Comment je suis devenu super-héros : Critique presse
Comment je suis devenu super-héros
Note moyenne
3,3
13 titres de presse
Ecran Large
L'Ecran Fantastique
Le Journal du Geek
Le Parisien
Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
Télérama
La Voix du Nord
Le Point
Mad Movies
Télé 7 Jours
Première
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
Malgré quelques petites maladresses, le sentiment d'assister à l'avènement généreux et spectaculaire d'authentiques super-héros français, aussi attachants, bien écrits, que plaisamment interprétés, confère à Comment je suis devenu super-héros un bel éclat.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Véronique Trouillet
Douglas Attal relève ce défi pourtant improbable avec une grande humilité, s'attachant avant tout à l'humanité de ses personnages sans avoir la prétention de rivaliser avec les blockbusters de Marvel et DC/Warner.
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Petit miracle dans le panorama audiovisuel français, Comment je suis devenu super-héros réussit haut la main le pari de son réalisateur et prouve que faire un film de genre en France est possible.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par La Rédaction
Aidés de Benoît Poelvoorde, Leïla Bekhti ou Clovis Cornillac, Pio Marmaï et Vimala Pons mènent l’intrigue tambour battant, au fil de rebondissements enjolivés par des effets spéciaux dignes d’Hollywood. Le film qui devait sortir initialement en salles est une vraie réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le résultat est indéniablement réussi, mais d’une manière paradoxale, car c’est en évitant de chercher à ressembler [à un certain modèle américain] que le film de Douglas Attal trouve le souffle de ses modèles.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
par E.M.
Entre fantastique et ultraréalisme, ce long métrage aux effets spéciaux soignés humanise ses héros (Pio Marmaï, Leïla Bekhti, Swann Arlaud, Benoît Poelvoorde…) en abordant leur mal-être et le temps qui passe.
Télérama
par Jacques Morice
Rien de boursouflé ni de bourratif, le tout fusionne bien, de manière vive, limpide, juvénile. Le casting, hétérogène, fonctionne à merveille, chacun jouant sa partition sans tirer la couverture à lui, en retrouvant une forme d’innocence. Autant dire une vraie réussite, aussi créative que récréative.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Entre un contexte social contemporain et une ambition simple de divertissement décomplexé, le long-métrage finit par trouver son identité, au prix de quelques acrobaties.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Point
par Philippe Guedj
Le résultat ne fonctionne, hélas, que partiellement.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Des interludes très français freinent régulièrement l'intrigue, l'action culmine avec ce qui aurait dû être une fin de premier acte, les protagonistes amorcent maints enjeux dramatiques avant de les laisser en suspens, et la fin ouverte accentue l'aspect feuilletonnesque de l'ensemble. Ces défauts n'empêchent pas de prendre un certain plaisir à suivre les aventures de Gary Moreau [...].
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Si cet ovni accuse quelques coups de mou, il accroche par son excellent casting, des effets spéciaux qui font le job et une musique bien à lui : les pouvoirs ne font pas forcément les superhéros.
Première
par Nicolas Bellet
Voilà pourquoi si on peut saluer le geste, l’ambition, l’indéniable connaissance du sujet sur le bout des doigts par son auteur, on reste un peu sur sa faim. Sans doute parce que dans l’expression « film de super héros français », le mot « français » finit ici par primer sur tout le reste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Un pied dans le drame en milieu scolaire, tendance L’Instit (…) et un autre dans Julie Lescaut (…) le film illustre le problème éternellement rencontré par les importateurs français : ce n’est pas seulement un paysage qui leur manque pour émuler leurs modèles, mais bien un certain rapport au réel et au quotidien (…).
Ecran Large
Malgré quelques petites maladresses, le sentiment d'assister à l'avènement généreux et spectaculaire d'authentiques super-héros français, aussi attachants, bien écrits, que plaisamment interprétés, confère à Comment je suis devenu super-héros un bel éclat.
L'Ecran Fantastique
Douglas Attal relève ce défi pourtant improbable avec une grande humilité, s'attachant avant tout à l'humanité de ses personnages sans avoir la prétention de rivaliser avec les blockbusters de Marvel et DC/Warner.
Le Journal du Geek
Petit miracle dans le panorama audiovisuel français, Comment je suis devenu super-héros réussit haut la main le pari de son réalisateur et prouve que faire un film de genre en France est possible.
Le Parisien
Aidés de Benoît Poelvoorde, Leïla Bekhti ou Clovis Cornillac, Pio Marmaï et Vimala Pons mènent l’intrigue tambour battant, au fil de rebondissements enjolivés par des effets spéciaux dignes d’Hollywood. Le film qui devait sortir initialement en salles est une vraie réussite.
Les Inrockuptibles
Le résultat est indéniablement réussi, mais d’une manière paradoxale, car c’est en évitant de chercher à ressembler [à un certain modèle américain] que le film de Douglas Attal trouve le souffle de ses modèles.
Télé Loisirs
Entre fantastique et ultraréalisme, ce long métrage aux effets spéciaux soignés humanise ses héros (Pio Marmaï, Leïla Bekhti, Swann Arlaud, Benoît Poelvoorde…) en abordant leur mal-être et le temps qui passe.
Télérama
Rien de boursouflé ni de bourratif, le tout fusionne bien, de manière vive, limpide, juvénile. Le casting, hétérogène, fonctionne à merveille, chacun jouant sa partition sans tirer la couverture à lui, en retrouvant une forme d’innocence. Autant dire une vraie réussite, aussi créative que récréative.
La Voix du Nord
Entre un contexte social contemporain et une ambition simple de divertissement décomplexé, le long-métrage finit par trouver son identité, au prix de quelques acrobaties.
Le Point
Le résultat ne fonctionne, hélas, que partiellement.
Mad Movies
Des interludes très français freinent régulièrement l'intrigue, l'action culmine avec ce qui aurait dû être une fin de premier acte, les protagonistes amorcent maints enjeux dramatiques avant de les laisser en suspens, et la fin ouverte accentue l'aspect feuilletonnesque de l'ensemble. Ces défauts n'empêchent pas de prendre un certain plaisir à suivre les aventures de Gary Moreau [...].
Télé 7 Jours
Si cet ovni accuse quelques coups de mou, il accroche par son excellent casting, des effets spéciaux qui font le job et une musique bien à lui : les pouvoirs ne font pas forcément les superhéros.
Première
Voilà pourquoi si on peut saluer le geste, l’ambition, l’indéniable connaissance du sujet sur le bout des doigts par son auteur, on reste un peu sur sa faim. Sans doute parce que dans l’expression « film de super héros français », le mot « français » finit ici par primer sur tout le reste.
Cahiers du Cinéma
Un pied dans le drame en milieu scolaire, tendance L’Instit (…) et un autre dans Julie Lescaut (…) le film illustre le problème éternellement rencontré par les importateurs français : ce n’est pas seulement un paysage qui leur manque pour émuler leurs modèles, mais bien un certain rapport au réel et au quotidien (…).