistique que du pur merchandising.
Sud Ouest
Le réalisateur Colin Trevorrow clôt la saga « Jurassic » avec un volet plan-plan qui recycle et rassemble les générations (...).
Télérama
Un opus peu innovant, qui reste spectaculaire grâce à des effets spéciaux perfectionnés.
Cahiers du Cinéma
Voué au surplace, le film est condamné à se commenter lui-même, tel Sam Neill avançant prudemment au moment du combat final entre deux giganotosaures : « Cela ne nous concerne pas. » Seul Jeff Goldblum, en roue libre, apporte l’autodérision qui manque cruellement à l’ensemble.
Critikat.com
Il semble qu’on soit revenu au point de départ avec Le Monde d’après, qui porte bien mal son nom. Colin Trevorrow livre l'épisode le plus désinvesti de la saga.
Ecran Large
Trahissant rapidement sa promesse d'orgasme jurassique, le blockbuster de Colin Trevorrow enferme son intrigue idiote dans un énième enclos à concepts, qui l'autorise à rejouer le film originel, orchestré avec une incompétence quasi-miraculeuse. Et cette entreprise techniquement inégale de s'égarer dans les égouts du fan service, qui dévore l'entreprise à la manière du nuage de sauterelles qui vampirise son synopsis.
La Voix du Nord
Les vraies bonnes idées ? Mal exploitées. L’émerveillement ? En voie d’extinction. Le raptor ? Guère plus dangereux qu’une marmotte dans une forêt enneigée. Le T-rex ? Un second rôle indigne. Souvenez-vous donc de ce que ces animaux incarnaient jadis. Et pleurez.
Le Point
Tristement médiocre, le film de Colin Trevorrow n'est que le nouvel avatar d'une pop culture mémorielle sans saveur ni talent, qui tôt ou tard s'éteindra par tant de paresse mais persiste à l'ignorer.
Libération
Rien à dire, rien à montrer, l’humanité pleine d’hubris est encore et toujours bien attrapée, mais c’est surtout Hollywood qui se piège à se croire plus malin en dévouant des trilogies de films super dispendieux pour commenter leur propre inanité.
Ouest France
Un feu d'artifice final qui fait pschitt.
Première
Parfois dans le monde d’avant, une suite parvenait soit à rebattre les cartes soit à conclure une saga en embrassant sa mythologie. Ce monde a disparu. Perdu. Le Monde d’après, suite/reboot/remake sans autre horizon que son propre vide, n’a plus qu’à se cannibaliser elle-même.
aVoir-aLire.com
Cet énième numéro de Jurassic World est un patchwork bruyant de tout ce que le cinéma d’aventure peut parfois faire de pire.