Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Positif
par Dominique Martinez
Tour à tour essai poétique, portrait sensible et réaliste, réflexion politique, ce long métrage de fiction secoue le regard ultranormé sur les corps et la différence.
Première
par Alexandre Bernard
Sur fond de progressisme, Jo Sol met en avant le quotidien difficile de ces hommes et de ces femmes qui chaque jour vivent dans l’ombre des valides. Un moment de vie où la barrière floue entre fiction et documentaire file le tournis.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Un film à la vitalité nietzschéenne, que la mélancolie suit comme une ombre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
À jamais révolutionnaire quand celle du corps devient revendication, la notion de liberté se conjugue nécessairement avec l'instinct de vie. À la fois mélancolique et optimiste, le film de Jo Sol fait entendre une voix qui parle à tous.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Jo Sol, nomade du cinéma, a travaillé à Cuba, en Inde, au Mexique, a effectué un trek en Asie, a connu García Marquez et se passionne pour l’anthropologie visuelle. Vibrant plaidoyer pour les rejetés, les marginaux, les hors-cadre, le film a une grâce inattendue. On ne peut qu’aimer ces personnages épris de liberté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans des échanges avec Pepe, Antonio explique très longuement son rapport au corps et la nécessité d’une sexualité comme vecteur de reconnaissance de qui il est, au risque de rendre le film trop bavard. Néanmoins, s’esquisse le portrait solaire et attachant de cet homme qui n’entend pas abdiquer face aux limites que la vie lui a imposées.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film de Jo Sol constitue ainsi, derrière la singularité de son sujet, une interrogation sur l’émancipation et le refus de se soumettre à la passivité qu’assignerait un corps malade à ceux qui en souffrent. La dimension politique du film réside dans une réflexion, où le documentaire et la fiction ne seraient pas antagoniques.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Ce portrait croisé entre un tétraplégique et un homme sorti d'un hôpital psychiatrique séduit par ses accents documentaires, mais aussi par l'audace et la pertinence de sa réflexion qui, au-delà de toute considération morale, pose la sexualité en question politique.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Peu à peu le film dépasse l’enjeu de société pour montrer qu’il est possible de dépasser les frontières entre non-handicapés et handicapés, qui souffrent tous des accidents de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre-Julien Marest
Cette réflexion sur la différence et sur la sexualité dans nos sociétés contemporaines, au style proche du documentaire, milite contre le puritanisme galopant. Courageux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
Le film se complaît dans une esthétique terne et routinière, dans une sorte de volontarisme documentaire, qui le protégerait de tout soupçon de séduction, mais qui de ce fait en devient ostentatoire.
Positif
Tour à tour essai poétique, portrait sensible et réaliste, réflexion politique, ce long métrage de fiction secoue le regard ultranormé sur les corps et la différence.
Première
Sur fond de progressisme, Jo Sol met en avant le quotidien difficile de ces hommes et de ces femmes qui chaque jour vivent dans l’ombre des valides. Un moment de vie où la barrière floue entre fiction et documentaire file le tournis.
aVoir-aLire.com
Un film à la vitalité nietzschéenne, que la mélancolie suit comme une ombre.
Culturopoing.com
À jamais révolutionnaire quand celle du corps devient revendication, la notion de liberté se conjugue nécessairement avec l'instinct de vie. À la fois mélancolique et optimiste, le film de Jo Sol fait entendre une voix qui parle à tous.
L'Obs
Jo Sol, nomade du cinéma, a travaillé à Cuba, en Inde, au Mexique, a effectué un trek en Asie, a connu García Marquez et se passionne pour l’anthropologie visuelle. Vibrant plaidoyer pour les rejetés, les marginaux, les hors-cadre, le film a une grâce inattendue. On ne peut qu’aimer ces personnages épris de liberté.
La Croix
Dans des échanges avec Pepe, Antonio explique très longuement son rapport au corps et la nécessité d’une sexualité comme vecteur de reconnaissance de qui il est, au risque de rendre le film trop bavard. Néanmoins, s’esquisse le portrait solaire et attachant de cet homme qui n’entend pas abdiquer face aux limites que la vie lui a imposées.
Le Monde
Le film de Jo Sol constitue ainsi, derrière la singularité de son sujet, une interrogation sur l’émancipation et le refus de se soumettre à la passivité qu’assignerait un corps malade à ceux qui en souffrent. La dimension politique du film réside dans une réflexion, où le documentaire et la fiction ne seraient pas antagoniques.
Les Fiches du Cinéma
Ce portrait croisé entre un tétraplégique et un homme sorti d'un hôpital psychiatrique séduit par ses accents documentaires, mais aussi par l'audace et la pertinence de sa réflexion qui, au-delà de toute considération morale, pose la sexualité en question politique.
Les Inrockuptibles
Peu à peu le film dépasse l’enjeu de société pour montrer qu’il est possible de dépasser les frontières entre non-handicapés et handicapés, qui souffrent tous des accidents de la vie.
Télérama
Cette réflexion sur la différence et sur la sexualité dans nos sociétés contemporaines, au style proche du documentaire, milite contre le puritanisme galopant. Courageux.
Cahiers du Cinéma
Le film se complaît dans une esthétique terne et routinière, dans une sorte de volontarisme documentaire, qui le protégerait de tout soupçon de séduction, mais qui de ce fait en devient ostentatoire.