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Votre avis sur Millenium : Ce qui ne me tue pas ?
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Fede Alvarez sort du style fantastique avec ce thriller haletant. Claire Foy a la difficile missions de succéder à Rooney Mara et surtout Noomi Rapace ; et elle fait le job pour son premier rôle de femme d’action. Son personnage écrase tous les autres, à l’exception de Lakeith Stanfield (Get Out) qui se révèle au fil des films être l’un des meilleurs acteurs de sa génération. La bande son est bonne, les cascades sont bien réglées et originales – la moto sur la glace ! – la photographie est magnifique, le style est esthétique, mais le tout est servi un peu froid (normal nous sommes en Suède diront les géographes). Au final, je ne sais pas si cela vient des personnages ou du casting, mais il manque ce petit truc qui fait un très grand film, qui reste néanmoins un très bon moment de cinéma.
Je m'étais arrêté au Tome 3 de la saga Millénium et force est de constater que cette adaptation du quatrième volet est plutôt ratée. Claire Foy n'a pas le charisme d'une Noomi Rapace et dès la première scène, on s'attend au pire. La suite est une longue série de courses poursuites pas trop mal fichues mais l'ensemble devient vite rébarbatif. Le célèbre journaliste, Mikael Blomkvist est ici presque inexistant et cette histoire de sœurs fâchées n'est pas loin de tomber dans le ridicule. On ne retrouve pas la complexité et le talent du regretté écrivain Stieg Larsson dans cette suite qui n'est pas de lui. Dommage!
Quelle idée absurde d'avoir choisi Claire Foy pour interpréter le personnage de Lisbeth Salander ! Comme si le public qui regarde the Crown allait s’intéresser à cet univers ! Pour moi de voir l'interprète de the Crown est un véritable repoussoir tant je déteste cette série. D'ailleurs je ne dois pas être le seul car c'est le pire score de la série des Millénium au cinéma avec 35,2 millions USD au box-office, même Millénium 3 avec Noomi Rapace: La Reine dans le palais des courants d'air, avait fait beaucoup mieux. Pourquoi ne pas avoir pensé à Kristen Stewart ? Elle était l'actrice idéal pour ce rôle. Je ne comprends pas que les producteurs du film soient passés à côté de l'évidence. Si ils ont de l'argent à gaspiller ! Sinon comme c'était à prévoir Claire Foy ne comprend pas son personnage. Cela saute aux yeux dans la scène de la discothèque où on demande ce qu'elle fait là. Elle semble même déguisée. De toute façon tout est expédié en deux temps trois mouvements dans le film. Et puis ces incohérences impossibles et stupides dans le film, comme lorsque Lisbeth Salander prend le contrôle d'une voiture. J'en ai pas vu beaucoup de ce genre de voiture avec écran ordinateur intégré derrière le siège conducteur ! En plus Lisbeth Salander doit compter sur la réactivité d'un autre personnage sinon la scène serait irréalisable. Comment savoir si un personnage va agir comme elle le souhaite ? Elle a des dons de voyances ? Une autre scène abracadabrantesque est le scène de l'aéroport. Comment prévoir l'attitude du gardien et des détenus ? Et la poursuite dans l'aéroport ? Comment être sûr que l'agent américain va agir d'une certaine manière en suivant le bon tempo ? C'est du grand n'importe quoi. Et je ne parle pas de la scène du méchant qui erre comme une âme en peine et de sa rencontre improbable avec un véhicule. Là aussi tout ce déroule sur un temps bien défini mais c'est incohérent. Alors un petit tour et puis s'en va pour Claire Foy, et de redouter (vu les prévoyances fausses des producteurs) un prochain Millenium avec Jenna-Louise Coleman l’interprète de la série indigeste sur la reine Victoria ?
Sauvé grâce a l'extraordinaire Claire Foy (pourtant pas évident derrière une N.Rapace impressionnante) qui confirme son talent dans First Man et sa sœur qui sont inquiétantes. Pour le reste, le suspense fait ressortir avec difficulté le sujet principal du suspense, MBlomkvist n'est pas crédible et ne sert à rien, bcp d’invraisemblances. Dommage, en rajoutant un peu de ceci et enlevant un peu de cela, ce film prenait un point de plus, mais le tout fonctionne et se laisse regarder.
Un nouvel opus des aventures de Lisbeth & Mikael qui nous en apprend plus sur l'enfance (perturbée) de notre hackeuse préférée et qui explique le personnage. Pour le reste, on retrouve bien l'ambiance Millénium lourde, glauque, mystérieuse et souvent cache (pour ne pas dire crue). On rentre très bien dans le film, bien rythmé, même si certaines explications ne viendront qu'au fil de l'intrigue. Seul bémol, un casting un peu moins convaincant/charismatique que les précédents...
Oui, je l'avoue, je n'ai pas lu les romans, et je n'ai jamais regardé les précédentes adaptations ciné et télévisées... Tout simplement parce que le sujet ne m'intéressait pas.
Ce qui m'a motivée cette fois-ci, c'est la présence de Claire Foy, que j'ai découvert avec son incarnation éblouissante de la jeune Elizabeth II dans les deux premières saisons de "The Crown", désormais au panthéon de mes séries cultes. J'étais donc curieuse de la découvrir dans un autre registre, et je n'ai pas été déçue.
Lisbeth Salander est du club des héroïnes badass, et ce sans le moindre super pouvoir. D'une intelligence flamboyante, pilote de moto hors pair, castagneuse et dure à cuire, reine des gadgets, déterminée quelles que soient les blessures. (Le générique du début, très visuellement "JamesBondien", nous laisse aussi penser que le britannique peut prendre sa retraite, avec tous les archétypes des virils machos de ciné du siècle précédent.) Claire Foy apporte à son personnage peut-être trop "incassable" toute son émotion et son regard à la fragilité touchante. Hormis le jeune Christopher Convery (découvert dans la série "Gotham", décidément le directeur de casting a fait son marché sur Netflix), les autres acteurs sont effacés ou transparents, Sverrir Gudnason n'est là que pour avoir des gros plans sur ses beaux yeux de friendzoné, Lakeith Stanfield et Klaes Bang remplissent le quota du "duo du persos secondaires parfois utiles ou rigolos pour meubler une scène".
On pense à Anne Parillaud dans le désormais légendaire "Nikita" de Luc Besson et devenue un modèle d'héroïne beaucoup dupliqué depuis. On pensera aussi à des films tels que "Gloria", si, si souvenez-vous de ce remake de 1999 dans lequel Sharon Stone protégeait un petit garçon de vilains mafieux qui voulaient s'emparer d'une disquette compromettante (une disquette, c'était 1,44 MO de mémoire, avec ça, à part un gif animé des mafieux en train de danser la Macarena, tu te demandes ce qu'il pouvait y avoir de si compromettant...). Bref, pour ce "Millenium", vous remplacez les méchants italo-américains par des méchants russes, et la disquette par un fichier tellement secret que pour le décrypter il faut calculer la racine carrée des lettres de "winter is coming", et paf, ça fait des chocapics.
Un scénario bateau, mais qui se laisse regarder pour ses bons moments d'action et quelques scènes inquiétantes sur fond de paysages enneigés suédois, d'autant que le film est parfaitement compréhensible ... même sans jamais avoir lu une seule ligne des romans.
Ce qui m'a motivée cette fois-ci, c'est la présence de Claire Foy, que j'ai découvert avec son incarnation éblouissante de la jeune Elizabeth II dans les deux premières saisons de "The Crown", désormais au panthéon de mes séries cultes. J'étais donc curieuse de la découvrir dans un autre registre, et je n'ai pas été déçue.
Lisbeth Salander est du club des héroïnes badass, et ce sans le moindre super pouvoir. D'une intelligence flamboyante, pilote de moto hors pair, castagneuse et dure à cuire, reine des gadgets, déterminée quelles que soient les blessures. (Le générique du début, très visuellement "JamesBondien", nous laisse aussi penser que le britannique peut prendre sa retraite, avec tous les archétypes des virils machos de ciné du siècle précédent.) Claire Foy apporte à son personnage peut-être trop "incassable" toute son émotion et son regard à la fragilité touchante. Hormis le jeune Christopher Convery (découvert dans la série "Gotham", décidément le directeur de casting a fait son marché sur Netflix), les autres acteurs sont effacés ou transparents, Sverrir Gudnason n'est là que pour avoir des gros plans sur ses beaux yeux de friendzoné, Lakeith Stanfield et Klaes Bang remplissent le quota du "duo du persos secondaires parfois utiles ou rigolos pour meubler une scène".
On pense à Anne Parillaud dans le désormais légendaire "Nikita" de Luc Besson et devenue un modèle d'héroïne beaucoup dupliqué depuis. On pensera aussi à des films tels que "Gloria", si, si souvenez-vous de ce remake de 1999 dans lequel Sharon Stone protégeait un petit garçon de vilains mafieux qui voulaient s'emparer d'une disquette compromettante (une disquette, c'était 1,44 MO de mémoire, avec ça, à part un gif animé des mafieux en train de danser la Macarena, tu te demandes ce qu'il pouvait y avoir de si compromettant...). Bref, pour ce "Millenium", vous remplacez les méchants italo-américains par des méchants russes, et la disquette par un fichier tellement secret que pour le décrypter il faut calculer la racine carrée des lettres de "winter is coming", et paf, ça fait des chocapics.
Un scénario bateau, mais qui se laisse regarder pour ses bons moments d'action et quelques scènes inquiétantes sur fond de paysages enneigés suédois, d'autant que le film est parfaitement compréhensible ... même sans jamais avoir lu une seule ligne des romans.
De bonnes scènes d'action, mais totalement irréelles. Personnages trop caricaturaux; ça se regarde, mais ça s'oublie très vite
La relecture américaine, sans qu’il ait eu pour une fois “américanisation” du contexte, du chapitre d’ouverture de Millénium en 2011, ‘Les hommes qui n’aimaient pas les femmes’, m’avait assez convaincu, surtout parce qu’elle était fincherienne avant d’être hollywoodienne et cinématographiquement plus ambitieuse que les adaptations suédoises sorties quelques années plus tôt, trilogie très fidèle aux bouquins dont elle reprenaient la trame mais qui restaient des téléfilms de luxe malgré la découverte électrisante de Noomi Rapace. Malgré un score appréciable au box-office, il fut pourtant décidé de reprendre le travail à zéro, ce qui signifiait sauter les deux romans suivants pour adapter directement le premier à avoir écrit par David Lagercrantz : si je me souviens bien, ce nouvel arc littéraire avaient suscité pas mal de controverse en son temps, beaucoup lui reprochant son côté “pilleur de tombe” (l’auteur historique, Stieg Larsson, étant décédé en 2004). Peut-être les deux derniers volets de la trilogie de Larsson, avec leurs mafieux slaves et leurs vieux espions tentant de réanimer l’Etat Profond suédois, n’étaient-ils pas solubles dans les routines ordinaires du cinéma américain alors que ‘Ce qui ne me tue pas’ table sur le contexte beaucoup plus “rassurant” du vol d’un logiciel de hacking appartenant à la NSA. Malheureusement, sans présager de la qualité d’un bouquin que je n’ai pas lu, cette nouvelle adaptation de Millénium ne renoue pas avec la mise en scène au cordeau de David Fincher, et n’approfondit les choses que dans un domaine où on s’en serait bien passé : le film de Niel Arden Oplev et ses deux successeurs manquaient peut-d’être d’ambition visuelle mais ils possédaient une atmosphère bien à eux qui rendait justice à l’objectif de Larsson de décrypter le fonctionnement et les sales petits secrets de la société suédoise, géographiquement proche mais en même temps exotique et spéciale aux yeux d’un européen continental. Cette approche avait déjà plus ou moins disparu du film de Fincher, et le constat est encore plus définitif dans celui de Fede Alvarez, qui n’a plus de suédois que quelques arpents de neige, des Volvo et de vilains lofts portuaires en forme de blocs à rangement Ikea...bref, quelques concepts binaires qui permettent de simplifier la réception du film en la réduisant à quelques clichés aisément digestes. Tout le monde sait que les romans Millénium, s’il n’avaient pas été suédois mais américains ou anglais, seraient sans doute passés pratiquement inaperçus...et c’est exactement ce qui se passe pour ce Thriller générique que, dans les rares moments où sa mise en scène fait preuve d’élan et de pertinence, se rapproche de classiques comme “La mémoire dans la peau” mais qui, la majeure partie du temps, serait plutôt à ranger aux côtés de ces suspenses politico-policiers interchangeables du début des années 2000 dont, de façon fort à propos, les titres ont depuis longtemps déserté ma mémoire.
spoiler:
Une fille exploitée par son père décide de s'enfuir. Elle invite sa sœur à en faire autant mais celle-ci refuse et vit ensuite 16 ans de calvaire avec son père. Celle qui s'est enfuie passe le clair de son temps à venger les femmes exploitées par les hommes. Sa soeur l'apprend et lui tend un piège pour se venger de ne pas être revenue la sauver pendant ces 16 ans.
C'est une histoire à dormir debout. spoiler: On lui propose de se sauver si elle ne prend pas cette occasion à qui la faute à part à elle-même ? Elle aurait pu comprendre par elle-même qu'il n'y avait pas d'autre solution. C'est difficile certes de s'en rendre compte quand on est victime et de savoir quelle est la bonne solution mais ce n'est pas une raison d'en vouloir à celle qui a voulu la sauver mais qui n'a pas accepté. J'aurais fait pareil. Tu choisis donc après tu te débrouilles avec ta décision. Le seul coupable dans l'histoire c'est leur père !
C'est une histoire à dormir debout. spoiler: On lui propose de se sauver si elle ne prend pas cette occasion à qui la faute à part à elle-même ? Elle aurait pu comprendre par elle-même qu'il n'y avait pas d'autre solution. C'est difficile certes de s'en rendre compte quand on est victime et de savoir quelle est la bonne solution mais ce n'est pas une raison d'en vouloir à celle qui a voulu la sauver mais qui n'a pas accepté. J'aurais fait pareil. Tu choisis donc après tu te débrouilles avec ta décision. Le seul coupable dans l'histoire c'est leur père !
Nicothrash
D'entrée, il est clair que ce nouvel épisode souffre de la comparaison avec ses ainés (versions suédoise comme américaine), Fede Alvarez sort du film d'épouvante pour s'essayer au polar noir en reprenant les rênes d'une saga des plus casse-gueule. Ce n'est pas un désastre, loin s'en faut, mais il n'y a pas l'âme des premiers épisodes. L'atmosphère noire y est même si elle est moindre mais tout est beaucoup trop classique ici, peu de surprises également et on est loin de faire dans la finesse en terme de mise en scène. Malgré tout, les acteurs ne sont pas mauvais, la réalisation est à la hauteur et l'on ne s'ennuie jamais vraiment mais on est loin des autres opus. Alvarez a choisi la simplicité, ce qui rend ce Millenium peut être plus accessible mais est-ce vraiment ce qu'on lui demandait ? Pas sûr ... Au final, ça reste sympathique, avec notamment quelques scènes bien dans l'esprit de la saga mais dans l'ensemble c'est un peu juste et quelque peu décevant.
Frédéric M.
Un excellent opus à la saga Millenium, bien que je préférer Naomi a Claire. Naomi a été Lisbeth sur 3 films, donc difficile à ne pas penser à elle. Naomi donnait l'impression de ne pas forcer trop son jeu, comparativement à Claire ou son autre role dans First man à l'opposé la rend trop lisse.
Reste que le film est prenant avec une bonne dose action/suspense.
Reste que le film est prenant avec une bonne dose action/suspense.
J’y suis allée un peu sceptique, persuadée que seule Noomie Rapace était l’incarnation de Lisbeth Salander.
Bravo Claire Foy!!!!
Je me suis laissée prendre dans le scénario, très rapidement; pas de longueur.
Bravo Claire Foy!!!!
Je me suis laissée prendre dans le scénario, très rapidement; pas de longueur.
Je dois dire que j’ai adoré les précédents films « Millénium », à la fois pour les scénarii, que pour l’interprétation de Lisbeth Salinger par Noomi Rapace. Autant dire que j’étais impatient de découvrir un nouvel épisode depuis la disparition de Stieg Larsson, qui avait merveilleusement écrit jusque-là.
Par ailleurs, quelques actrices ont été castées pour succéder à Noomi. Encore compliqué, car Lisbeth est un « petit » modèle (1,50m pour à peine plus de 40Kg, c’est dire !) C’est ainsi que le rôle a été repris par Claire Foy. Je suis mitigé, non pas sur l’action du film, toujours aussi soutenu, osé, survolté, ni sur l’intrigue elle-même, assez bien construite, car tout simplement Noomi Rapace est toujours présente pour moi et c’est elle que j’aurais je pense toujours envie de voir jouer maintenant. L’ambiance reste triste et froide (tourné en hiver et en suède, ça n’aide pas). Les personnages sont froids, et parlent quand ils sont mis sous menace. Globalement, on est en dessous des précédents, c’est clair, mais j’espère d’autres épisodes en progression, qui essaieront de me faire oublier un peu celui-ci, inégal, et ne remplissant pas le contrat. Encouragement !! **
Par ailleurs, quelques actrices ont été castées pour succéder à Noomi. Encore compliqué, car Lisbeth est un « petit » modèle (1,50m pour à peine plus de 40Kg, c’est dire !) C’est ainsi que le rôle a été repris par Claire Foy. Je suis mitigé, non pas sur l’action du film, toujours aussi soutenu, osé, survolté, ni sur l’intrigue elle-même, assez bien construite, car tout simplement Noomi Rapace est toujours présente pour moi et c’est elle que j’aurais je pense toujours envie de voir jouer maintenant. L’ambiance reste triste et froide (tourné en hiver et en suède, ça n’aide pas). Les personnages sont froids, et parlent quand ils sont mis sous menace. Globalement, on est en dessous des précédents, c’est clair, mais j’espère d’autres épisodes en progression, qui essaieront de me faire oublier un peu celui-ci, inégal, et ne remplissant pas le contrat. Encouragement !! **
je ne connais pas la saga millénium mais ce film est vraiment pas mal mais le scénario c'est du déjà vu ou presque les acteurs manque de charisme ils ne jouent pas bien leur rôle sauf pour l'actrice principale qui joue plutôt bien mais pour le reste c'est du déjà vu
Etant hyper fan de Noomi Rapace , j etait pas convaincu a l avance. D autant que la version de David Fincher m avait deplue Mais la dés les premieres minutes on reste scotchés au fauteuil pendant tout le film. Claire Foy est une Lisbeth tres convaicante.on remonte la aux origines de la hackeuse la plus celebre du monde
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