Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Le point de vue est aussi volontairement naïf, donnant au film quelque chose d’aérien, de lumineux et les qualités d’une fable généreuse en des temps affreux, où l’utopie se réalise dans la douceur d’un fantasme adolescent.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Nicolau prend son personnage suffisamment au sérieux pour ne pas le rabattre à un sujet ou une thématique, pour ne pas réduire ses agissements ou aspirations à la psychologie de son âge, mais il en fait un vrai motif de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Jean-Nicolas Schoeser
Car ce qu’il conte, dans le fond, dans sa mutation esthétique et liquide, c’est cette recherche de soi, ce tâtonnement si pur de cet âge ingrat, celui des possibles. Un film adolescent lui-même, subissant de plein fouet les mutations physiques et érotiques de son héroïne. Faire corps avec la fille, faire corps avec le monde. Chapeau bas.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
De "John From" se dégage une folie et une inventivité rafraîchissantes à souhait. João Nicolau signe une œuvre stylisée mais jamais poseuse.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Oisif et badin, "John From" n’en est pas moins rigoureux dans sa découpe, son sens assuré et élégant du mouvement, du montage (...), où Nicolau fait montre d’une grande attention apportée à ses compositions (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Là où "John From" arrive à être assez béat pour être subtil, assez simple pour être innocent, assez littéral pour être beau, c’est qu’il ne propose pas un parallèle entre ces différentes dimensions, mais un mélange. Et il s’y plonge, aussi décidé que son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Élise Domenach
Le teen movie de Nicolau (...) regarde davantage du côté de Lewis Carroll, et révèle deux actrices au naturel et à la photogénie aussi éclatants que les couleurs qu'elles arborent.
Transfuge
par Sidy Sakho
L'imaginaire, dans ce cinéma, est plus communicatif que jamais.
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
C’est quand il reste arrimé à la mollesse voluptueuse des filles qu’il trouve ses plus beaux moments, dans une collection de plans magiques en forme d’ex-libris, vignettes idéales à la géométrie discrète et typique du génie minimaliste de Nicolau.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un petit souffle surréaliste passe ; bricolé, "cheap" et "camp" (potache). Une légèreté de ton, solaire et colorée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dommage que le cinéaste aille un peu trop loin dans sa folie exotique, allant jusqu’à prêter aux divers personnages de nouveaux costumes et identités, leur permettant de "jouer aux Mélanésiens" pseudo-primitifs comme s’ils étaient de grands enfants. (...) N’empêche qu’il pourrait devenir le prochain grand cinéaste portugais.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
L’idée est sympathique, la réalisation un peu molle, et l’actrice, Júlia Palha, craquante. Total : un film qu’on voit avec plaisir, mais qu’on oublie instantanément.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Joao Nicolau explore les sentiments d’une jeune fille en lorgnant du côté de l’utopie.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Après un démarrage poussif, ce film devient un voyage fantasque peuplé de moments de joie de vivre et de captivantes bizarreries.
Télérama
par Jacques Morice
Entre mélancolie et fantaisie, le film décolle progressivement du quotidien banal pour se transformer en fantasmagorie. Pas mal de motifs poétiques dans ce ballet sentimental, hélas agencé, par moments, comme un collage de vignettes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Le point de vue est aussi volontairement naïf, donnant au film quelque chose d’aérien, de lumineux et les qualités d’une fable généreuse en des temps affreux, où l’utopie se réalise dans la douceur d’un fantasme adolescent.
Critikat.com
Nicolau prend son personnage suffisamment au sérieux pour ne pas le rabattre à un sujet ou une thématique, pour ne pas réduire ses agissements ou aspirations à la psychologie de son âge, mais il en fait un vrai motif de cinéma.
Culturopoing.com
Car ce qu’il conte, dans le fond, dans sa mutation esthétique et liquide, c’est cette recherche de soi, ce tâtonnement si pur de cet âge ingrat, celui des possibles. Un film adolescent lui-même, subissant de plein fouet les mutations physiques et érotiques de son héroïne. Faire corps avec la fille, faire corps avec le monde. Chapeau bas.
Les Fiches du Cinéma
De "John From" se dégage une folie et une inventivité rafraîchissantes à souhait. João Nicolau signe une œuvre stylisée mais jamais poseuse.
Les Inrockuptibles
Oisif et badin, "John From" n’en est pas moins rigoureux dans sa découpe, son sens assuré et élégant du mouvement, du montage (...), où Nicolau fait montre d’une grande attention apportée à ses compositions (...).
Libération
Là où "John From" arrive à être assez béat pour être subtil, assez simple pour être innocent, assez littéral pour être beau, c’est qu’il ne propose pas un parallèle entre ces différentes dimensions, mais un mélange. Et il s’y plonge, aussi décidé que son héroïne.
Positif
Le teen movie de Nicolau (...) regarde davantage du côté de Lewis Carroll, et révèle deux actrices au naturel et à la photogénie aussi éclatants que les couleurs qu'elles arborent.
Transfuge
L'imaginaire, dans ce cinéma, est plus communicatif que jamais.
Chronic'art.com
C’est quand il reste arrimé à la mollesse voluptueuse des filles qu’il trouve ses plus beaux moments, dans une collection de plans magiques en forme d’ex-libris, vignettes idéales à la géométrie discrète et typique du génie minimaliste de Nicolau.
Franceinfo Culture
Un petit souffle surréaliste passe ; bricolé, "cheap" et "camp" (potache). Une légèreté de ton, solaire et colorée.
L'Humanité
Dommage que le cinéaste aille un peu trop loin dans sa folie exotique, allant jusqu’à prêter aux divers personnages de nouveaux costumes et identités, leur permettant de "jouer aux Mélanésiens" pseudo-primitifs comme s’ils étaient de grands enfants. (...) N’empêche qu’il pourrait devenir le prochain grand cinéaste portugais.
L'Obs
L’idée est sympathique, la réalisation un peu molle, et l’actrice, Júlia Palha, craquante. Total : un film qu’on voit avec plaisir, mais qu’on oublie instantanément.
Le Monde
Joao Nicolau explore les sentiments d’une jeune fille en lorgnant du côté de l’utopie.
Studio Ciné Live
Après un démarrage poussif, ce film devient un voyage fantasque peuplé de moments de joie de vivre et de captivantes bizarreries.
Télérama
Entre mélancolie et fantaisie, le film décolle progressivement du quotidien banal pour se transformer en fantasmagorie. Pas mal de motifs poétiques dans ce ballet sentimental, hélas agencé, par moments, comme un collage de vignettes.