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27 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce qui aurait pu accoucher d’une comédie romantique de plus se révèle un nectar. Si Nicolas Bedos s’attribue la réalisation et les dialogues de "Monsieur et Madame Adelman", il partage la paternité de ce joyau avec Doria Tillier, avec laquelle il signe le scénario et à qui il offre le rôle principal en or, endossé avec une perspicacité de tous les instants.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette chronique brillamment écrite mêle réflexion sur l’amour et humour noir en faisant montre d’une ambition louable. Le film est certes un peu long mais il révèle deux créateurs capables de faire rire avec une grande liberté.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
Ensemble dans la vie, Nicolas Bedos et Doria Tillier signent une épopée conjugale entre romantisme, humour et acidité, teinté d'une réflexion sur la célébrité.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un film touchant.
L'Express
par Eric Libiot
Nicolas Bedes, lui, croit au romanesque. C'est gonflé. Pas très à la mode. Surtout en France, où l'on préfère le verbe aux corps, les mots aux claques et les compléments d'objet direct aux baisers. C'est gonflé, mais cette attitude, à la limite de la provocation, mérite attention. Voire applaudissements.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une auto-fiction imaginaire, nourrie de l’esprit irrévérencieux de ses auteurs, et qui réussit à raconter toute une vie : le pari était assez ambitieux, il est plutôt réussi.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Trop long, mais brillamment écrit, parfois très drôle, et sous-tendu par la belle émotion d'un amour qui traverse le temps. En Fregoli du sentiment amoureux, Doria Tillier est sensationnelle.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Dans une sorte d'euphorie contagieuse et sans perdre de vue son récit à tiroirs, le film malmène ses personnages, prend par les cornes une kyrielle de clichés sur les bourgeois, les cathos, les juifs, la création, la filiation, le milieu littéraire ou la dépression.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"Monsieur & Madame Adelman" est une sacrée entreprise de cinéma conduite de main de maître.
Le Point
par Julie Malaure
Cinquante ans de vie et autant de nuances, belles, drôles, tristes, diablement jouées. Sur le thème de l'amour « irréversible », mais du mariage « douloureux ». Et, au fond, un hommage délicat aux femmes de l'ombre derrière les hommes solaires.
Marianne
par Danièle Heymann
Le film, animé d’un inextinguible énergie, est aussi courageusement incorrect.
Marianne
par Danièle Heyman
"Monsieur & Madame Adelman" (...) révèle une formidable faim de cinéma, tout comme une délectable comédienne dont ce sont les débuts, Doria Tillier, cosignataire du scénario.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C'est joliment drôle et enlevé.
Paris Match
par Alain Spira
Explosif, narcissique et généreux, tour à tour impitoyable et pitoyable, le fiston Bedos réalise son numéro sans filet. Quant à Dona Tillier, sa partenaire du tonnerre, elle s'impose d'emblée dans le cercle très fermé des beautés pas sottes et rigolotes.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un bijou romanesque qui révèle le talent de Doria Tillier.
Télé 2 semaines
par Claire Picard
Portée par des seconds rôles excellents - notamment Denis Podalydès en psychologue et Pierre Arditi en beau-père odieux, irrésistibles - cette histoire de couple se savoure le sourire aux lèvres.
Voici
par Lola Sciamma
A la fois comédie romantique, comédie méchante tout court et polar littéraire avec cadavres dans le tiroir, le film est avant tout une grande histoire d'amour romanesque, complexe, drôle, et parfois terriblement émouvante.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Sur un ton jamais grinçant mais toujours inspiré et souvent impertinent, les situations se suivent, se télescopent mais ne se ressemblent jamais.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Bedos règle ses comptes avec la famille, se joue des clichés, de la bien-pensance et du complexe de l’imposteur avec plus ou moins de bonheur, et du panache. Surtout, son couple existe. S’il n’est pas toujours beau, l’amour dure donc plus de trois ans.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Les répliques se révèlent percutantes. Mais, même si Doria Tillier partie prenante en amont du scénario, a freiné son « inclination naturelle pour la provocation », le ton de Nicolas Bedos se fait souvent grinçant, voire franchement dérangeant autour du fils détesté par le père parce qu’attardé ou d’un gigolo que Victor tente d’imposer à sa femme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un premier film ambitieux et insolent, acerbe et cruel, bourré de références à Woody Allen, à Martin Scorsese, à John Cassavetes. Aussi irritant que séduisant. Longue vie au romanesque !
Télérama
par Guillemette Odicino
N'est pas Sydney Pollack qui veut, mais Bedos fait preuve de sens du romanesque et d'acidité. Il ne ménage pas monsieur, l'écrivain en crise qu'il incarne, préférant porter son attention admirative sur madame, belle éminence grise et bien plus... Et laisse Doria Tillier lui piquer la vedette. Dans son premier rôle au cinéma, elle est formidable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Écrit à quatre mains et joué à deux têtes, le premier long métrage de Nicolas Bedos est largement à son image : coûte que coûte irrévérencieux, au point de n’apparaître plus très sincère.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Outre qu’on se demande ce qu’ils ont tous à vouloir se vieillir artificiellement, comme si cela ne se voyait pas qu’ils sont maquillés, le portrait de ce couple ne prend pas, et sa traversée s’étire sans exister. C’est comme si le film n’arrivait pas à tisser sa propre matière.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Maël Mubalegh
Comme viendra le confirmer l’épilogue, Nicolas Bedos n’aura finalement rien fait d’autre, deux heures durant, que de remuer les tréfonds du "sale petit secret", soit la tare originelle du cinéma de qualité française.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par La Rédaction
Sans doute, le thème de l’imposture, qui court tout au long du film, est-il le fil qui aurait pu mener le fils de Guy Bedos à une authentique mise en danger de lui-même. Mais l’occasion est gâchée par la grandiloquence et le mauvais théâtre qui animent ce type de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Pendant deux heures exténuantes, alternant flash-backs et flashforwards, le film déroule un récit ultra bavard et répétitif, prétexte à un festival de poncifs sur le couple, l’art, la maladie ou la famille.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Franceinfo Culture
Ce qui aurait pu accoucher d’une comédie romantique de plus se révèle un nectar. Si Nicolas Bedos s’attribue la réalisation et les dialogues de "Monsieur et Madame Adelman", il partage la paternité de ce joyau avec Doria Tillier, avec laquelle il signe le scénario et à qui il offre le rôle principal en or, endossé avec une perspicacité de tous les instants.
20 Minutes
Cette chronique brillamment écrite mêle réflexion sur l’amour et humour noir en faisant montre d’une ambition louable. Le film est certes un peu long mais il révèle deux créateurs capables de faire rire avec une grande liberté.
Closer
Ensemble dans la vie, Nicolas Bedos et Doria Tillier signent une épopée conjugale entre romantisme, humour et acidité, teinté d'une réflexion sur la célébrité.
Femme Actuelle
Un film touchant.
L'Express
Nicolas Bedes, lui, croit au romanesque. C'est gonflé. Pas très à la mode. Surtout en France, où l'on préfère le verbe aux corps, les mots aux claques et les compléments d'objet direct aux baisers. C'est gonflé, mais cette attitude, à la limite de la provocation, mérite attention. Voire applaudissements.
Le Dauphiné Libéré
Une auto-fiction imaginaire, nourrie de l’esprit irrévérencieux de ses auteurs, et qui réussit à raconter toute une vie : le pari était assez ambitieux, il est plutôt réussi.
Le Figaro
Trop long, mais brillamment écrit, parfois très drôle, et sous-tendu par la belle émotion d'un amour qui traverse le temps. En Fregoli du sentiment amoureux, Doria Tillier est sensationnelle.
Le Journal du Dimanche
Dans une sorte d'euphorie contagieuse et sans perdre de vue son récit à tiroirs, le film malmène ses personnages, prend par les cornes une kyrielle de clichés sur les bourgeois, les cathos, les juifs, la création, la filiation, le milieu littéraire ou la dépression.
Le Parisien
"Monsieur & Madame Adelman" est une sacrée entreprise de cinéma conduite de main de maître.
Le Point
Cinquante ans de vie et autant de nuances, belles, drôles, tristes, diablement jouées. Sur le thème de l'amour « irréversible », mais du mariage « douloureux ». Et, au fond, un hommage délicat aux femmes de l'ombre derrière les hommes solaires.
Marianne
Le film, animé d’un inextinguible énergie, est aussi courageusement incorrect.
Marianne
"Monsieur & Madame Adelman" (...) révèle une formidable faim de cinéma, tout comme une délectable comédienne dont ce sont les débuts, Doria Tillier, cosignataire du scénario.
Ouest France
C'est joliment drôle et enlevé.
Paris Match
Explosif, narcissique et généreux, tour à tour impitoyable et pitoyable, le fiston Bedos réalise son numéro sans filet. Quant à Dona Tillier, sa partenaire du tonnerre, elle s'impose d'emblée dans le cercle très fermé des beautés pas sottes et rigolotes.
Studio Ciné Live
Un bijou romanesque qui révèle le talent de Doria Tillier.
Télé 2 semaines
Portée par des seconds rôles excellents - notamment Denis Podalydès en psychologue et Pierre Arditi en beau-père odieux, irrésistibles - cette histoire de couple se savoure le sourire aux lèvres.
Voici
A la fois comédie romantique, comédie méchante tout court et polar littéraire avec cadavres dans le tiroir, le film est avant tout une grande histoire d'amour romanesque, complexe, drôle, et parfois terriblement émouvante.
aVoir-aLire.com
Sur un ton jamais grinçant mais toujours inspiré et souvent impertinent, les situations se suivent, se télescopent mais ne se ressemblent jamais.
L'Obs
Bedos règle ses comptes avec la famille, se joue des clichés, de la bien-pensance et du complexe de l’imposteur avec plus ou moins de bonheur, et du panache. Surtout, son couple existe. S’il n’est pas toujours beau, l’amour dure donc plus de trois ans.
La Croix
Les répliques se révèlent percutantes. Mais, même si Doria Tillier partie prenante en amont du scénario, a freiné son « inclination naturelle pour la provocation », le ton de Nicolas Bedos se fait souvent grinçant, voire franchement dérangeant autour du fils détesté par le père parce qu’attardé ou d’un gigolo que Victor tente d’imposer à sa femme.
La Voix du Nord
Un premier film ambitieux et insolent, acerbe et cruel, bourré de références à Woody Allen, à Martin Scorsese, à John Cassavetes. Aussi irritant que séduisant. Longue vie au romanesque !
Télérama
N'est pas Sydney Pollack qui veut, mais Bedos fait preuve de sens du romanesque et d'acidité. Il ne ménage pas monsieur, l'écrivain en crise qu'il incarne, préférant porter son attention admirative sur madame, belle éminence grise et bien plus... Et laisse Doria Tillier lui piquer la vedette. Dans son premier rôle au cinéma, elle est formidable.
Les Fiches du Cinéma
Écrit à quatre mains et joué à deux têtes, le premier long métrage de Nicolas Bedos est largement à son image : coûte que coûte irrévérencieux, au point de n’apparaître plus très sincère.
Sud Ouest
Outre qu’on se demande ce qu’ils ont tous à vouloir se vieillir artificiellement, comme si cela ne se voyait pas qu’ils sont maquillés, le portrait de ce couple ne prend pas, et sa traversée s’étire sans exister. C’est comme si le film n’arrivait pas à tisser sa propre matière.
Critikat.com
Comme viendra le confirmer l’épilogue, Nicolas Bedos n’aura finalement rien fait d’autre, deux heures durant, que de remuer les tréfonds du "sale petit secret", soit la tare originelle du cinéma de qualité française.
Le Monde
Sans doute, le thème de l’imposture, qui court tout au long du film, est-il le fil qui aurait pu mener le fils de Guy Bedos à une authentique mise en danger de lui-même. Mais l’occasion est gâchée par la grandiloquence et le mauvais théâtre qui animent ce type de cinéma.
Les Inrockuptibles
Pendant deux heures exténuantes, alternant flash-backs et flashforwards, le film déroule un récit ultra bavard et répétitif, prétexte à un festival de poncifs sur le couple, l’art, la maladie ou la famille.