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Jonathan P
67 abonnés
395 critiques
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0,5
Publiée le 15 juin 2018
Voilà un braquage, qui fera date comme étant l'un des plus médiocres que vous verrez au cinéma. Sans surprise, la déception et la paresse prédominent devant une pareille catastrophe. Écrit à la truelle, ce nouveau film de Gary Ross est aussi le plus mauvais de sa filmographie, réalisateur à qui l'on doit déjà "Pur Sang, la légende de Seabiscuit" en 2003, mais aussi "Hunger Games" premier volet du nom en 2012, puis plus résument "Free State Of Jones". Ocean's 8, se veut être un spin-off de la formidable saga de Steven Soderbergh, cette fois-ci adieu George Clooney dans le rôle de Danny Ocean, bonjour Debbie Ocean sœur du formidable et talentueux braqueur. Voilà, pour ce qui est des liens de parenté avec la saga que Soderbergh a si rondement menée. Le reste est un ....Boulevardducinema.com
C'est une bonne idée d'avoir fait une nouvelle mouture au féminin, notamment avec la soeur de Danny Ocean. On retrouve exactement le même style que les autres Ocean 11, 12 et 13. C'est clinquant, amusant, fringant, très jubilatoire, sans oublier le suspense et le bluff.
Ce film c'est la feignantise Hollywoodienne incarnée, et si Ocean's 11 c'est du Coca-Cola, là avec ce Ocean's 8, on a juste à faire au vieux cola 1er Prix qui tente de faire comme l'original, mais qui te file juste un arrière gout de produit à chiotte (oui je sais c'est élégant). Ce film n'a absolument aucun interêt et n'apporte rien du tout. On est témoin d'une accumulation de clichés du genre "on est des filles donc on va voler un truc de fille" ou encore "Maintenant qu'on est riche on va toutes imaginer dans nos tête ce qu'on va faire de tout cet argent, et ça va être montré à l'écran comme un signe d'accomplissement" sauf qu'on a déjà vu ça 1000 fois. Je parle même des incohérences stupides, du fan service à gerber (oui Danny Ocean est beau, génial, parfait, on a compris merci). Et même ce qui est sensé être le meilleur moment du film (le gala en l'occurence) est complètement bâclé, pas de tension, aucune subtilité, hyper prévisible, et j'en passe. Maintenant heureusement que Helena Bonham Carter et Anne Hathaway sont là pour nous voler quelques sourires. Bref grosse déception, autant ce refaire le film de 2001 puisque c'est le même (en mieux).
En un mot décevant: Manque de rythme dans la réalisation, scénario trop prévisible mise à part le twist de fin, si on peut appeler ça un twist. Sandra Bullock choquante tellement elle est botoxée, Cate Blanchett fade, pour moi seule Helena Bonham Carter sort sonn épingle du jeu, les restantes faisant de la figuration. Parlons maintenant des petites incohérences du scénrio: spoiler: comment en moins de trois semaines toutes les filles, à part Sandra Bullock et Sarah Paulson, se retrouvent à être employées dans les société travaillant pour le MET qui est pourtant soumis à un système de sécurité que l'on nous vend comme le meilleur du monde? Mystère et spoiler: la façon de convaincre la maison Cartier de préter son collier est juste pas crédible
Pour résumé, on y croit pas et on attend tranquillement sur son siège que le film nous montre ce que l'on a deviné au fur et à mesure et que la lumière se rallume pour sortir en se demandant pourquoi ce film?
En 2002, Steven Soderbergh développa une franchise à succès avec George Clooney, Brad Pitt et Matt Damon. On savourait alors ces films de casse plein d’humour « Ocean’s 11 », « Ocean’s 12 » et« Ocean’s 13 », déjà des remakes d’un film de Lewis Milestone « L’inconnu de Las Vegas ». En 2018, Gary Ross, le réalisateur de « Hunger Games » va renouveler la saga avec des femmes pour héroïnes. Et quelles femmes ! Sandra Bullock, Cate Blanchett, Anne Hathaway, Sarah Paulson, Helena Bonham Carter ou encore Rihanna sont de la partie. Dans le film la première est la sœur de Danny Ocean, récemment décédé. Après cinq ans de prison, elle organise le casse du siècle en dérobant un collier de 150 millions de dollars avec sept autres femmes. Si les actrices sont toutes talentueuses, elles ont toutes forcées sur le maquillage et les traits de leurs personnages sont trop caricaturaux pour nous faire valser. L’intrigue reste d’ailleurs trop simpliste et « Ocean’s 8 » se contente alors d’être un défilé de stars dans un univers de paillettes et d’apparence. Le comble pour un film féministe ! Au-delà des clichés et incohérences, « Ocean’s 8 » reste un divertissement prenant grâce à une énergie accomplie. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Je dois avouer que j'ai passé un agréable moment et je m'attendais a ça au niveau rendu film ni plus ni moins. Les petits clins d'œil à la précédente trilogie devrait plaire aux fans
Ce nouveau "Ocean's", qui lance une nouvelle trilogie version féminine avec la soeur de Danny Ocean, suite de la précédente trilogie, reprend les codes, la mise en scène, et la mise en place de l'intrigue de cette dernière. D'ailleurs ça commence de manière similaire que le début de Ocean's 11, et puis spoiler: on retrouve brièvement 2 personnages de la précédente trilogie . Si le film est réussi, avec son humour et ses rebondissements propre à la saga, je m'attendais à avoir un gros "coup" plus spectaculaire, quelque chose d'encore plus surprenant !
La partition est rodée et donc on connaît la musique....Le club féministe manque de cohésion mais ce n'est pas dérangeant. Les actrices sont pour la plus part retouchées...sauf Paluson (naturel)... Bullock tient bien les reines, ..mais c'est Hattaway qui se démarque par ses mimiques...Blanchett s'est trompée de film.
Du pur Océan ! J’ai beaucoup aime mais je trouve dommage le copié collé du 11 ... on retrouve tous les codes qui nous ont happés sur le premier film : Le duo penseur qui construit l’équipe Le casting farfelu de l’équipe Les caméras truquées Le rythme L’univers feutre et raffiné Le double casse La vengeance Le coéquipier masqué ... bref cela manquait tellement d’originalité que ca donne un côté parodie ou « et toc, nous aussi les filles on sait le faire ! « Dommage dommage
Une façon originale d’offrir une suite à la trilogie déjà mythique. Le code des musiques est reprit à la perfection. La finesse des vannes est à tomber. Et biensûr un casting de folie !
Plutôt que de proposer des rôles originaux à des femmes, Hollywood aime recycler des recettes qui ont fonctionné avec une équipe masculine et les appliquer à un casting féminin. L'idée est louable mais manque d'originalité. Après "SOS fantômes", c'est au tour d'"Ocean's Eleven" de passer à la moulinette du féminisme et de devenir "Ocean's 8" dans lequel Debbie Ocean (Sandra Bullock), sœur de Danny, organise un vol dès sa sortie de prison, mettant sur pied une sacrée belle brochette de stars (Cate Blanchett, Anne Hathaway, Rihanna, Helena Bonham Carter, Sarah Paulson...) pour un plan réglé comme du papier à musique. Alors depuis le temps, les ficelles sont connues et n'ont pas vraiment changé. "Ocean's 8" déroule alors son programme sans surprise, de l'élaboration du vol à ses conséquences. Gary Ross, compère de Steven Soderbergh, orchestre le tout en misant sur des effets chics mais ne fait jamais grand-chose de plus, laissant ses actrices jouer leur rôle avec beaucoup de naturel (Rihanna n'a pas l'air de se forcer, Bonham Carter joue une fois de plus la fofolle de service, Anne Hathaway nous refait le coup de la nana un peu cruche et seule Cate Blanchett essaye de proposer quelques variations dans son rôle). Et bizarrement bien qu'on connaisse tout le programme, on se laisse charmer par le tout. Il faut dire que c'est suffisamment rythmé et tourné avec enthousiasme pour que l'on se prenne au jeu et que l'on se régale de ce nouveau casse improbable, peu original certes mais suffisamment divertissant pour faire le job.
Je ne pensais pas passer un si bon moment en regardant "Ocean's 8", spin-off de la trilogie d'espionnage réalisée par Steven Soderbergh. Ici, Gary Ross ("Hunger Games") prend la relève avec ce volet 100% féminin où la soeur du personnage de George Clooney décide de prendre sa revanche en accomplissant la casse qu'elle a manigancé lors de son séjour en prison. L'originalité s'arrête à son casting, certes, mais la complicité et le plaisir malin de ce gang d'actrices suffit pour nous faire passer un bon moment. En effet, même si le scénario n'offre aucune surprises et que tout se passe comme sur des roulettes (à l'image de la trilogie), "Ocean's 8" revêt la forme d'un divertissement sympathique et rythmé. Je ne me suis personnellement pas ennuyé ; l'humour, le suspense bien tenu et le jeu des actrices à contrario de l'archétype de la femme sensible ou hystérique compensent avec la virilité de ces prédécesseurs. Sans violence, sans sexe et sans grandes explosions, ce volet apporte une touche subtile et glamour, rythmée par une mise en scène énergique et des actrices talentueuses. On retient avant tout l'humour décalé d'Helena Bonham Carter, la malice à toute épreuve de Sandra Bullock, les dreadlocks de Rihanna et l'actrice bébête d'Anne Hathaway. En tout les cas, aucune ne manque de charisme et de punch dans sa robe de soirée. Film de braquage efficace mais très prévisible, "Ocean's 8" assume son style léger et sans pression et nous fait déconnecter le temps d'un plan délirant on ne peut plus maitrisé !
On a voulu être "tendance" et faire un remake féminisé des films "Ocean's 11, 12, 13" mais franchement, cette équipe n'est pas crédible. On voudrait nous faire croire que c'est dans le cerveau frivole et superficiel du personnage qu'incarne Sandra Bullock, qu' aurait pu germer une idée géniale de casse ciselé au poil près ! Tout est calculé, millimétré, anticipé dans les plus petits détails y compris les impondérables ! A mon sens, ce film est de la science-fiction. De plus, même si cela ne gêne personne apparemment, le propos est totalement immoral et malhonnête, à moins que voler les riches ne soit pas condamnable !