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Votre avis sur Alad'2 ?
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Est-ce que les 2 243 194 spectateurs qui se sont ruès en salle pour aller voir cette suite confondante d'idiotie des « Nouvelles aventures d'Aladin » ont aimè le film ? La question se pose car "Alad'2" est sans conteste l'une des plus grosses purges du cinèma français! Un exemplaire peu commun de calembours à rèpètition et de nullitè scènaristique qui a fait hurler toutes les revues spècialisèes...y compris Mad Movies! C'est dire le niveau de la chose! L'arrivèe d'une nouvelle menace dans le coeur de Bagdad se nomme Jamel Debbouze qui a perdu beaucoup de son aura depuis ses spectacles! On peut saluer nèamoins sa volontè farouche de faire rire...mais sans succès! Saturation ? Manque d'ambition ? Jamel est dans ce film l'ombre de lui même en se prenant pour Louis de Funès! il faut le voir se ridiculiser quand il fredonne des tubes de la variètè française! Que l'on aime ou pas Kev Adams, il est partout! Tel un phènomène de mode, il explose dans les moindres replis de notre paysage mèdiatique! Dans "Alad'2", il reste ègal à lui-même! Le reste du casting ? Inexistant! Seul le dècolletè de Vanessa Guide vaut la peine d'être vu mais tellement fugitif qu'on n'a pas intèrêt à avoir les yeux dans sa poche, pile à ces moments- là! Le bilan est très lourd : ratè, rèpètitif, insipide et jamais drôle! Et ne parlons pas des apparitions douteuses de Frèdèric Lopez ou Gèrard Depardieu! Dèplorable...
Caine78
Le premier était déjà très mauvais mais pouvait compter sur quelques vagues atouts, ce qui est à peine le cas ici. Certes toujours des moyens, mais presque rendus insignes par l'indigence de l'ensemble, parfois d'une indicible nullité. Transformer un conte aussi mythique en pochade désolante, c'est quand même grave. Double « show » Kev Adams - Jamel Debbouze aussi épuisant que navrant (le second parvient à être encore plus insupportable que le premier : bel exploit), accumulation de gags, de jeux de mots, d'accents, d'anachronismes et de références musicales lamentables (les deux derniers marchant souvent ensemble), désespérément voués à combler un vide créatif abyssal, où Lionel Steketee et ses scénaristes n'ont quasiment rien à raconter, n'exploitant même pas la dimension « histoires parallèles », l'un des rares aspects potables du premier volet. Pourtant, il y a quelques bonnes idées : ce
spoiler:
« club des génies », notamment, ou même imaginer ce qui peut se trouver à l'intérieur d'une lampe magique
, détails auxquels on avait pu penser sans forcément les voir concrétisées : encore aurait-il fallu ne pas les tourner uniquement à la galéjade ou l'auto-référence (celle d'Eric Judor sur les pubs EDF : whaou), réduisant ces sympathiques « efforts » presque à néant. En fait, l'un des innombrables problèmes du film est de vouloir s'inspirer de « Mission Cléopâtre », mais sauce branchouille grasse et autocentrée sans le moindre talent. La présence de Debbouze, donc, mais aussi les caméos (pas drôles) de Gérard Depardieu et Isabelle Nanty (dans un rôle assez similaire, d'ailleurs!) ne font qu'accentuer cette impression. Reste le charme et la beauté subjuguante de Vanessa Guide, qu'on aimerait toutefois voir dans d'autres productions que cette affligeante pantalonnade spoiler: (le combat de boxe « final » : a t-on le droit de réaliser une scène aussi pitoyable en 2018?)
, encore pire que son déjà désolant prédécesseur, cette suite poussant l'absence de professionnalisme au point de se tromper de prénom sur l'un des personnages au générique. Nul jusqu'au bout du bout...
, détails auxquels on avait pu penser sans forcément les voir concrétisées : encore aurait-il fallu ne pas les tourner uniquement à la galéjade ou l'auto-référence (celle d'Eric Judor sur les pubs EDF : whaou), réduisant ces sympathiques « efforts » presque à néant. En fait, l'un des innombrables problèmes du film est de vouloir s'inspirer de « Mission Cléopâtre », mais sauce branchouille grasse et autocentrée sans le moindre talent. La présence de Debbouze, donc, mais aussi les caméos (pas drôles) de Gérard Depardieu et Isabelle Nanty (dans un rôle assez similaire, d'ailleurs!) ne font qu'accentuer cette impression. Reste le charme et la beauté subjuguante de Vanessa Guide, qu'on aimerait toutefois voir dans d'autres productions que cette affligeante pantalonnade spoiler: (le combat de boxe « final » : a t-on le droit de réaliser une scène aussi pitoyable en 2018?)
, encore pire que son déjà désolant prédécesseur, cette suite poussant l'absence de professionnalisme au point de se tromper de prénom sur l'un des personnages au générique. Nul jusqu'au bout du bout...
dominique P.
J'ai vu ce film en avant première, le dimanche 30 septembre.
Cette suite est très bien.
On sait exactement ce qu'on vient voir et c'est drôle et divertissant.
Très bon moment de détente agréable.
Cette suite est très bien.
On sait exactement ce qu'on vient voir et c'est drôle et divertissant.
Très bon moment de détente agréable.
Cinéphiles 44
Alors que « Les Nouvelles Aventures d’Aladin » s’en sortait plutôt bien malgré ses faiblesses scénaristiques et quelques vulgarités, ce second opus est accablant. Kev Adams est toujours Aladin et va devoir faire face à Jamel Debbouze dans la peau d’un Shah Zaman qui menace d’épouser sa belle Princesse. Il compte alors sur le Génie Eric Judor pour récupérer sa promise. « Alad’2 » ne propose rien de nouveau et s’enlise dans une médiocrité honteuse. Même les apparitions de Gérard Depardieu, Frédéric Lopez ou Bigflo et Oli font peine à voir. On a trouvé notre navet du mois.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Alain D.
Même si elle ne restera pas dans les cahiers du Cinéma, cette réalistion de Lionel Steketee nous fait sourire et passer un agréable moment. Une Comédie à gros budget qui ne lésine pas sur les figurants et nous offre de jolis décors et effets visuels. Dommage que les gags soient si potaches.
Bien que je n'arrive absolument pas à accrocher au jeu d'acteurs du duo Kev Adams - Eric Judor, le film bénéficie heureusement d'une distribution très riche avec la belle Vanessa Guide, un excellent Jamel Debbouze, et la participation de guest prestigieux comme Gérard Depardieu, Isabelle Nanty ou Jean-Paul Rouve assez méconnaissable
Bien que je n'arrive absolument pas à accrocher au jeu d'acteurs du duo Kev Adams - Eric Judor, le film bénéficie heureusement d'une distribution très riche avec la belle Vanessa Guide, un excellent Jamel Debbouze, et la participation de guest prestigieux comme Gérard Depardieu, Isabelle Nanty ou Jean-Paul Rouve assez méconnaissable
Benito G
c'est long ennuyeux et certainement pas drôle là où ils ont pourtant réutiliser les codes du premier ici cela ne passe pas et même pour l'esquisse d'un sourire. les Guest présent dans le film on connaît leur méthode de jeu et il passe toujours comment les inconnus auparavant. le pseudo scénario est vide rempli de gague où situations et blagues en tout genre mais sans intérêt et n amenant même pas à sourire plutôt à se demander quand cela fini.. pour le reste l'ensemble est assez fouilli et seul peut-être les enfants ils trouveront quelques passages drôles mais avoir voulu jouer la méthode d'Astérix mission Cléopâtre ne marche pas à tous les coups et la preuve en est une fois de plus devant nous.
Fêtons le cinéma
Qu’Alad’2 soit un mauvais film n’est pas ce qui heurte le plus. Non, ce qui surprend et interroge, c’est qu’il soit devenu pour bon nombre de critiques amateurs un déversoir de haine et de mépris, convaincus de tenir là l’Infâme à écraser et le cinéma à restaurer. Quel leurre ! Car qu’attendre de la suite des Nouvelles Aventures d’Aladin, sinon une prolongation de ce qui a autrefois été entrepris ? un défilé de célébrités venues faire un petit coucou, une défilade de sketchs parfois réussis parfois ratés, une autodérision qui finit par lasser mais qui indique – avec suffisamment d’insistance, comme ces signaux lumineux sur le bord de la route qui invitent l’automobiliste à réduire sa vitesse ou à passer son chemin – qu’Alad’2 ne doit pas être pris au sérieux. Et le grand paradoxe que suscite le film réside tout entier dans le statut d’interdit qu’il a conquis malgré lui, dans cette aura qui lui confère une autorité certes négative, mais une autorité quand même. Au lieu de disparaître, Alad’2 devient éternel, il grave la mémoire du cinéma français (à gros budget), il s’affirme telle la pierre de touche à partir de laquelle se construit et se situe une communauté de cinéphiles et de spectateurs. Problème. En transformant une production-repoussoir en objet diabolique, donc mythique, on en oublie de véritablement évaluer le film : la tendance est à l’étiquetage automatique des marchandises, et la critique semble céder sa place à cette culture de la réaction qui enferme une œuvre dans l’outrance aveugle, à la manière de l’empereur jugeant un combat en levant ou en baissant le pouce. Alad’2 est un mauvais film parce qu’il est – tout simplement – dépourvu de scénario et de mise en scène : il suffit de voir l’arrivée de l’antagoniste principal pour souffrir de dialogues hasardeux et d’un cadrage approximatif qui tue dans l’œuf la puissance des images (si puissance il pouvait y avoir). Trop basse ou trop haute, la caméra échoue à dire quelque chose, échoue à signifier l’envergure du personnage, échoue à incarner le récit et ses enjeux qu’elle se contente platement d’illustrer. Quant au récit justement, il se cantonne à une succession de prestations comiques ; l’espace de jeu devient celui d’un one man show, et se suivent et se ressemblent des comédiens doués mais ici en roue libre. Le montage suture comme il le peut ces sketchs et tente de se servir de l’éclatement spatial et temporel comme d’un faire-valoir dramatique. Reste que certains échanges comiques fonctionnent et que les seconds rôles assurent le spectacle : voir Gérard Depardieu en Christophe Colomb fait rire, tout comme Isabelle Nanty en standardiste du service après-vente pour génies défectueux. Bourré de bêtises jusqu’à plus soif, Alad’2 respecte son pacte régressif et se résume intégralement dans le conseil que donne à Kev Adams l’hôtesse de l’air : « détendez-vous, racontez-moi n’importe quoi ». Aucun piège là-dedans ; au contraire, une franche honnêteté ! La clausule sous forme de chanson débile achève le ridicule de l’entreprise qu’il est inutile de chercher à intellectualiser, tant cette intellectualisation serait incongrue voire trahirait – et trahit déjà – « l’empressement de montrer de l’esprit, qui est la plus sûre manière de n’en point avoir ».
désolé d'être aussi sévère mais ce film c'est le néant absolu
une "comédie" pas drôle du tout sans scénario sans fil conducteur.
hormis Jamel qui se démène un peu les autres sont en dessous de tout.
vraiment pathétique.
une "comédie" pas drôle du tout sans scénario sans fil conducteur.
hormis Jamel qui se démène un peu les autres sont en dessous de tout.
vraiment pathétique.
Audrey L
Aussi agréable qu'une épilation nasale, aussi drôle que les blagues de tonton enivré à table, aussi bien joué qu'un spectacle de kermesse (et encore, c'est insulter les enfants...). Alad'2 est une incompréhension totale : comment le CNC a-t-il pu accepter de financer pareille honte au cinéma (avec vos sous, en plus...), comment le réalisateur et les "acteurs" (désolée, j'ai ri en écrivant ce mot... Ça n'est pas possible) n'ont pas remarqué qu'ils se lançaient dans un film au-delà du gênant et du pitoyable ? Les gags manquent de nous faire fuir à chaque seconde de film, Kev Adams a un jeu d'acteur qui se ferait éclipser par celui d'une plante verte en plein soleil, Debbouze est insupportable et jamais comique, la princesse n'est qu'un lot à gagner (Moyen-Âge bonjour...), la succession de scénettes (voyages dans le temps et l'espace) en milieu d'intrigue est épuisante, la fin est gnangnan à souhait, la musique "Aladin" toujours bien pénible... Et les blagues à la Soda sont à pleurer du niveau intellectuel du spectateur moderne... "À fuir" est un bien faible conseil face à cette nullité affligeante, avec un Kev Adams épouvantable et un panel de gags qui remplacent les meilleurs laxatifs.
Le film est évidemment plutôt mauvais, tout comme Kev Adams qui n'a pas la carrure pour en être le héros. Cependant j'avoue avoir ri deux ou trois fois des imbécilités de Jamel et autres Eric et Ramzy, qui sont toujours les mêmes qu'il y a vingt ans. Les chansons du film par contre, pitié !
Je n’en reviens toujours pas de la nullité de ce film. Le pire c’est qu’avec la présence de Kev Adams, il est assuré de marcher et donc qu’un troisième va être prévu. Il y a trois ans, son prédécesseur avait déjà été le plus gros succès français de l'année. On est parti pour une nouvelle franchise. Concrètement, ce que je reproche à cette comédie, c’est qu’elle n’est pas drôle. À vouloir faire une avalanche de blagues, très peu font mouche. On a donc énormément de bide, ce qui devient vite épuisant. Surtout que tout est extrêmement prévisible, comme s’il n’y avait eu aucune recherche humoristique. Niveau casting, il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. Kev Adams nous fait du Kev Adams, c’est-à-dire la même soupe qu’il nous sert depuis 5 ans de personnages immatures. Ça commence à devenir lassant qu’il ne se renouvelle pas. Jamel Debbouze s’enferme dans le cliché de l’arabe qui ne sait pas parler correctement le français. Je ne sais pas comment j’ai pu tenir 1h30 à entendre ce genre de dialogue. Pour finir le trio en beauté, Éric Judor qui m’avait donné un espoir quant à son niveau cinématographique dans ROULEZ JEUNESSE, prouve que quand on chasse le naturel, il revient au galop avec cette performance navrante. Son style de « parler jeune » au début du film est tout bonnement ridicule. Et pour mettre la cerise sur le gâteau, je tenais quand même à vous préciser que les effets spéciaux sont dégueulasses. J’ai vu des jeux de PS4 largement mieux fait. ALAD'2 est donc une insulte au cinéma et à la Comédie.
Ce n'est pas possible de faire un tel film. Certes la presence de ces comediens amene de l'argent pour le realiser mais comment ne pas avoir honte de le sortir. Le vide dans tout , scenario , histoire , dialogue , mise en scene.... seul djamel sauve un peu l'ensemble. Kev adams doit arreter le cinema , ca devient meme genant , il est tres bien a la television , peut etre en spectacle mais ridicule au cinema.
Nicothrash
Un peu à contre courant, j'avais plutôt apprécié le premier volet qui m'avait tout simplement fait rire, et ma foi pour une comédie je n'en demande pas forcément beaucoup plus. Et pour le coup, suite à la bande annonce, je m'attendais au même genre de cinéma, amusant et sans prise de tête. Alors pour la prise de tête, d'entrée, c'est raté, le côté amusant aussi vous me direz, le delta en terme de qualité de script entre les deux opus est impressionnant, ce n'était déjà pas forcément du Audiard à la base mais ça faisait souvent mouche, ici c'est d'une bêtise sans nom mis à part deux ou trois vannes qui relèvent tout juste le niveau. Ce n'est donc pas particulièrement drôle, la réalisation est assez pauvre malgré quelques bonnes idées et personne n'a vraiment l'air d'y croire dans ce parterre de personnalités made in France venues fanfaronner. Et puis cerise sur le gâteau, la plus-value empoisonnée en la personne de Jamel Debbouze qui en fait des caisses et se trouve être de moins en moins drôle, pas forcément aidé non plus par les textes. Franchement, à part quelques petites fulgurances de ci de là, il n'y a pas grand chose à sauver de cette triste suite dans laquelle Kev Adams s'emploie en vain et il faut sincèrement espérer que cette "saga" n'aille pas plus loin, à moins de changer d'équipe de réalisation.
Au secours... on a perdu le génie je crois !! Et plus dommage pour notre jeunesse à qui parents, ou grands parents, veulent faire plaisir, un plaisir facile mais cher !!! Les décors doivent être en carton. Le plus dur est sans doute pour les oreilles, car les séquences dites chantées, euh,.....Une personne les a t elle réécoutées ? Plus sérieux, les blagues ne sont pas drôles, le scénario... disparu par un clic des doigts ? Performance d'acteurs J Debbouze,et R Bediaà leur top ! Kev Adams qui me semble intelligent devrait opter pour un nouveau genre. Bon, on s'y attendait, mais peut être pas à ce point là. Fuyez !!**
defleppard
Des dialogues avec une bonne dose d'humour qui font mouche......des clins d'oeil , avec des guests stars......sympa dans l'ensemble....2 étoiles et demie.....!!!!!!
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