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    El Bar
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    3,0
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    77 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 septembre 2017
    Une nouvelle douce folie d'Alex de la Iglesia, avec comme d'habitude des acteurs plus vrais que nature, une camera virtuose, de l'humour et du sang...que demander de plus ?! (ah si, une sublime actrice que je ne connaissais pas).
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    22 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 octobre 2017
    "El bar" est un film théâtral dont le scénario initial assez classique part rapidement en "survival". Ça reste divertissant même si le tout reste peu inventif!
    AMCHI
    AMCHI

    5 820 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 août 2018
    Pris au Piège est typique de la filmographie d'Alex de la Iglesia avec sa galerie de personnages pas si recommandables que cela qui seront coincés dans un bar (El Bar est le titre original du film) et comme l'indique le titre français pris au piège d'un tireur fou puis isolés dans ce lieu (on pense d'ailleurs un peu à Mes Chers Voisins un autre film du réalisateur).
    De suite l'humour cynique reprend le dessus comme dans la majorité de sa filmographie et ses personnages ne se feront pas de cadeaux et malgré le côté huis-clos ce film est très rythmé. Beaucoup de férocité et d'énergie notamment dans sa deuxième partie avec comme souvent chez lui un final qui ne manque pas de mordant.
    De bons acteurs dont je retiendrai en particulier la jolie Blanca Suárez.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 septembre 2019
    L'idée n'est pas nouvelle : un groupe de personnages aux caractères forts et antinomiques se retrouvent tous coincés dans une situation complexe qu'ils ne pourront souvent solutionner qu'en s'entraidant, malgré les tensions montantes. Ce postulat, parfait pour les pièces de théâtre car obligeant le huis-clos, se retrouve également assez souvent illustré à l'écran. Exemple du jour : *El Bar*, qui enferme une galerie de protagonistes au sein d'un café (à l'évidence, le titre aurait été moins justifié s'il s'était s'agit d'une station-service) après qu'un client se soit fait abattre d'une balle dans la tête à la sortie de l'établissement. Ressortiront de cet événement d'inévitables confrontations, à partir desquelles le long-métrage propose, comme tant d'autres œuvres choisissant la même thématique, une observation sur la condition humaine.

    Le film commence donc par nous exposer à un mystère : pourquoi donc cet homme a-t-il été assassiné sur le seuil de la devanture ? Qui est le tireur ? Pourquoi les communications sont-elles bloquées ? La première partie du long-métrage est donc assez délicieusement intrigante, le spectateur se retrouve plongé dans le même état de confusion que les prisonniers du bar et s'intéresse avec eux aux différentes pistes possibles. Malheureusement, l'énigme est résolue après 25/30 minutes par une solution assez facile car étant trop prévisible et invoquant un élément scénaristique déjà vu dans beaucoup d’œuvres de fiction. On sera donc quelque donc un peu déçu que le film ait fait durer l'attente pour une résolution que l'on pourrait qualifier de simpliste. Dans l'ensemble cependant, la trame du scénario concocté par Jorge Guerricaechevarría et Álex de la Iglesia (qui endosse également la casquette de réalisateur) est de bonne facture, ne proposant certes rien de révolutionnaire mais tenant bien en haleine l'audience, en mettant généralement les personnages dans des situations mortelles à priori inextricables.

    Cependant, comme dit dans l'introduction, le cœur du long métrage ne réside pas dans son intrigue globale mais bien dans ses protagonistes, incarnés par une galerie d'acteurs assez crédibles et toujours dans le ton. Nous sommes donc présentés à une bande d'individus venant presque tous d'environnements différents et possédant chacun une personnalité spécifique identifiable au premier coup d’œil. C'est d'ailleurs là un point faible du film, en ce que plusieurs de ses "héros" ne se détachent jamais de leur archétype et agissent conformément à l'image qu'ils dégagent spoiler: (le personnage supposément fou et un peu dangereux s'avère être complètement fou et dangereux, le barman sympathique est le plus altruiste du lot,...)
    . Cependant, d'autres protagonistes ne sont pas affectés par ce problème, en se révélant plus extrême par leurs réactions inattendues (je pense spécialement à Nacho, mais également pour une séquence à Trini, la femme addicte aux jeux).

    Le long-métrage est particulièrement efficace lorsqu'il pointe le plus gros vice, à son sens, de la race humaine, à savoir l'égoïsme. Toutes les personnes présentes dans le bar font preuve de ce défaut, à un degré divers : ceci est très bien mis en avant par le joli plan séquence d'introduction, où tous les passants se croisent et sont totalement absorbés par leur propre vie et leur conversation téléphonique, ainsi que par la scène où chacun des exilés dans le sous-sol revient sur ses problèmes personnels sans jamais prendre en compte ce que racontent ses camarades d'infortune, créant un ensemble de monologues plutôt qu'un grand dialogue. C'est également l'égocentrisme qui va mettre en mouvement le récit, spoiler: le comportement nombriliste des personnages créant une série de catastrophes (l'impossibilité de contacter une source extérieure suite à une dispute entre Nacho et Sátur), et les amène quelque fois même à leur perte (la tenancière et les deux hommes, ayant chassé les autres protagonistes, seront de ce fait les premiers exécutés)
    .

    Toutefois, les deux scénaristes nous montrent que, même si l'égoïsme fait partie intégrante de la nature humaine, la bonté et l'altruisme peuvent également par moment prendre le dessus spoiler: (ce contraste est illustré dans la scène finale, où une passante donne son manteau à l'héroïne tandis que d'autres l'évitent avec dégoût ou désintérêt). Deux personnages trouveront ainsi la rédemption dans un ultime geste de générosité, permettant de sauver une ou plusieurs vies tandis qu'Elena, voulant survivre sans pour autant perdre son humanité, sera finalement la seule rescapée. A noter cependant que la mort de Sátur fait tâche dans cette optique et cette lecture du récit, car le serveur étant en perspective assez bienveillant par rapport aux individus l'entourant et son décès n'apporte aucun contenu au message du film (reste que cet assassinat brutal prendra le spectateur par surprise).


    *El Bar* est donc une oeuvre se concentrant assez efficacement sur son message amer mais teinté d'un soupçon d'espoir sur le caractère de l'humanité, nous proposant une assez bonne intrigue même si empreinte de quelques défauts. Nul doute cependant qu'après visionnage de ce film, chacun voudra se débarrasser de ses traits les plus égocentriques !
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    754 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2019
    A la fois thriller et comédie horrifique, "El bar, pris au piège" se trouve être une excellente surprise, une de plus de la part du réalisateur Alex de la Iglesia. La mise en scène possède l'énergie et le grain de folie que l'on est habitué a voir chez ce cinéaste, mais en plus l'histoire possède un rythme soutenu et le casting est vraiment excellent, grandement aider par des personnages qui s'avèrent très bien écrits. Avec une mention spéciale d'ailleurs pour la magnifique Blanca Suarez qui interprète avec une grande énergie le rôle d'Elena.
    Benito G
    Benito G

    667 abonnés 3 161 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2019
    Un film vu par hasard, nous offre un huit quelques peu intéressants. Avec de nombreux questionnements. Le film nous pose le problème assez vite et garde son rythme. La bande d acteur présent dans le bistrot est relativement convenable. Concernant l histoire le déroulement se veut vaguement crédible au niveau de l intérieur du bistrot, ou le huit clos et où la parano gagne peu à peu les clients. Même si pour la dernière partie sans laisser prédire la fin même pour le coup n est pas extra alors que l on s attends a quelques choses.... Mais malheureusement toujours des questions en suspens et une fin ouverte. Laissant toujours nos interrogations
    kibruk
    kibruk

    146 abonnés 2 550 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mars 2018
    Je trouvais les autres réalisations de Alex de la Idlesia que j'avais eu l'occasion de voir très perfectibles : ponctuées de très bonnes choses (en particulier des moments d'humour noir phénoménaux) et de choses beaucoup moins bonnes (comme la fin très laborieuse des "Sorcières de Zugarramurdi"). Et, alors que je ne m'y attendais pas du tout, "El bar" m'a scotché de la première à la dernière minute, en faisant jusqu'à ce jour mon film préféré de De La Iglesia. J'ai trouvé ce huis-clos, qui mixe et recycle les codes du survival et du slasher, d'une grande originalité (malgré une trame générale très très classique) et d'une efficacité folle provoquant un état de stress et de tension permanent. En conclusion, "El bar" concentre le meilleur de De La Iglesia : un humour noir dévastateur, des personnages formidables et un grand sens de la réalisation.
    NammJones
    NammJones

    110 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mars 2021
    Le scénario est plutôt pas mal et l'intrigue est assez bonne, c'est donc vraiment dommage que les acteurs soient si mauvais.
    Tout est surjoué, ils hurlent, ils ne sont pas naturels, dommage
    gabdias
    gabdias

    86 abonnés 1 803 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 janvier 2019
    Alex de la Iglesia est définitivement pas un réalisateur comme les autres, preuve en est avec ce thriller fantastique à huit clos mené par un portrait d’acteurs hors du commun. La psychologie et les réactions face à la peur sont sublimées par le côté commun et quelconque des personnages. Un film fou et déjanté qui en surprendra plus d’un.
    Cineseba
    Cineseba

    43 abonnés 623 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 décembre 2017
    " Le film "El Bar" est un huis clos des clients enfermés dans un bar après la mort du client se faisant tirer dessus au moment de sa sortie du bar. Que se passe t il ? Est-ce une attaque terroriste ? Pourquoi ne doivent-ils pas sortir du bar ? Voilà ... L'idée du huis-clos des clients paniqués dans le bar, est interessante mais malheureusement, le film patine un peu, il s'essouffle malgré l'omniprésence de l'humour noir qui m'a fait penser au film :"Les nouveaux sauvages". Dans le film "El bar", les clients du bar s'affolent, ils deviennent fous et paranoïaques, ils s'excitent comme des animaux paniqués, ils font tomber leurs masques quand il s'agit de sauver leur peau, ils sont ingrats et égoïstes ! Le "chacun pour soi" règne ... Leurs dialogues sont croustillants et drôles. La deuxième partie manque cruellement de rebondissements malgré une pincée de l'horreur ... La fin est sans surprise .. Mmmh, le film "El bar" n'es pas vraiment à la hauteur de l'angoisse et de la peur des personnages du film "Rec " Dommage !
    cylon86
    cylon86

    2 517 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 septembre 2017
    Madrid, 9h du matin. Un homme est abattu d'un coup de feu en sortant d'un bar. Les autres clients du bar, n'osant sortir, restent terrés dans ce lieu et imaginent le pire : est-ce un tireur isolé ? Pourquoi la police n'intervient pas ? Se passe-t-il quelque chose de pire ? Forcément à force de rester enfermés ensemble, tous ces personnages hétéroclites (une jeune femme, un SDF, un hipster, un homme d'affaires, un ancien flic, un serveur...) finissent par devenir nerveux et lorsque la situation tourne vers une question de vie ou de mort, le pire de l'humanité s'exprime... Cinéaste amateur d'humour noir, amoureux du genre et très cynique, Alex de la Iglesia signe avec "Pris au piège" un film frappant où, à travers un huis-clos divisé en trois étapes, il montre son talent de metteur en scène. Sorti en VOD, "Pris au piège" est pourtant un pur film de cinéma où le cinéaste use de son sens du cadre (avec contre-plongées, mouvements de caméra, cadrages précis) pour nous immerger dans une ambiance qui se dégrade, révélant ce qu'il y a de pire en l'être humain. Non content d'utiliser les bases du huis-clos paranoïaque où forcément tout le monde se retourne contre tout le monde avec préjugés sociaux, de la Iglesia les dynamite, donnant de la profondeur à des personnages qui sont parfois lucides mais souvent odieux spoiler: en témoigne le personnage d'Israël, le SDF qui voit clair dans le jeu des autres, s'avérant plus malin mais aussi plus dangereux.
    N'hésitant pas à dénoncer la cruauté de l'instinct de survie (lancée par une idée très simple mais très brillante arrivant à mi-chemin du film), il montre aussi les hommes tels qu'ils sont, spoiler: comme lors de la scène où, dans un moment critique, la belle jeune femme doit se retrouver en sous-vêtements pour passer dans un trou et que tout le monde la reluque sans vergogne (en plus c'est Blanca Suarez qui a le rôle alors vous imaginez...).
    Si le dernier acte du film maintient la tension mais s'essouffle un peu en termes d'enjeux, "Pris au piège" n'en est pas moins un exercice de style réjouissant, bardé d'humour noir et de traits exagérés tout en étant désespérément lucide sur l'humanité. L'ensemble est non seulement drôle et cruel, il est également habilement mis en scène, s'avérant une belle réussite dont on ne devrait pas passer à côté.
    Hastur64
    Hastur64

    224 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 novembre 2017
    C’est le deuxième film d’Alex de la Iglesia que je vois, le premier étant « Les sorcières de Zugarramurdi » et je dois dire que je n’ai pas gardé un bon souvenir de ce dernier tant cette comédie horrifique était navrante d’indigence scénaristique. Mais voilà, la bande-annonce de ce nouveau long-métrage du réalisateur espagnol m’avais plutôt hameçonné et je me suis donc résolu à le regarder (après tout, tous les réalisateurs ne sont pas toujours mauvais,…. ni bons non plus). Là aussi, le réalisateur mélange les genres dans ce thriller horrifique mâtiné de farce. On retrouve sa façon de filmer les séquences et les comédiens avec une certaine dérision dans les moments tendus qui confère cet aspect comédie à ses films. On peut aimer ou détester, mais en tout cas cela donne une identité à son cinéma. Le film est un huis clos dans un bar où un ensemble de protagonistes (habitués ou clients de passage) se retrouvent enfermés dans l’établissement après qu’un client soit mort d’une balle dans la tête sur le pas de porte. Qui l’a tué, pourquoi, pourquoi la rue est vie, pourquoi les téléphones ne marchent plus, pourquoi la télé n’en parle pas, y a-t-il un complice dans le bar, etc… Voici, quelques-unes des questions qui meublent la première demi-heure du film, à laquelle va succéder une révélation qui va dresser (encore plus !) les personnages les uns contre les autres. C’est assez intéressant, mais le film, qui pourtant ne dure qu’une heure quarante-six, finit par paraître un peu longuet. Franchement dix bonnes minutes en moins n’auraient pas été de manque. Néanmoins, les péripéties, les pétages de plomb des personnages offrent suffisamment de vie au film pour qu’on ne décroche pas, sans pour autant être rivé à son fauteuil. Un divertissement distrayant mais sans plus qui pourra mériter un coup d’œil, mais sans grande urgence.
    Incertitudes
    Incertitudes

    205 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2018
    Tout commence sur un plan-séquence dans les rues de Madrid pour présenter un à un tous les personnages. Une accro au jeu, un représentant en sous-vêtements, un SDF fan de Jésus, un réalisateur de publicités...Que des personnages humains, avec leur qualités, leurs défauts (mais une bonne dose de crétinerie pour certains) qui vont se retrouver retranchés dans un bar à la merci d'une épidémie. Même si ça, ils ne le sauront pas tout de suite. J'avais misé sur des zombies. C'est à la mode. Ça aurait pu être du terrorisme aussi. En tout cas, c'est là que la parano les contamine car, pour eux, tout le monde a une bonne raison d'être coupable. La vieille aigrie. Le clochard. Le publicitaire barbu parce qu'il a...une valise. De la Iglesia n'hésite pas à grossir grotesquement le trait pour se moquer de nos peurs depuis le début des années 2000. Leur but n'est pas de s'entraider pour survivre. Mais de sauver sa peau par tous les moyens que la fin justifie bien. Et les pauvres passeront dans tous les états possibles. Comme si de la Iglesia prenait un plaisir sadique à les maltraiter, à les brûler, les tremper, les salir, les terroriser, les épuiser. On sait qu'ils ne s'en sortiront pas vivant (du moins pas tous) et il y a cette jubilation à les voir en venir à s'entretuer et à se demander qui pourra bien survivre et par quel moyen. Drôle, politique, violent, sexy, El Bar n'égale pas la folie de Zugarramurdi et ses sorcières. Mais ça reste un film de survie endiablé où je ne me suis pas ennuyé une seconde.
    ned123
    ned123

    157 abonnés 1 685 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2017
    J'ai vu un film... étonnant qui nous en situation dès les premiers plans pour ne plus nous lâcher jusqu'à la fin... On est tenu par la main, car on comprend ce qui se passe et petit-à-petit on est en chute libre... Plus rien n'est expliqué, et on doit, en tant que spectateur comprendre ce qui se passe... Les personnes réunies dans un bar à Madrid vivent, survivent à une situation inexpliquée, et qui ne nous est pas expliqué... Ce n'est d'ailleurs pas le propos du film, mais bien de voir comment se comporte tel ou tel personnage face à l'inadvertance. Le film est noir, grinçant, et bouscule pas mal... Les personnages représentent plusieurs catégories de personnes de la société occidentale (espagnole)... Je retiens cette dimension durant la majeure partie du film où l'on est tenu en haleine par les personnages et les enjeux, puis au fil de l'eau, on s'enfonce (sous terre et dans les égouts). et le film perd un peu de son enjeu... En tout cas, on ne s'ennuie pas, et si parfois l'histoire semble s'essouffler, on est tout de même impressionné par la réalisation, les lumières, le jeu des acteurs... Israel est un fou furieux de la pire espère, mais vraiment un personnage attachant. et Blanca Suarez est sexy à souhait...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 octobre 2017
    Ce film nous propose un huis-clos où les personnages se révèlent petit à petit... Le scénario reste efficace mais ne nous épargne pas certains clichés...
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