Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Les "Ocean’s 8" étonnent jusqu’à la fin de ce thriller au féminin. Le spectateur n’est pas au bout de ses surprises habilement dévoilées par le réalisateur du premier "Hunger Games".
CNews
par La rédaction
Si le scénario écarte tout rebondissement fantasque, il conserve l’humour apprécié dans la trilogie de Steven Soderbergh, et fait un pied de nez à l’archétype de la femme sensible, mièvre ou hystérique.
Closer
par La rédaction
Le très glamour casting de filles suffit à lui seul à nous convaincre de nous laisser séduire par ce film pensé à la fois comme une suite et un spin-off de la saga initiale.
Elle
par Khadija Moussou
Sans violence, sans explosion et sans sexe : "Ocean’s 8" compense tout ce qui faisait le sel d’un film viril par un pitch séduisant, une mise en scène énergique et un incroyable casting féminin aussi cool que talentueux.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par La rédaction
Glamour, aventures et affiche de choc: ces drôles de dames devraient faire un carton au box-office.
IGN France
par Sylvain Trinel
Dans le nouveau film de la saga Ocean, les femmes prennent le pouvoir et délivrent un film de braquage particulièrement efficace.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
LCI
par La rédaction
(...) une équipe de choc exclusivement féminine, soit huit femmes qui sont toutes drôles, charismatiques et très crédibles dans leurs rôles.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
Stylé, élégant, tout en séduction et en rythme, "Ocean’s 8" transpose l’art du braquage des casinos de Las Vegas vers l’univers feutré des milieux de la mode et autres "fashion weeks" uniquement fréquentées par des personnalités de haut vol.
Le Parisien
par Chloé Cohen
(...) cette déclinaison 100 % féminine n’a rien à envier à ses prédécesseurs et trace sa propre route.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
Vous gardez un souvenir ému de ce précipité de virilité hollywoodienne ? Alors vous adorerez "Ocean's 8", sa bande de femmes sculpturales en robe de soirée et son plan délirant pour faire main basse sur un bijou Cartier surprotégé.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Le film de Gary Ross est une savoureuse variation au féminin de la trilogie "Ocean’s 11-12-13" portée en son temps par le gang Pitt-Clooney-Damon.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Public
par Florence Roman
Un spin-off où l'on retrouve humour et décontraction classy.
Bande à part
par Isabelle Danel
Ça tient du pitch et de l’opération marketing, Gary Ross n’est pas Soderbergh, mais l’ensemble a du punch, de l’humour et les actrices s’amusent. Alors nous aussi…
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
On ne s’ennuie pas une seconde dans ce film distrayant de bout en bout. Un bon moment dont on aurait tort de se priver.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
"Ocean's 8" est un bon gros divertissement bien écrit (pour ce qu'il est), bien exécuté, même si, ici ou là, on sent les actrices se rendre compte qu'elles jouent des silhouettes et assez peu des personnages.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le scénario sent le réchauffé, mais il est efficace, adoptant la structure narrative de la saga : préparation et exécution de l’opération, rebondissement final pour montrer au spectateur que lui aussi a été dupé. Pour son plus grand plaisir.
Le Journal du Geek
par Elodie
On passe un bon moment, mais avec un sentiment de déjà vu un peu trop présent.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Un spin-off fonctionnel, qui souffre d’une écriture trop sage mais reste toujours plaisant, notamment grâce à l’énergie d’Anne Hathaway.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Du clinquant, de la dorure, du chic et du choc certes mais surtout de l’élégance, de l’humour et du rythme. Ou comment doper un film de casse par une bonne dose de malice et de second degré.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Malgré des incohérences et l'absence de suspense, cette décontraction assumée fait le charme de cette comédie policière.
Télé Loisirs
par M.A.
Un divertissement efficace et enlevé, malgré une impression de déjà-vu.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
La formule est la même qu’avec leurs homologues masculins : un score 70’s et un casse trop tarabiscoté pour que le spectateur se sente impliqué.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Pas une once d'imagination, d'esprit et de cinéma dans ce produit dérivé gênant et transparent. Ou comment gâcher le talent d'excellentes actrices et donner des arguments aux rageux face à ce "Ocean's Eleven" au féminin.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Jérémy Patrelle
Si le plan se déroule sans accroc (ce n'est pas un spoil, quiconque connaît la saga Ocean sait à quoi s'en tenir), le film passe sans émotions, sans surprises, sans rebondissements, presque sans âme finalement.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Nicolas Schaller
C'est bien beau de féminiser la franchise "Ocean's", encore faudrait-il offrir à ces dames le même écrin qu'à ces messieurs. Intrigue fonctionnelle, humour sommaire, charme surfait : c'est du divertissement mécanique, un défilé de stars, de botox et de placements de marques (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La rédaction
Au final beaucoup de bluff pour rien.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Adrien Gombeaud
"Ocean's 8" suit scrupuleusement la recette de la saga initiale et, pourtant, le cocktail n'a plus la même saveur.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Bien que truffé de maladresses, "Ocean's 8" est tout aussi séduisant que ses protagonistes. Parfaitement calibré, il a tout du plaisir coupable de l'été !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Critikat.com
par Fabien Reyre
Gary Ross (...) tente de reproduire la nonchalance et la décontraction des "Ocean’s Eleven" sans jamais réussir à saisir ce mélange d’efficacité et de légèreté qui ont fait leur succès.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
(...) un pur objet de divertissement, obéissant à toutes les règles du marketing en vigueur à Hollywood, mais dont l’efficacité sans âme confine à l’ennui. Ce ne serait pas si grave si l’intention de départ, à savoir inverser l’image masculine du hors-la-loi qui domine le cinéma américain, ne produisait l’effet contraire.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Murielle Joudet
À trop se gargariser de servir une version féminine de la saga, Gary Ross semble ainsi croire que la portée féministe du film adviendra d’elle-même et qu’il suffit de filmer Rihanna en train de pianoter énergiquement sur son ordinateur portable et Sandra Bullock dévaliser le rayon beauté d’un magasin pour nous faire croire à des personnages féminins aussi culottés et roublards que leur version masculine.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Au milieu ne trône qu’une espèce de clafoutis de gimmicks du film de casse, jamais virtuose, rarement présentable, et dont l’unique effet est de nous laisser sur notre faim, en espérant que la bataille pour la féminisation de l’entertainment se trouve très vite un porte-étendard moins mollasse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Suite de la série initiée par Steven Soderbergh, le film de Gary Ross aligne un casting féminin rutilant et croit renouveler le genre sans idée originale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
Problème, avec son scénario mécanique et sa mise en scène sans âme (assurée par… un homme : Gary Ross), Ocean's 8 traîne en longueur et se contente de faire l'éloge de l'appât du gain et du bling-bling, à grand renfort de plans insistants sur les bijoux et les robes de soirée mirobolantes arborées par ses actrices.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télérama
par Jérémie Couston
Il n’est pas interdit, loin s’en faut, d’éprouver un certain plaisir à voir ces femmes fatales dérouler leur plan sans le moindre accroc. Mais la jubilation promise par le genre (le film de casse) achoppe sur les efforts de la production, limités à l’inversion du genre (masculin/féminin).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
(...) le scénario fastidieux et la mise en scène impersonnelle de Gary Ross se contentent de nous faire suivre l’avancée d’un plan tout juste digne d’un épisode d’Arsène Lupin, et ce sans jamais que les personnages ne rencontrent de péripéties qui les obligeraient à nous surprendre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Les "Ocean’s 8" étonnent jusqu’à la fin de ce thriller au féminin. Le spectateur n’est pas au bout de ses surprises habilement dévoilées par le réalisateur du premier "Hunger Games".
CNews
Si le scénario écarte tout rebondissement fantasque, il conserve l’humour apprécié dans la trilogie de Steven Soderbergh, et fait un pied de nez à l’archétype de la femme sensible, mièvre ou hystérique.
Closer
Le très glamour casting de filles suffit à lui seul à nous convaincre de nous laisser séduire par ce film pensé à la fois comme une suite et un spin-off de la saga initiale.
Elle
Sans violence, sans explosion et sans sexe : "Ocean’s 8" compense tout ce qui faisait le sel d’un film viril par un pitch séduisant, une mise en scène énergique et un incroyable casting féminin aussi cool que talentueux.
Femme Actuelle
Glamour, aventures et affiche de choc: ces drôles de dames devraient faire un carton au box-office.
IGN France
Dans le nouveau film de la saga Ocean, les femmes prennent le pouvoir et délivrent un film de braquage particulièrement efficace.
LCI
(...) une équipe de choc exclusivement féminine, soit huit femmes qui sont toutes drôles, charismatiques et très crédibles dans leurs rôles.
Le Figaroscope
Stylé, élégant, tout en séduction et en rythme, "Ocean’s 8" transpose l’art du braquage des casinos de Las Vegas vers l’univers feutré des milieux de la mode et autres "fashion weeks" uniquement fréquentées par des personnalités de haut vol.
Le Parisien
(...) cette déclinaison 100 % féminine n’a rien à envier à ses prédécesseurs et trace sa propre route.
Le Point
Vous gardez un souvenir ému de ce précipité de virilité hollywoodienne ? Alors vous adorerez "Ocean's 8", sa bande de femmes sculpturales en robe de soirée et son plan délirant pour faire main basse sur un bijou Cartier surprotégé.
Paris Match
Le film de Gary Ross est une savoureuse variation au féminin de la trilogie "Ocean’s 11-12-13" portée en son temps par le gang Pitt-Clooney-Damon.
Public
Un spin-off où l'on retrouve humour et décontraction classy.
Bande à part
Ça tient du pitch et de l’opération marketing, Gary Ross n’est pas Soderbergh, mais l’ensemble a du punch, de l’humour et les actrices s’amusent. Alors nous aussi…
Franceinfo Culture
On ne s’ennuie pas une seconde dans ce film distrayant de bout en bout. Un bon moment dont on aurait tort de se priver.
L'Express
"Ocean's 8" est un bon gros divertissement bien écrit (pour ce qu'il est), bien exécuté, même si, ici ou là, on sent les actrices se rendre compte qu'elles jouent des silhouettes et assez peu des personnages.
Le Journal du Dimanche
Le scénario sent le réchauffé, mais il est efficace, adoptant la structure narrative de la saga : préparation et exécution de l’opération, rebondissement final pour montrer au spectateur que lui aussi a été dupé. Pour son plus grand plaisir.
Le Journal du Geek
On passe un bon moment, mais avec un sentiment de déjà vu un peu trop présent.
Les Fiches du Cinéma
Un spin-off fonctionnel, qui souffre d’une écriture trop sage mais reste toujours plaisant, notamment grâce à l’énergie d’Anne Hathaway.
Première
Du clinquant, de la dorure, du chic et du choc certes mais surtout de l’élégance, de l’humour et du rythme. Ou comment doper un film de casse par une bonne dose de malice et de second degré.
Télé 7 Jours
Malgré des incohérences et l'absence de suspense, cette décontraction assumée fait le charme de cette comédie policière.
Télé Loisirs
Un divertissement efficace et enlevé, malgré une impression de déjà-vu.
CinemaTeaser
La formule est la même qu’avec leurs homologues masculins : un score 70’s et un casse trop tarabiscoté pour que le spectateur se sente impliqué.
Ecran Large
Pas une once d'imagination, d'esprit et de cinéma dans ce produit dérivé gênant et transparent. Ou comment gâcher le talent d'excellentes actrices et donner des arguments aux rageux face à ce "Ocean's Eleven" au féminin.
GQ
Si le plan se déroule sans accroc (ce n'est pas un spoil, quiconque connaît la saga Ocean sait à quoi s'en tenir), le film passe sans émotions, sans surprises, sans rebondissements, presque sans âme finalement.
L'Obs
C'est bien beau de féminiser la franchise "Ocean's", encore faudrait-il offrir à ces dames le même écrin qu'à ces messieurs. Intrigue fonctionnelle, humour sommaire, charme surfait : c'est du divertissement mécanique, un défilé de stars, de botox et de placements de marques (...).
Le Figaro
Au final beaucoup de bluff pour rien.
Positif
"Ocean's 8" suit scrupuleusement la recette de la saga initiale et, pourtant, le cocktail n'a plus la même saveur.
Rolling Stone
Bien que truffé de maladresses, "Ocean's 8" est tout aussi séduisant que ses protagonistes. Parfaitement calibré, il a tout du plaisir coupable de l'été !
Critikat.com
Gary Ross (...) tente de reproduire la nonchalance et la décontraction des "Ocean’s Eleven" sans jamais réussir à saisir ce mélange d’efficacité et de légèreté qui ont fait leur succès.
La Croix
(...) un pur objet de divertissement, obéissant à toutes les règles du marketing en vigueur à Hollywood, mais dont l’efficacité sans âme confine à l’ennui. Ce ne serait pas si grave si l’intention de départ, à savoir inverser l’image masculine du hors-la-loi qui domine le cinéma américain, ne produisait l’effet contraire.
Le Monde
À trop se gargariser de servir une version féminine de la saga, Gary Ross semble ainsi croire que la portée féministe du film adviendra d’elle-même et qu’il suffit de filmer Rihanna en train de pianoter énergiquement sur son ordinateur portable et Sandra Bullock dévaliser le rayon beauté d’un magasin pour nous faire croire à des personnages féminins aussi culottés et roublards que leur version masculine.
Les Inrockuptibles
Au milieu ne trône qu’une espèce de clafoutis de gimmicks du film de casse, jamais virtuose, rarement présentable, et dont l’unique effet est de nous laisser sur notre faim, en espérant que la bataille pour la féminisation de l’entertainment se trouve très vite un porte-étendard moins mollasse.
Libération
Suite de la série initiée par Steven Soderbergh, le film de Gary Ross aligne un casting féminin rutilant et croit renouveler le genre sans idée originale.
Marianne
Problème, avec son scénario mécanique et sa mise en scène sans âme (assurée par… un homme : Gary Ross), Ocean's 8 traîne en longueur et se contente de faire l'éloge de l'appât du gain et du bling-bling, à grand renfort de plans insistants sur les bijoux et les robes de soirée mirobolantes arborées par ses actrices.
Télérama
Il n’est pas interdit, loin s’en faut, d’éprouver un certain plaisir à voir ces femmes fatales dérouler leur plan sans le moindre accroc. Mais la jubilation promise par le genre (le film de casse) achoppe sur les efforts de la production, limités à l’inversion du genre (masculin/féminin).
aVoir-aLire.com
(...) le scénario fastidieux et la mise en scène impersonnelle de Gary Ross se contentent de nous faire suivre l’avancée d’un plan tout juste digne d’un épisode d’Arsène Lupin, et ce sans jamais que les personnages ne rencontrent de péripéties qui les obligeraient à nous surprendre.