Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Virginie Efira se révèle formidable en mère courage face à l'adversité. Un film dans l'ère du temps, entre drame social et thriller familial.
Libération
par Anne Diatkine
Pris de court est un film modeste dont la force tient à la mise en scène économe et fiévreuse et aux acteurs déments.
Ouest France
par Pierre Lunn
La touchante chronique familiale se transforme peu à peu en thriller minimaliste porté par une Virginie Efira impressionnante.
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans "Pris de court", la comédienne confirme toutes les possibilités et le charisme qu’elle avait révélés avec "Victoria"…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Anne Diatkine
Les acteurs sont géniaux, les enfants, Renan Prévot et Jean-Baptiste Blanc, autant que Gilbert Melki en vrai méchant terrifiant sous ses airs d’hommes doux. Et Virginie Efira ? Elle est tout simplement notre Gena Rowlands.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur fond de drame familial, un thriller tendu, mené avec une froideur de ton et un minimalisme de forme qui en font tout l’intérêt.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
On ne voit pas si souvent des personnages qui semblent avoir un passé, un CV, des espoirs et des fins de mois. La réalisatrice est solidement épaulée par une Virginie Efira qui s'impose comme une des actrices les plus intéressantes de sa génération.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Éric Vernay
Un classique drame familial se révèle en polar dépouillé à l'efficacité redoutable.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Au-delà du pur suspense, il y a dans cette histoire ressuscitant en filigrane la « Gloria » de Cassavetes une façon réjouissante de donner le pouvoir à une femme, à l’intérieur d’un registre habituellement masculin.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Sidy Sakho
Dans le rôle du prédateur menaçant, Gilbert Melki est parfait et sobre. Une science rare de l'ellipse permet à Emmanuelle Cuau de cultiver tout du long une incertitude sur l'issue. C'est bien nous qui, face à cette combinaison de naturalisme et de film de genre, somme en permanence pris de court.
Voici
par La Rédaction
Ce film de la trop rare Emmanuelle Cuau n'est pas un polar social, mais un drame familial minimaliste resserré autour du trio (ellipses, voire raccourcis), qui glisse vers le thriller. Et que l'on suit avec une boule au ventre.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Des acteurs sincères et convaincants emportés sans temps mort dans le tourbillon du mensonge.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Un film singulier de par sa simplicité apparente, son sens du suspense, confirmant la place à part d'Emmanuelle Cuau.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Encore un rôle de mère célibattante au bord de la crise de nerfs pour Virginie Efira, mais dans un registre moins alerte que celui de "Victoria". Avec ses faux airs de Gena Rowlands, l’actrice convainc. Le film, moins : son implacable mécanique scénaristique pâtit d’une mise en scène qui, entre souci de réalisme et volonté d’épure, se montre bien scolaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans ce thriller familial à l’atmosphère soignée, Virginie Efira interprète avec une pudeur émouvante une femme maternelle et combative.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Une pente dangereuse, un brin de social, une pincée de polar, une sécheresse de ton, le jeu nuancé de Virginie Efira. Un peu trop sage, tout cela ?
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Emmanuelle Cuau, secondée par ses coscénaristes Raphaëlle Desplechin et Éric Barbier, a finement construit son héroïne sur des paradoxes qui créent à la fois la sympathie et l’inquiétude. La fin, qu’on ne dévoilera pas, pèche à la fois par un manque de crédibilité dramatique et une désinvolture morale gênante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Mathieu Macheret
Porté par une troupe de comédiens remarquables, "Pris de court" s’empare de sujets très connotés, comme ceux du travail, de la maternité ou de l’adolescence en crise, pour les plonger dans le bain de machinations obscures et de stratagèmes incomplets.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Emmanuelle Cuau signe avec “Pris de court” un thriller familial et intelligent, mais qui peine à maintenir son rythme sur la durée.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Cette rapidité qui rime avec efficacité pose des soucis de réalisme. Comme si Cuau se moquait de la trame de son récit pour se concentrer sur les intérêts humains en jeu. Un parti pris qui trouve ses limites.
Télérama
par Jacques Morice
Ce qui se joue à l'extérieur, en revanche, n'est pas toujours vraisemblable. Le film reste malgré tout captivant, dans sa manière de dérouler un combat digne de David contre Goliath.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
On peine à comprendre ce jusqu’au-boutisme scénaristique invraisemblable qui ne mène nulle part. Mais (…) sur la représentation de la cellule familiale le film trouve une voie surprenante.
Critikat.com
par Fabien Reyre
C’est un peu triste à voir, et pas bien passionnant à regarder.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par Catherine Balle
Le scénario se révèle prévisible et les personnages, pas très fouillés, nous laissent froids.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le résultat n’est qu’à moitié convaincant. Doté de vraies qualités de mise en scène et de regard, Pris de court manie l’ellipse et l’entraperçu avec une belle sobriété (…) mais son rendu général manque de piment.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Femme Actuelle
Virginie Efira se révèle formidable en mère courage face à l'adversité. Un film dans l'ère du temps, entre drame social et thriller familial.
Libération
Pris de court est un film modeste dont la force tient à la mise en scène économe et fiévreuse et aux acteurs déments.
Ouest France
La touchante chronique familiale se transforme peu à peu en thriller minimaliste porté par une Virginie Efira impressionnante.
20 Minutes
Dans "Pris de court", la comédienne confirme toutes les possibilités et le charisme qu’elle avait révélés avec "Victoria"…
Elle
Les acteurs sont géniaux, les enfants, Renan Prévot et Jean-Baptiste Blanc, autant que Gilbert Melki en vrai méchant terrifiant sous ses airs d’hommes doux. Et Virginie Efira ? Elle est tout simplement notre Gena Rowlands.
Le Dauphiné Libéré
Sur fond de drame familial, un thriller tendu, mené avec une froideur de ton et un minimalisme de forme qui en font tout l’intérêt.
Le Figaro
On ne voit pas si souvent des personnages qui semblent avoir un passé, un CV, des espoirs et des fins de mois. La réalisatrice est solidement épaulée par une Virginie Efira qui s'impose comme une des actrices les plus intéressantes de sa génération.
Première
Un classique drame familial se révèle en polar dépouillé à l'efficacité redoutable.
Sud Ouest
Au-delà du pur suspense, il y a dans cette histoire ressuscitant en filigrane la « Gloria » de Cassavetes une façon réjouissante de donner le pouvoir à une femme, à l’intérieur d’un registre habituellement masculin.
Transfuge
Dans le rôle du prédateur menaçant, Gilbert Melki est parfait et sobre. Une science rare de l'ellipse permet à Emmanuelle Cuau de cultiver tout du long une incertitude sur l'issue. C'est bien nous qui, face à cette combinaison de naturalisme et de film de genre, somme en permanence pris de court.
Voici
Ce film de la trop rare Emmanuelle Cuau n'est pas un polar social, mais un drame familial minimaliste resserré autour du trio (ellipses, voire raccourcis), qui glisse vers le thriller. Et que l'on suit avec une boule au ventre.
aVoir-aLire.com
Des acteurs sincères et convaincants emportés sans temps mort dans le tourbillon du mensonge.
Culturopoing.com
Un film singulier de par sa simplicité apparente, son sens du suspense, confirmant la place à part d'Emmanuelle Cuau.
L'Obs
Encore un rôle de mère célibattante au bord de la crise de nerfs pour Virginie Efira, mais dans un registre moins alerte que celui de "Victoria". Avec ses faux airs de Gena Rowlands, l’actrice convainc. Le film, moins : son implacable mécanique scénaristique pâtit d’une mise en scène qui, entre souci de réalisme et volonté d’épure, se montre bien scolaire.
La Croix
Dans ce thriller familial à l’atmosphère soignée, Virginie Efira interprète avec une pudeur émouvante une femme maternelle et combative.
La Voix du Nord
Une pente dangereuse, un brin de social, une pincée de polar, une sécheresse de ton, le jeu nuancé de Virginie Efira. Un peu trop sage, tout cela ?
Le Figaroscope
Emmanuelle Cuau, secondée par ses coscénaristes Raphaëlle Desplechin et Éric Barbier, a finement construit son héroïne sur des paradoxes qui créent à la fois la sympathie et l’inquiétude. La fin, qu’on ne dévoilera pas, pèche à la fois par un manque de crédibilité dramatique et une désinvolture morale gênante.
Le Monde
Porté par une troupe de comédiens remarquables, "Pris de court" s’empare de sujets très connotés, comme ceux du travail, de la maternité ou de l’adolescence en crise, pour les plonger dans le bain de machinations obscures et de stratagèmes incomplets.
Les Fiches du Cinéma
Emmanuelle Cuau signe avec “Pris de court” un thriller familial et intelligent, mais qui peine à maintenir son rythme sur la durée.
Studio Ciné Live
Cette rapidité qui rime avec efficacité pose des soucis de réalisme. Comme si Cuau se moquait de la trame de son récit pour se concentrer sur les intérêts humains en jeu. Un parti pris qui trouve ses limites.
Télérama
Ce qui se joue à l'extérieur, en revanche, n'est pas toujours vraisemblable. Le film reste malgré tout captivant, dans sa manière de dérouler un combat digne de David contre Goliath.
Cahiers du Cinéma
On peine à comprendre ce jusqu’au-boutisme scénaristique invraisemblable qui ne mène nulle part. Mais (…) sur la représentation de la cellule familiale le film trouve une voie surprenante.
Critikat.com
C’est un peu triste à voir, et pas bien passionnant à regarder.
Le Parisien
Le scénario se révèle prévisible et les personnages, pas très fouillés, nous laissent froids.
Les Inrockuptibles
Le résultat n’est qu’à moitié convaincant. Doté de vraies qualités de mise en scène et de regard, Pris de court manie l’ellipse et l’entraperçu avec une belle sobriété (…) mais son rendu général manque de piment.