Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Alors, pari réussi, cet "Alad’2" ? Totalement. On rit beaucoup et peut-être plus dans cette comédie énergique débarrassée de quelques facilités déplacées (« la jaquette volante »), et qui s’amuse sans en faire trop à glisser de savoureux anachronismes dans les dialogues.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CNews
par La rédaction
Même si le scénario ne relève pas du génie, et les dialogues, contrairement au tapis, ne volent pas très haut, cette suite fait la part belle aux guests, dont Depardieu en Christophe Colomb, et offre à Jamel Debbouze l’occasion de jouer les méchants.
Closer
par La Rédaction
Anachronismes et blagues potaches pour cette fable qui réjouira surtout les fans de Kev Adams !
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un conte pop-corn avec gags à répétition servis en friandises aux enfants.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas beaucoup de scénario dans cette farce clinquante, mais une avalanche de gags pour ce qui s’apparente à un "Marrakech du rire" sur grand écran.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Public
par Florence Roman
Les gags potaches et les répliques venues de nulle part jouent à font l'anachronisme.
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
Les ingrédients qui ont fait le succès du premier volet sont réunis : action, dérision et références cocasses, rehaussés par la performance survoltée de Jamel Debbouze et par une belle brochette d'invités.
L'Express
par Christophe Carrière
[...] l'ensemble ressemble à un consciencieux collage de sketchs plus ou moins drôles sans véritable liant. Dans ces conditions, la mayonnaise ne prend pas et la comédie, si elle reste digeste, manque cruellement de goût.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Pour le reste, "Alad’2" ressemble à s’y méprendre au premier : un film virevoltant et calibré pour les ados où se succèdent péripéties, anachronismes, vannes et références plus ou moins efficaces.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Toujours aussi immature à 27 ans, Kev Adams est déjà dans l’autodérision tandis que Jamel Debbouze apporte son délire verbal à cette grosse production.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par La Rédaction
Une comédie carton-pâte à l'anachronisme relou, certes destinée aux ados (qui méritent mieux). Restent quelques micro-scènes drôles grâce aux seconds rôles.
Ecran Large
par Simon Riaux
Plus laid, bête et soporifique que son aîné, "Alad'2" accomplit l'exploit de le dépasser dans presque tous les domaines.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Après avoir libéré Bagdad de l’emprise de son terrible Vizir, Aladin s’ennuie au palais et ne s’est toujours pas décidé à demander en mariage la princesse. Mais un terrible dictateur, Shah Zaman, s’invite au Palais et annonce qu’il est venu prendre la ville et épouser la Princesse. A éviter.
Les Inrockuptibles
par Quentin Billet-Garin
"Alad’2" n’offre ni une variante ni une extension du premier volet. C’est une véritable copie, et le miroir (un de plus) d’une industrie flémarde sujette à une véritable crise d’imagination. Le cinéma français ne sait plus rire, et ne fait définitivement plus rire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par François Cau
[...] vide artistique interstellaire d'un projet calé sur les maigres acquis du premier épisode.
Le Parisien
Alors, pari réussi, cet "Alad’2" ? Totalement. On rit beaucoup et peut-être plus dans cette comédie énergique débarrassée de quelques facilités déplacées (« la jaquette volante »), et qui s’amuse sans en faire trop à glisser de savoureux anachronismes dans les dialogues.
CNews
Même si le scénario ne relève pas du génie, et les dialogues, contrairement au tapis, ne volent pas très haut, cette suite fait la part belle aux guests, dont Depardieu en Christophe Colomb, et offre à Jamel Debbouze l’occasion de jouer les méchants.
Closer
Anachronismes et blagues potaches pour cette fable qui réjouira surtout les fans de Kev Adams !
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un conte pop-corn avec gags à répétition servis en friandises aux enfants.
La Voix du Nord
Pas beaucoup de scénario dans cette farce clinquante, mais une avalanche de gags pour ce qui s’apparente à un "Marrakech du rire" sur grand écran.
Public
Les gags potaches et les répliques venues de nulle part jouent à font l'anachronisme.
Télé 2 semaines
Les ingrédients qui ont fait le succès du premier volet sont réunis : action, dérision et références cocasses, rehaussés par la performance survoltée de Jamel Debbouze et par une belle brochette d'invités.
L'Express
[...] l'ensemble ressemble à un consciencieux collage de sketchs plus ou moins drôles sans véritable liant. Dans ces conditions, la mayonnaise ne prend pas et la comédie, si elle reste digeste, manque cruellement de goût.
Le Journal du Dimanche
Pour le reste, "Alad’2" ressemble à s’y méprendre au premier : un film virevoltant et calibré pour les ados où se succèdent péripéties, anachronismes, vannes et références plus ou moins efficaces.
Les Fiches du Cinéma
Toujours aussi immature à 27 ans, Kev Adams est déjà dans l’autodérision tandis que Jamel Debbouze apporte son délire verbal à cette grosse production.
Voici
Une comédie carton-pâte à l'anachronisme relou, certes destinée aux ados (qui méritent mieux). Restent quelques micro-scènes drôles grâce aux seconds rôles.
Ecran Large
Plus laid, bête et soporifique que son aîné, "Alad'2" accomplit l'exploit de le dépasser dans presque tous les domaines.
Le Dauphiné Libéré
Après avoir libéré Bagdad de l’emprise de son terrible Vizir, Aladin s’ennuie au palais et ne s’est toujours pas décidé à demander en mariage la princesse. Mais un terrible dictateur, Shah Zaman, s’invite au Palais et annonce qu’il est venu prendre la ville et épouser la Princesse. A éviter.
Les Inrockuptibles
"Alad’2" n’offre ni une variante ni une extension du premier volet. C’est une véritable copie, et le miroir (un de plus) d’une industrie flémarde sujette à une véritable crise d’imagination. Le cinéma français ne sait plus rire, et ne fait définitivement plus rire.
Mad Movies
[...] vide artistique interstellaire d'un projet calé sur les maigres acquis du premier épisode.