Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Freakin Geek
246 abonnés
883 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 25 novembre 2016
D’Iris, on retiendra avant tout le charme de Charlotte Le Bon et l’esthétique global du film vraiment très soigné. Si on peut être intrigué durant les vingt premières minutes du film, le développement de l’histoire trop conventionnelle donne l’impression au spectateur d’avoir toujours une longueur d’avance sur les protagonistes du film. Du coup, les twists ne nous surprendront donc pas vraiment et la fin du film nous laissera de marbre. [Lire la critique complète sur le site]
le voilà le chef d'oeuvre de l'année non je plaisante bien sur Jalil Lespert que j'aime pourtant beaucoup nous avait habitué à beaucoup mieux je ne comprend pas pourquoi ce film ? Je ne mettrais pas un zéro pointé mais franchement voilà une histoire alanbiquée ultra prévisible qui n' a ni queue ni tête pleine de longueurs compliquée à suivre de plus les acteurs sont mauvais excepté le charmant flic rebeu Jalil revenez à ce que vous faite le mieux et ne vous égarer plu dans ce genre de nanards qui vous déservent plus qu'autre chose Sinon je préfère le Jalil sans barbe
enfin un très bon thriller français digne de ce nom ! le trio d'acteurs très juste avec mention spéciale à Charlotte le bon qui nous offre une étendue de son talent ! et enfin camille sort de son personnage de connasse pour notre plus grand plaisir !!!
À la sortie du restaurant où elle déjeunait avec son époux , Iris disparaît. Marc Lopez, un garagiste sans le sou, l’a kidnappée et exige de son mari le versement d’une rançon pour la libérer. Mais le kidnapping est une arnaque montée par Iris. À moins que…
« Iris » est un film qu’on aurait aimé aimer. Un polar à tiroirs comme le cinéma américain en réalise d’excellents et comme le cinéma français ne parvient pas à en faire. Avec un riche banquier sadomasochiste au sourire carnassier (Jalil Lespert devant et derrière la caméra). Un pauvre bougre embarqué dans une arnaque qui le dépasse (Romain Duris beaufement moustachu). Et une innocente épouse, peut-être moins innocente qu’il n’y paraît (Charlotte Le Bon au minois trop joli pour convaincre de la perversité de son personnage).
Interdit aux moins de douze ans, « Iris » est l’occasion de quelques scènes SM, faussement transgressives, une version un peu hard d’une pub pour La Perla. Mais il serait mesquin d’y trouver à redire, la plastique de Charlotte Le Bon – ou de sa doublure nu – et ses vertigineux escarpins ayant de quoi réjouir le petit cochon qui sommeille en chacun d’entre nous.
C’est plutôt du côté de la mise en scène qu’on pourrait mégoter. Alors que le scénario se déroule intelligemment avec son lot de rebondissements, la mise en scène, elle, ne passe jamais l’accélérateur, installant « Iris » dans un faux rythme soporifique. Comble du paradoxe : on finit par s’ennuyer ferme d’une histoire en tout point bien troussée.
De nombreux rebondissements. Histoire vue par les différents protagonistes, de nombreux flashback. Un début qui peine à démarrer puis après le rythme est haletant, on ne sait où aller.
Un film plein de promesses de beauté et d'intrigues. La première partie du film est celle d'un bon thriller, avec beaucoup de suspens, on ne sait pas vers quoi on avance, on comprend petit à petit la stratégie élaborée. Grosse déception en deuxième partie où tout traîne en longueur, on a compris ce qui s'est passé, on ne sait pas comment ça va finir : le "gentil" va-t-il payer pour le "méchant" ? Jusqu'à ce qu'on ait les premiers éléments de dénouement, on assiste à des réactions des personnages qui ne collent justement pas à leur rôle, la deuxième partie est bâclée et mal travaillée. Pour quelqu'un qui a pu échafauder un plan pareil au début, il n'est pas intéressant par la suite, et essaye simplement de négocier. Un peu faible. Et puis même, la façon dont la femme est morte, on aurait pu s'attendre à un complot qui aurait ajouté un peu de "whaou" mais non, un pauvre accident plutôt mal joué. Sans parler du fait que si ce cher monsieur avait des envies sexuelles particulières, il était censé aimer sa femme. Elle meurt sous ses yeux : aucune réaction. Bref psychologiquement très faible sur tout le film hormis la mise en place du plan de base. En revanche, si ce la trame n'est pas folichonne, l'esthétisme du film est absolument bluffant. Quelles belles scènes dans le "club" privé du XVIème arrondissement, de belles images de Paris et de l'intérieur des beaux immeubles parisiens. Pour la vue, oui !
Iris, la femme d’Antoine Doriot, un riche banquier, disparaît en plein Paris. Max, un jeune mécanicien endetté, pourrait bien être lié à son enlèvement. Mais, il ne faut pas se fier aux apparences.
"Iris" est un thriller un peu coquin et à l'histoire cousue de fil blanc dont on peut difficilement parler sans dévoiler de spoilers. Les protagonistes se déchirent autour de l'enlèvement d'Iris mais dans cette histoire, tout le monde manipule tout le monde. Face au fait divers et ses complications, 2 flics un peu paumés et pas trop convaincants... Le film se laisse voir mais on anticipe parfois certains retournements de situations tordus et on ne peut s'empêcher de sourire... Coté casting, Romain Duris est bon dans le rôle du kidnappeur manipulé (mais pas que..) et Charlotte Lebon est agréable à regarder. Jalil Jaspert interprète le rôle du banquier et signe ici son sixième film, un peu tendre au vu du sujet traité.
Coté jeux pervers et manipulations, je lui ai préféré très largement "Mademoiselle".
Un film mal foutu et très ennuyeux donc paraissant trop long. Long, difficile, pénible, pour un résultat décevant, comme l'accouchement au forceps d'un vilain bébé, tel un alien ? M'ont plu quelques belles vues de Paris la nuit, c'est tout.
Quand l'énigme des perversions sexuelles bascule dans le médico-judiciaire. La police criminelle enquête, mais le pervers sait questionner les failles de tout un chacun, en leur faisant miroiter qu'eux ne seraient pas différents de lui. "Iris" est un thriller à étages, les manipulations s'organisent selon une hiérarchie successive. Max, incarné par Romain Duris est parfait dans son rôle de sale type. Jusqu'à la fin, l'issue nous échappe. Une esthétique mortifère semble gouverner les protagonistes. L'objet du pervers est une femme, qui croit qu'elle pourrait finalement être aimée et devenir objet d'attachement, objet d'affection. Les liens se nouent et se délient, ils prennent parfois forme dans des mises en scène sexuelles, dans lesquelles la jouissance viendrait du ligotage, de la maltraitance, d'une position de soumission et de passivité face à un bourreau appartenant à la gente féminine. A quel type de maternage le pervers a donc bien pu avoir à faire pour être contraint à la douleur pour ressentir de l'excitation ? L'argent ferait-il tourner les têtes ? Est-il le vecteur du pouvoir ? Les vues aériennes d'un Paris nocturne visent-elles à nous donner l'impression de prendre de la hauteur ?
La tristesse du film ... c'est vraiment dommage de voir Romain Duris à ce niveau là. Le scénario est bidon. Les acteurs sont plutôt moyens. Tout est cousu de fil blanc malgré le fait que l'on veuille nous faire croire à des rebondissements. Bande originale faible. Puis on tourne en rond et en fait on se dit que Jalil Lespert avait même pas assez d'ingrédients pour faire ça. Je ne suis pas là pour casser tout le monde mais je suis vraiment dégouté d'avoir payé ma séance de cinéma plein pot pour voir ça, on va pas se mentir. Je ne sais même pas quoi retenir de ce film à part la beauté de Charlotte Le Bon et peut-être le fait que Camille Cottin commence à avoir des rôles intéressants. Pour le reste, y a rien à dire tout simplement car il ne se passe absolument rien pendant 1h40. Alors les gens qui pensent le contraire vont me dire que c'est faux, que ça bouge, etc. mais au final croyez pas, "Iris" est une arnaque pure et dure. 6/20.
Un polar sensuel et machiavélique duquel Jalil Lespert, qui tient parfaitement son rôle, nous livre les clés de l'intrigue un peu rapidement. Il nous reste malgré tout quelques mystères à découvrir, et à apprécier les différentes interprétations toutes très justes et notamment celle de la jolie Charlotte Le Bon en créature sexy et complexe. En fait il manque surtout du rythme à ce "Iris" car ça devient un petit peu long à partir d'un moment. En revanche l'atmosphère y est appréciable et le scénario malin. A l'image de "Gone Girl" je m'attendais à un peu plus de profondeur et de rebondissements, pour autant ça se laisse bien suivre et les quelques notes d'humour, notamment d'une Camille Cottin à contre-emploi, sont appréciables. A voir une fois.
Un bon petit thriller. On arrive à être surpris, à ce retrouver dans la même impasse que le personnage, sans imaginer pouvoir en sortir. On voit la vie de chaque protagoniste et on commence à comprendre. Plus on avance, plus on perçoit comme on peut sur quelques images, quelques soupçons s'imaginer tant de mal sur des personnages, les voir machiavéliques sans que ce ne soit nécessairement le cas, ou alors qu'on se trompait de personnage. Pour le reste, on retrouve ce que l'on voit dans la vie, une sorte de confrontation entre l'argent-pouvoir (Jalil Lespert), la beauté-pouvoir (Charlotte Lebon), et la fatalité du pauvre (Romain Duris). Mais comme dans la vie, le film nous rappelle que lorsqu'on n'a plus rien à perdre, le plus malin n'est peut-être pas celui qui détient tout, qui à lui, plus à perdre. Donc rien de neuf, il faut juste ce prendre au jeu et résoudre l'énigme avant que la fin du film ne sonne le glas. Bon visionnage !
Une bonne surprise que ce film bien construit au scénario original et présentant un univers osé. Bon suspense. Des comédiens parfaits. Je conseille vivement.