Un pale remake féminin de la séries des Ocean....oui d'accord, c'est pas un remake, mais ça y ressemble fortement non?...des clins d'oeil à la première trilogie certes, mais pour le reste, c'est bien décevant! Bullock fait du Clooney, Blanchett fait du Pitt, tout ça en moins bien, bref, on s'ennuie et c'est ennuyeux!
Ocean's 8 est la version carton pâte de son illustre modèle, un film où rien ne fonctionne et évidemment pas l'idée qu'il suffit de féminiser un casting pour donner de l'intérêt à un film. Il est quand même consternant de voir défiler des actrices assez démentielles dans une atmosphère où le cabotinage et le glamour sont autorisés (voir encouragés), et de les faire jouer comme des grilles pains. C'est bien simple : tout le monde fait la gueule, avec un petit sourire en coin genre "on est sérieuses mais malines". Aucun second degré dans les personnages, aucune idée pour les mettre en valeur, un charisme proche du néant qui renvoie le spectateur aux pires épisodes de series policières américaines (type experts à Miami, botox, jeu interchangeable, twist final en bois et co). La réalisation brille par sa mollesse et son manque flagrant de rythme et d'inventivité, la ou Soderbergh épicait astucieusement ses films de plans élaborés, et de montage claquants et de comédiens au charme fou qu'il encourageait à se lâcher. Au final, en plus d'un film de casse, on avait l'impression de voir un film de potes. Ici l'histoire est une copie conforme du 1er Ocean's, et rien ne sort jamais le spectateur des rails d'un ennui mortel qui en plus se fait clinquant et prétentieux. Les actrices semblent elles meme chercher leurs marques dans ces rôles sans âme, uniquement incarnés par un héritage glorieux mais passé. Il aurait été tellement plus audacieux de créer d'autres personnages, d'autres situations.... de la nouveauté en somme ! Quelque chose à incarner et non à fadement réinterpréter. Au final, on sera plus ébloui par un résumé hebdo de la fashion week sur une obscure chaine de la TNT que par ce navet sans âme.
Ce film ne m'a absolument pas diverti .Au contraire, il est plutôt agaçant.Il n'y a aucune balle de tirée comme dans les cambriolage classique, mais quelle fadeur dans ce cambriolage.Pas d'action.
Avant tout, je souhaite préciser que je n'ai jamais eu l'occasion de visionner la trilogie originelle des Ocean's. Honte à moi, je le sais, mais je n'ai entendu parler de cette trilogie qu'à la sortie de ce " reboot " ou spint-off version féminine. Avec la sortie de Wonder Woman, et de Ocean's 8 je remarque que les films blockbusters américains essayent de plus en plus d'envoyer des messages féministes. Ce qui d'ailleurs me plait beaucoup.
Bref, petite parenthèse....Je reviens sur mon avis sur ce films. J'ai passé du très bon temps, et même si je m'attendais à un peu plus au niveau de l'intrigue, c'était divertissant et très bien ficelé bien que classique dans le genre ( mission impossible ou encore insaisissable ). D'ailleurs les réalisateurs nous offrent quelques " plot tuist " à la fin, mais rien de bien extraordinaire. Les personnages, pour certains, sont charismatique et le jeu d'acteur est parfait : je parle de Sandra Bullock, Cate Blanchett et Anne Hathway ( qui joue parfaitement la " stupid bitch " ) . J'ai également remarqué le ton d'ironie que prenait le réalisateur lors des scènes " chic ". Le ton de satire pris afin de se moquer de la classe aristocratique et snob est très amusant, et le petit clin d'oeil à l'aristocratie française longtemps critiqué et tournée au ridicule est original.
Bref, un bon film à regarder afin de se vider l'esprit sans trop s'abrutir.
Je valide ce film, moins charismatique que les précédents avec l’équipe de Danny Ocean mais celui ci est tout de même pas mal du tout. 8 femmes canon et un scénario qui tient la route en font un bon film
C'est léger, efficace, avec des rebondissements et toutes ces jolies femmes sont vraiment crédibles. On ne s'ennuie jamais et tout cela est de très bonne facture avec une réalisation pertinente et soignée.
nul, aucun intérêt, plat plat plat, linéaire, alors que ce qui faisait l intérêt de la franchise, c'était justement le rythme et le montage. le rebondissement à la fin arrive comme un cheveu sur la soupe, nul.
Pas mal mais sans plus. Le film est vraiment trop semblable aux précédents, et cela se voit depuis le départ puisque la première scène reprend exactement la scène d'intro du premier Ocean's 11 (la sortie de prison) avant de nous montrer une Cate Blanchett exacte copie du personnage de Brad Pitt (même look, même attitude, même couleur de cheveux et de vêtements, même type de relation avec sa partenaire...). On comprend dès lors que ce sera exactement pareil (même si on revient à plus de réalisme après le trop-plein de Ocean's 13) et la suite du film le confirme, ce qui fait que ce n'est pas désagréable mais que la certitude du déjà-vu est souvent un peu pesante: jamais le film et ses personnages ne s'affranchissent de l'original, en gros c'est un film de casse fait par des mecs qui font des virées shopping...
Et dernier détail, mais non des moindres, le film, qui promeut l'égalité, tombe à côté à cause de la grande injustice liée à la chirurgie esthétique, qui se voit ici cruellement chez certaines, le film démontrant sans le vouloir qu'il n'est pas possible de mettre des femmes de la même génération que les hommes dans le même rôle sans que celles-ci ne doivent être retouchés pour paraître au moins une génération plus jeune... Le film se retrouve donc finalement à prêcher un peu contre son thème de départ, à son corps défendant.
Enfin un film comme on les voudrait tous! Intelligent: rien d’incoherent dans le scenario Cadence: ce film vous absorbe tellement il est bien rythme Actrices: toutes sont parfaites dans leurs roles A voir et a revoir sans moderation.
Lamentable L'idée de départ était pourtant plaisante : Nous rabâcher une énième fois un casse improbable réalisé de main de maître par la famille Ocean. Pour cet épisode, dans la famille gratemoiquejetetouche, je demande Sandra Bullock => Bonne pioche, comme à son habitude la star hollywoodienne fraîchement botoxé se regarde le nombril et avec son équipe de super nanas (CATE BLANCHETT, RIHANNA, MINDY KALING, SARAH PAULSON (désolé, j'ai copié/collé les noms)), elle ne nous propose que du vu revu et re re vu. C'est plat, attendu et sans saveur. Sur le ton de la
C'est sûr on ne peut pas reprocher au réalisateur de faire un copier-coller de la série Ocean's. Seulement là non seulement il n'y a pas de scénario mais les actrices sont plus que nulles ( ne voyez là aucun machisme ou autre), c'est juste que ça tiens pas la route, la totalement refaite Sandra Bullock ( que l'on reconnait à peine tant les opérations chirurgicales sont passées par là) est archie mauvaise, idem pour les autres actrices, pas une pour rattraper l'autre.Aucune mise en scène digne de ce nom, aucun rebondissements ou quoique se soit auquel se raccrocher. L'histoire est plate, les actrices n'y croit pas ça saute aux yeux. En bref, Passez votre chemin, vous allez perdre votre temps.
Dès les premières minutes, le film manque tellement de spontanéité - les actrices, qu'on adore tous semblent totalement à côté de la plaque dont la géniale Sandra Bullock. En fait, ça prend vraiment du temps à se mettre en place que le sentiment est désagréable : comme si les capacités n'étaient pas du tout exploitées. Comme si l'overdose médiatique promotionnelle et le casting 5 étoiles allaient nous rassasier. Dans la réalisation, tout nous fait montrer qu'Ocean's 8 se voulait accessible à tous mais le film est vraiment moins racé que les volets précédents.Il faut donc attendre exactement les 45ème dernières minutes, pour voir du moment, le plus simpliste possible. En termes de scénario, ça ne déroge pas vraiment à la recette des mythiques volets Ocean's mais ça apparaît plutôt "has been" tant les choses se déroulent trop simplement, sans saveur. Et sinon, les guests sont déplorables entre Rihanna totalement affichée pour le marketing et James Corden dont on n'oublie déjà son utilité. Mention spéciale tout de même pour l'idée pas mal de la fin du film spoiler: pourquoi n'en voler qu'un ? . Mais, on a perdu l'esprit Ocean's avec un film ric rac au simplisme perturbé