Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
Voilà du cinéma comme on l'aime : drôle, émouvant, finaud et rempli d'empathie pour ses personnages.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un sujet idéal de comédie à l’italienne, variation comique sur le sacré, d’autant plus savoureuse qu’elle fonctionne comme une radioscopie d’une bourgeoisie qui ne croit plus en rien ; le tout avec le sourire et laissant jusqu’au bout à chacun le soin de croire, ou non, au miracle !
Le Figaro
par La Rédaction
Entre pittoresque populaire à la Don Camillo, comédie de mœurs et suspense spirituel, un divertissement inventif, porté par d'excellents acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par La Rédaction
Avec une écriture agile, des dialogues percutants et des comédiens épatants, "Tout mais pas ça !" ranime la flamme de la comédie italienne : une observation satirique des moeurs contemporaines, débordante de fantaisie et d'humanité.
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film truffé de situations hilarantes.
Première
par François Léger
À coups de dialogues ciselés et d'uppercuts au menton de la petite bourgeoisie italienne bien sous tous rapports, le film alterne entre l'ironie vacharde et une bienveillance totale envers ses personnages.
La Croix
par Bruno Bouvet
L’Italien Edoardo Falcone traite sur le mode de la comédie, enlevée mais inégale, l’effondrement des certitudes d’un chirurgien dont le fils veut devenir prêtre.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La première partie repose sur des joutes verbales piquantes que s’approprient des personnages pittoresques. La suite reste dans les clous. La pirouette finale permet aux scénaristes de ne pas se péter une durite et de remettre les pendules à l’heure dans la droite ligne de l’ordre moral.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sous la farce, une très subtile invitation à la tolérance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Antoine Le Fur
Satire cocasse du clergé, le film perd hélas de son piquant au fur et à mesure de l'intrigue.
Télérama
par Nicolas Didier
Cette comédie, pas toujours raffinée, d’un réalisateur débutant (récompensé, en 2015, par un David di Donatello, équivalent italien du césar) oppose plaisamment médecine et religion grâce à un duo d’acteurs complices : Alessandro Gassman en prêtre moderne et Marco Giallini en Dr House transalpin.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Quand l’humour acide de la comédie italienne délivre un message bienveillant envers le clergé, le résultat pourrait sembler moins corrosif. Et pourtant, ça marche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Guillaume Loison
Gags bouchonnés et tempo flageolant. Seuls les acteurs sauvent un peu la mise.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Succès du box-office italien en 2015, "Se Dio vuole" débarque avec un titre français de comédie facile, en adéquation avec la première partie de ce film rocambolesque qui tire à grosses ficelles sur l'hypocrisie de la bourgeoisie romaine avant de lui offrir la rédemption attendue.
Le Monde
par Jean-François Rauger
"Tout mais pas ça !" aurait pu être un joyeux jeu de massacre si le récit ne se réduisait pas à celui de l’humanisation d’un personnage merveilleusement méchant au début du film.
Charlie Hebdo
Voilà du cinéma comme on l'aime : drôle, émouvant, finaud et rempli d'empathie pour ses personnages.
Le Dauphiné Libéré
Un sujet idéal de comédie à l’italienne, variation comique sur le sacré, d’autant plus savoureuse qu’elle fonctionne comme une radioscopie d’une bourgeoisie qui ne croit plus en rien ; le tout avec le sourire et laissant jusqu’au bout à chacun le soin de croire, ou non, au miracle !
Le Figaro
Entre pittoresque populaire à la Don Camillo, comédie de mœurs et suspense spirituel, un divertissement inventif, porté par d'excellents acteurs.
Le Figaroscope
Avec une écriture agile, des dialogues percutants et des comédiens épatants, "Tout mais pas ça !" ranime la flamme de la comédie italienne : une observation satirique des moeurs contemporaines, débordante de fantaisie et d'humanité.
Le Parisien
Un film truffé de situations hilarantes.
Première
À coups de dialogues ciselés et d'uppercuts au menton de la petite bourgeoisie italienne bien sous tous rapports, le film alterne entre l'ironie vacharde et une bienveillance totale envers ses personnages.
La Croix
L’Italien Edoardo Falcone traite sur le mode de la comédie, enlevée mais inégale, l’effondrement des certitudes d’un chirurgien dont le fils veut devenir prêtre.
La Voix du Nord
La première partie repose sur des joutes verbales piquantes que s’approprient des personnages pittoresques. La suite reste dans les clous. La pirouette finale permet aux scénaristes de ne pas se péter une durite et de remettre les pendules à l’heure dans la droite ligne de l’ordre moral.
Les Fiches du Cinéma
Sous la farce, une très subtile invitation à la tolérance.
Studio Ciné Live
Satire cocasse du clergé, le film perd hélas de son piquant au fur et à mesure de l'intrigue.
Télérama
Cette comédie, pas toujours raffinée, d’un réalisateur débutant (récompensé, en 2015, par un David di Donatello, équivalent italien du césar) oppose plaisamment médecine et religion grâce à un duo d’acteurs complices : Alessandro Gassman en prêtre moderne et Marco Giallini en Dr House transalpin.
aVoir-aLire.com
Quand l’humour acide de la comédie italienne délivre un message bienveillant envers le clergé, le résultat pourrait sembler moins corrosif. Et pourtant, ça marche.
L'Obs
Gags bouchonnés et tempo flageolant. Seuls les acteurs sauvent un peu la mise.
Le Journal du Dimanche
Succès du box-office italien en 2015, "Se Dio vuole" débarque avec un titre français de comédie facile, en adéquation avec la première partie de ce film rocambolesque qui tire à grosses ficelles sur l'hypocrisie de la bourgeoisie romaine avant de lui offrir la rédemption attendue.
Le Monde
"Tout mais pas ça !" aurait pu être un joyeux jeu de massacre si le récit ne se réduisait pas à celui de l’humanisation d’un personnage merveilleusement méchant au début du film.