Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Yves G.
1 456 abonnés
3 485 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 24 novembre 2016
À la sortie du restaurant où elle déjeunait avec son époux , Iris disparaît. Marc Lopez, un garagiste sans le sou, l’a kidnappée et exige de son mari le versement d’une rançon pour la libérer. Mais le kidnapping est une arnaque montée par Iris. À moins que…
« Iris » est un film qu’on aurait aimé aimer. Un polar à tiroirs comme le cinéma américain en réalise d’excellents et comme le cinéma français ne parvient pas à en faire. Avec un riche banquier sadomasochiste au sourire carnassier (Jalil Lespert devant et derrière la caméra). Un pauvre bougre embarqué dans une arnaque qui le dépasse (Romain Duris beaufement moustachu). Et une innocente épouse, peut-être moins innocente qu’il n’y paraît (Charlotte Le Bon au minois trop joli pour convaincre de la perversité de son personnage).
Interdit aux moins de douze ans, « Iris » est l’occasion de quelques scènes SM, faussement transgressives, une version un peu hard d’une pub pour La Perla. Mais il serait mesquin d’y trouver à redire, la plastique de Charlotte Le Bon – ou de sa doublure nu – et ses vertigineux escarpins ayant de quoi réjouir le petit cochon qui sommeille en chacun d’entre nous.
C’est plutôt du côté de la mise en scène qu’on pourrait mégoter. Alors que le scénario se déroule intelligemment avec son lot de rebondissements, la mise en scène, elle, ne passe jamais l’accélérateur, installant « Iris » dans un faux rythme soporifique. Comble du paradoxe : on finit par s’ennuyer ferme d’une histoire en tout point bien troussée.
4 539 abonnés
18 103 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 12 novembre 2020
Tous les films policiers français que j'ai vus sont plutôt une parodie de ce genre. Iris est un autre film français qui se veut un thriller. De nombreux scènes d'Iris sont tellement mauvaises que même un élève de sixième année peut les rejeter. Par exemple le criminel utilise son téléphone portable pour demander une rançon. Une fois le crime commis et la police commençant à le surveiller le criminel continue à utiliser son propre téléphone portable. Il faut parfois dix minutes à un inspecteur pour découvrir qui est le criminel. Cependant dans ce film la police se retrouve dans une impasse. Dans Iris les corps ne se décomposent pas pendant des semaines alors vous pouvez les déplacer librement. Les inspecteurs sont si malins qu'ils peuvent arrêter le suspect en regardant une liste de centaines de personnes. La personne qui se suicide tombe dans la tombe d'une manière telle que même un acrobate est incapable d'accomplir sa tâche. Tout le film ne tient pas compte de la logique juste pour embellir son histoire...
Un thriller raté et ennuyeux avec du suspens, une histoire complètement bâclée et décevante, quelques rebondissements intéressants, un casting judicieusement choisi et un scénario d'une assez incroyable nullité bourré d'incohérences et d'invraisemblances grossières.
Un thriller raté et ennuyeux avec du suspens, une histoire complètement bâclée et décevante, quelques rebondissements intéressants, un casting judicieusement choisi et un scénario d'une assez incroyable nullité bourré d'incohérences et d'invraisemblances grossières. C'est très mauvais.
Franchement scénario très moyen. Interprétation médiocre. Decor et musique sans intérêt ! Un thriller sans tête ni queue. Des scènes de sexe qui n’ont raison d’être, juste histoire de rallonger le film.
trop compliqué. trop politique. pas d'action. nous l'avons regardé en famille un dimanche après midi la sieste a gagné la bataille pour la moitié d'entre nous.
Aurais je du ne point mettre d'étoile? Seule la peur de me voir considéré comme un pur " hater " ( je m'essaye à ces nouveaux langages ), m'en fait cocher une. Navet sublime, comme seul le français, avec les pseudo-cinémas polonais ou libanais savent produire, et l'osent! ¨Pour tenter de gagner quelques spectateurs snobs et débiles; sans doute pourrait-on dire de lui, que cette représentation mise en scène d'une mélancolie contemporaine et brutale proche d'une pensée camusienne de l'absurde, teintée d'un zeste de vision bergsonienne, nous invite à requestionner le néodarwinisme en vigueur, ce modèle sociologique cher à Dawkins au mitan des seventies...L'intrigue, la trame, ne sont point utiles, tant l'esprit minimaliste domine, et afin de rester dans cette communion nostalgique, essayons plutôt de nous plonger dans cet objectivisme que Malévitch n'aurait pas renié!
Je n'ai pas du tout aimé ce film. L'histoire n'est pas intéressante, Ça ne rime à rien. A part les belles images de Paris la nuit J'ai failli éteindre la télé...