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Dik ap Prale
233 abonnés
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4,0
Publiée le 12 avril 2017
Charlotte Le Bon magnifque et empoisonnée manipule Romain Duris, en Tchao Pantin désabusé, qui côtoie là l'un de ses meilleurs rôle, poussé dans ses retranchements, désarmé puis provocant. Un film mal noté et pourtant qui mérite toute notre attention. Un scénario à tiroir qui ne mise pas tout sur ses ressorts malgré une intrigue machiavélique. D'une qualité technique sans failles, Jalil Lespert porte un grand intérêt sur son rôle en tant que réalisateur.
"Iris" est un thriller français qui possède bon nombre de rebondissements dans son scénario et aussi une interprétation de qualité de la part des trois principaux comédiens. Mais il manque toutefois à la mise en scène de Jalil Lespert une bonne dose de suspense et de tension pour que ce film soit vraiment marquant. Mais bon dans son ensemble, ce thriller s'avère assez divertissant et mérite donc le coup d'oeil.
le voilà le chef d'oeuvre de l'année non je plaisante bien sur Jalil Lespert que j'aime pourtant beaucoup nous avait habitué à beaucoup mieux je ne comprend pas pourquoi ce film ? Je ne mettrais pas un zéro pointé mais franchement voilà une histoire alanbiquée ultra prévisible qui n' a ni queue ni tête pleine de longueurs compliquée à suivre de plus les acteurs sont mauvais excepté le charmant flic rebeu Jalil revenez à ce que vous faite le mieux et ne vous égarer plu dans ce genre de nanards qui vous déservent plus qu'autre chose Sinon je préfère le Jalil sans barbe
D’Iris, on retiendra avant tout le charme de Charlotte Le Bon et l’esthétique global du film vraiment très soigné. Si on peut être intrigué durant les vingt premières minutes du film, le développement de l’histoire trop conventionnelle donne l’impression au spectateur d’avoir toujours une longueur d’avance sur les protagonistes du film. Du coup, les twists ne nous surprendront donc pas vraiment et la fin du film nous laissera de marbre. [Lire la critique complète sur le site]
L’idée de départ n’est pas si mauvaise, mais Iris est un long métrage qui ne débute jamais réellement, coincé entre une esthétique qui tourne rapidement à vide et, surtout, un scénario de moins en moins crédible. Au fil des minutes, ça finit presque par être gênant pour des acteurs qui font ce qu’ils peuvent mais qui, eux non plus, ne s’en sortent pas vraiment… Très loin d’être convaincant…
À la sortie du restaurant où elle déjeunait avec son époux , Iris disparaît. Marc Lopez, un garagiste sans le sou, l’a kidnappée et exige de son mari le versement d’une rançon pour la libérer. Mais le kidnapping est une arnaque montée par Iris. À moins que…
« Iris » est un film qu’on aurait aimé aimer. Un polar à tiroirs comme le cinéma américain en réalise d’excellents et comme le cinéma français ne parvient pas à en faire. Avec un riche banquier sadomasochiste au sourire carnassier (Jalil Lespert devant et derrière la caméra). Un pauvre bougre embarqué dans une arnaque qui le dépasse (Romain Duris beaufement moustachu). Et une innocente épouse, peut-être moins innocente qu’il n’y paraît (Charlotte Le Bon au minois trop joli pour convaincre de la perversité de son personnage).
Interdit aux moins de douze ans, « Iris » est l’occasion de quelques scènes SM, faussement transgressives, une version un peu hard d’une pub pour La Perla. Mais il serait mesquin d’y trouver à redire, la plastique de Charlotte Le Bon – ou de sa doublure nu – et ses vertigineux escarpins ayant de quoi réjouir le petit cochon qui sommeille en chacun d’entre nous.
C’est plutôt du côté de la mise en scène qu’on pourrait mégoter. Alors que le scénario se déroule intelligemment avec son lot de rebondissements, la mise en scène, elle, ne passe jamais l’accélérateur, installant « Iris » dans un faux rythme soporifique. Comble du paradoxe : on finit par s’ennuyer ferme d’une histoire en tout point bien troussée.
le scénario de base partait d'une bonne idée, mais c'est gâché par des incohérences, des intrigues trop vites mises en lumière et un univers parisien très caricatural.
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2,0
Publiée le 18 janvier 2022
L'idèe de ce thriller esthètisant et manipulateur qui joue sur des doubles n'est pas vraiment nouvelle! Une femme marièe (Charlotte Le Bon) à un banquier d'affaires (Jalil Lespert) engage Max (Romain Duris) pour organiser son propre kidnapping! Sauf que cela va être plus compliquè que ça en à l'air! C'est le quatrième long-mètrage de Jalil Lespert qui remake de façon lèchè un film japonais de Hideo Nakata dans un Paris sombre et froid. "Iris" rappelle le cinèma de Hitchcock et de De Palma avec du retournement de situation inattendu! Un mèlange de machiavèlisme et de domination, de sexe et de mort en demi-teinte! En effet on peine à suivre une histoire abracadabrantesque et trop tape à l'oeil sur laquelle on s'accroche tant bien que mal jusqu'à la dernière image! Les acteurs y vont corps et âme mais ça ne suffit pas pour faire pencher la balance du bon côtè! Il manque sans doute un peu de folie dans tout ça! Dommage...
Un scénario bien bancal, auquel on a du mal à adhérer . Tout est cousu de fil blanc et un peu téléphoné. Charlotte Le Bon , en super vamp est pas mal , mais le personnage est trop loufoque. Ce que réussi le mieux Jalil Lespert sont les scènes de bondage , très esthétisantes , bien filmées, et qui démontre une bonne connaissance du sujet .
Un polar bien ficelé au scénario tortueux et à l'esthétique un peu trop appuyée. Charlotte Lebon est exemplaire, les personnages à la fois caricaturaux et complexes. Le film n'est pas exempt de défauts mais il est entrainant.
Un thriller machiavélique (trop !) signé par le réalisateur mais aussi acteur Jalil Lespert !! Je voulais l'aimer ce film au scénario torturé avec plusieurs rebondissements avec une mise en scène soignée et propre au genre mais la deuxième partie m'a déçu et va trop loin (je n'aime personnellement pas la pratique du sadomasochiste , peut ètre que cela explique tout (rire)). Ca avait bien démarré, je vais pas raconter l'histoire, la première partie était bien calibré avec de faux meurtres, rançons, manipulations avec en haut de l'affiche le très bon Romain Duris très sobre qui mène et qui subit. Par contre , autour de lui, je n'ai pas vu de bons comédiens comme Charlotte Le Bon pas faite pour ce type de role ou même Jalil Lespert, même s'il se dirige , n'apporte pas grand chose à son personnage. Un long métrage qui a du bon et du moins bon on va dire.
UN PETIT BOULOT. Sang chaud pour meurtre de sang froid. La femme fatale, la messagère vivace, la pupille colorée de l'histoire, c'est Charlotte la mystère, Charlotte Le Bon l'arc en ciel, la dilatation. Qui est le truand?qui la brute? L'oeil est regard, le chassé croisé est délice, le thriller est sulfureux, provocateur et contradictoire. Dommage ce rajout voyeur sado maso pour quoi, pour qui? Cueillez moi cette belle fleur.
C'est un film qui n'a rien d'extraordinaire. Malgré le duo d'acteurs sur le papier, le film souffre sur de nombreux points. À commencer par la mise en scène qui est contre-productive sans oublier une histoire qui n'a rien de révolutionnaire.