Avis : Comment je suis devenu super-héros - Page 3

Une bonne surprise que ce film Netflix, qui trouve un ton différent des films américains de super héros, en s'attachant vraiment aux personnages. Il s'appuie notamment pour cela sur un casting aux rôles principaux très solides. Les effets spéciaux sont crédibles, sans chercher l'esbrouffe.

Un accident industriel. Dommage. On peut louer l'ambition de départ, mais rien ne va. De l'acting au scénario en passant par les FX. Un rythme lent, des rebondissements sans la moindre ampleur scenaristique. Et on ne compte plus les innombrables placements de produits d'un film pourtant déjà grandement financé par le CNC et donc par nos impôts. Une horreur.

J'esperai un bon film , ca restera très moyen...
les films francais ont pour habitude d'être mou, lent , sérieux et avec beaucoup de dialogues...absolument le contraire de ce que doit être un film de super héros...
le scénario reste moyen...idem pour les acteurs , reste de bons effets spéciaux.
un premier essai qui tombe à l'eau...dommage

Paris, de nos jours, les surhommes sont banalisés et parfaitement intégrés au sein de la société. Au même moment, une étrange substance s’échange sous le manteau procurant des super-pouvoirs à ceux qui n’ont pas, responsables de nombreux incidents…

Que l’on se rassure, « les fils et filles de… » ont visiblement encore un bel avenir devant eux. Alors que le mois dernier, sortait au cinéma Seize Printemps, premier long-métrage de Suzanne Lindon (à tout juste 21ans), fille de Vincent Lindon & Sandrine Kiberlain, cette fois-ci, c’est au tour de Douglas Attal, fils du producteur Alain Attal (qui a coproduit le film) de se lancer lui-aussi dans l’aventure. Avec un père doté d’un tel bagage (45 films produits à son actif), on était en droit de s’attendre à un film réussit (épaulé par un tel professionnel), sauf qu’il n’en est rien. Le film, adapté du roman homonyme de Gérald Bronner, s’enlise et nous ennuie au cœur d’un polar franchouillard aussi mollasson qu’un inspecteur Navarro, version "Superdupont" et dopé aux effets-spéciaux.

Évoqué pour la première fois lors du Comic Con Paris de 2015, il est amusant d’y relever d’étonnantes ressemblances avec une autre production Netflix sortie l’an dernier, à savoir Project Power (2020), mais sur le papier uniquement. Pour le reste, malgré une sympathique distribution (Pio Marmai, Vimala Pons, Leïla Bekhti, Benoît Poelvoorde & Swann Arlaud), pas une seule fois le film parviendra à nous extirper de notre sommeil. Plombé par un scénario ultra-convenu et une mise en scène totalement amorphe, le film s’avère très (trop ?) brouillon pour pleinement fonctionner et convaincre. Entre les personnages mal écris et d’autres grossièrement (la palme revient au bad guy du film), pas une seule fois Comment je suis devenu super-héros (2021) ne parvient à convaincre et / ou à tirer son épingle du jeu.

Initialement prévu en salles en octobre puis en décembre 2020, la crise du Covid 19 aura eu raison du film. Repoussé finalement à avril 2021 avant que la Warner ne s’en débarrasse pour le refourguer à Netflix. Ce dernier semble s’être fait une spécialité de ne proposer que des films bas de gamme tricolore, pêle-mêle on pourra citer entre autres Balle Perdue (2020), Bronx (2020) ou encore En passant pécho (2021).

Malgré une certaine qualité esthétique au niveau des SFX et de bonnes idées en termes de décors, on regrettera que l'hippodrome désaffecté depuis les années 1990 soit sous-exploité. Pour y avoir été à maintes reprises, c’est assez regrettable, vu son potentiel.

Au final, ce qui devait être une bouffée d’air frais dans le paysage cinématographique français s’avère être en fin compte qu’un pétard mouillé tout juste digne de sortir en DTV voir sur Netflix puisqu’il semblerait que ce dernier se complaise à devenir la poubelle du cinéma hexagonale. De sérieux soucis au niveau de la narration et un humour qui ne fonctionne jamais. Il ne suffit pas d’assembler des références Sci-Fi ici et là pour pleinement séduire, il faut aussi du talent et pas seulement être né avec une cuillère d'argent dans la bouche.

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pas mal , les origines story des personnages pas assez développé, les combats sont très moyens, ont dirait un film de YouTubeurs. ont ne sait rien sur l'origine des pouvoirs, je pensais voir des combats dans les rues de Paris avec les monuments de Paris ou les champs élysée. voir les filles du film sans pouvoirs battre des grosses brute avec des pouvoirs laisse tomber!

Je n'ai jamais vu un film d’action aussi ennuyeux je suis désolé mais les pouvoirs on ne sait pas d’où ils sortent c’est brouillon y manque cette action que l’on veut voir. Bon les costumes vraiment sont d’une laideur, Il n’y a rien d’héroïque. Quand j’ai vu qu’il était français je me suis ça va être soft mais peut-être qu’il va être bien... Il y a une grande différence avec les MARVEL après il ne fallait pas s’attendre à un truc de ouf marvel c’est un vrai budget mais pour un film français les effets spéciaux sont bien. Mais va vraiment falloir revoir le scénario.

Pathétique. Ils sont le méritent d'avoir essayé. MAIS... objectif racial atteint. Les communautés arabes, africaines, asiatiques sont présentent. AINSI QUE, une homosexuelle. Étonnant, pas d'homo masculin ni de trans.
Le scénario vient au second plan.

Présenté dans plusieurs festivals, la sortie du premier long-métrage du fils d’Alain Attal a été sans cesse retardée à cause de la pandémie du Covid. C’est finalement Netflix qui s’offrira le luxe d’exploiter l’un des très très rares films de super-héros français. Pio Marmai, Leïla Bekhti, Vimala Pons, Benoît Poelvoorde et Swann Arlaud nous trimballent dans un Paris parallèle où les surhommes sont parfaitement intégrés dans la société. Mais une mystérieuse drogue offre des super-pouvoirs à ceux qui n’en ont pas et provoquent des incidents. Des lieutenants demandent alors de l’aide à d’anciens justiciers pour démanteler le trafic. Douglas Attal ancre son film fantastique dans les codes du polar et nous propose une intrigue prenante et étonnamment bien mise en scène avec ses effets spéciaux. Si on regrette le manque de subtilité dans les scènes humoristiques et une écriture pauvre dans les répliques, on salue l’originalité de la production et la créativité d’un genre renouvelé et made in France.
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Scénario plat, sans ambition !! Laissons aux américains les films de super héros ... Aucun personnages attachant !! Casting à l'image du film !! Ca manque de punch même si le manque de budget pour ce genre de films se fait ressentir avec des FX digne d'un épisode de série TV

Un scénario qui ressemble beaucoup a l'autre production Netflix "POWER" mais avec des moyens francais. Les effets spéciaux sont mauvais surtout ceux de la fin.
Film sympa mais on comprend pourquoi les producteurs ont sautés sur l'occasion de le vendre à Netflix au lieu de le sortir au cinéma, ça sentait le bide!

Un film de super-héros français c’est un mini-évènement. Côté effets spéciaux - et il y en a pas mal -, même si des efforts indéniables sont faits, c’est vraiment « cheap » par rapport aux standards Marvel. Par contre, j’ai bien aimé l’histoire, originale de coexistence des super-héros avec leurs pouvoirs dans la vie des humains normaux. Il y a quelques baisses de rythme mais le résultat est encourageant, beaucoup plus que « Vincent n’a pas d’écailles » (2016), dernière tentative française du genre en date à ma connaissance (je mets de côté volontairement « Black Snake, la légende du serpent noir », plus décalé et donc dans un tout autre registre). Avec un budget riquiqui, le néo-réalisateur Douglas Attal s’en sort très bien. C’est prometteur pour la suite de sa carrière.

Avec un grand retard accumulé pour sa sortie, CJSDSH débarquait immanquablement derrière le Project Power américain basé sur la même idée de drogue des Super-héros. Tiré du roman éponyme, cette adaptation, aussi droite soit elle, vient avec sa légèreté de ton et ses décors parisien jouer des poings avec des effets peu nombreux mais flatteurs. La légèreté ne le ramène pas à la comédie qu'il semblait être, de par son casting, mais à une enquête sur des disparitions et de meurtres autour d'un traffic de pouvoir. Contrairement à la version gros bras et sanguinolente américaine, on n'attend pas nécessairement une suite, mais on salut l'ensemble. Quelques décors un peu plus chiadés au repérages et des scènes d'action plus franches auraient rapportés plus d'adhésion.

Un film de super héros à la touche française, c'aurait pu le faire... Il se démarque de ses pétaradents frères américains, avec de l'humour et une tentative de sortir du tous effets spéciaux. Mais il ne trouve pas un concept et rien de scotchant. Un brin ennuyeux.

Comment je suis devenu super-héros ressemble à cette série de vampires, elle aussi française, diffusée sur la même plateforme il y a quelque temps. Soit une production dépourvue d’identité qui cherche à mêler la noirceur du polar et le second degré de l’écurie Marvel : le résultat est catastrophique. Acteurs à côté de la plaque – mention spéciale à Benoît Poelvoorde et Swann Arlaud en grand méchant ridicule –, réalisation sans âme ni parti pris qui cherche en vain à atteindre une forme de véracité de l’image brute avec caméra à l’épaule et mouvements incessants, écriture médiocre des personnages que desservent de piètres dialogues, le pire étant certainement ce lieutenant bouffon campé par Vimala Pons qui rate tout ce qu’il entreprend et subit les remarques désobligeantes de son collègue. Triste spectacle. Pio Marmaï interprète une caricature de flic d’un ancien temps, à l’image de ce film daté qui ne bénéficie que de bons effets spéciaux. On préférera, et de loin, Vincent n’a pas d’écailles, réalisé par Thomas Salvador et sorti en 2015.

Un film de super héros français qui se prend au sérieux... On est obligé de faire la comparaison avec Marvel et le résultat est juste grotesque vu l'inutilité d'une telle réalisation face au mastodonte américain. Néanmoins une bonne trame policière et de bons acteurs qui sauvent les meubles.