Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Pas d'explication psychologique, pas d'excuse, juste le noir, et la sombre réalité de la nature humaine. Premier film de fiction d'Eric Cherrière : très prometteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
Ce premier long-métrage à la réalisation implacable donne le frisson. Il est servi par des comédiens inconnus et tous remarquables. Corps sec, visage émacié, regard aigu, Jean-Jacques Lelté fait froid dans le dos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Gilles Renault
Film noir, grattant avec une lame de rasoir le tréfonds de l’âme humaine, "Cruel" avance ainsi, trait effilé et humeur torve, sur une ligne de crête ultra réaliste récusant tout espoir d’absolution.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Benoît Smith
Le jeu d'équilibriste fuyant, entre intention de faire le portrait d'un marginal singulier et marottes de conteur jouant avec des codes, le flou qu'il laisse flotter sur sa figure criminelle, se confondent finalement avec une certaine idée de l'insaisissabilité du Mal.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Cruel" ne tombe pas dans l’écueil d’une mise en scène démonstrative, à laquelle le sujet se prêtait. Les faits sont là, mais sans être montrés, hors champ, pas par censure, autocensure ou pudibonderie, mais parce qu’ils ne sont pas le sujet. C’est Pierre le sujet, et à travers lui l'équation entre des rapports sociaux biaisés et leurs conséquences. Terribles.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
On pourrait se plaindre de la fragilité de l'esthétique ou de l'interprétation, il n'empêche : l'ensemble imprime une tension sourde qui prend aux tripes.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le film se traîne (et se gâte) un peu par la suite, quand le héros rencontre la douce musicienne qui pourrait, peut-être, l'arracher à ses tourments. Mais jusqu'au bout l'étonnant Pierre Tardieu, corps sec et visage taillé à la serpe, garde ce masque dur, énigmatique, derrière lequel se devine un mal de vivre insoutenable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce thriller âpre et sec raconte le quotidien d’un tueur en série impitoyable en contournant les clichés, à travers le visage impénétrable et glaçant de l’acteur principal, Jean-Jacques Lelté. Dommage que le récit, parfois démonstratif, tienne à distance le spectateur.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Réflexion sur une forme d’origine du mal (ici expliquée par une psychologie un peu facile), mais suffisamment audacieuse pour être remarquée.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un postulat de départ passionnant mais peu exploité, pour un ensemble un peu long.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film noir qui propose une sorte de code existentiel et méthodologique du serial killer : mais celui qu’il choisit pour exemple de la démonstration est si transparent qu’il en perd toute chair.
Positif
par Bernard Génin
Éric Cherrière peine à expliquer les motivations du monstre qu'il fabrique laborieusement sous nos yeux.
L'Obs
Pas d'explication psychologique, pas d'excuse, juste le noir, et la sombre réalité de la nature humaine. Premier film de fiction d'Eric Cherrière : très prometteur.
Le Figaro
Ce premier long-métrage à la réalisation implacable donne le frisson. Il est servi par des comédiens inconnus et tous remarquables. Corps sec, visage émacié, regard aigu, Jean-Jacques Lelté fait froid dans le dos.
Libération
Film noir, grattant avec une lame de rasoir le tréfonds de l’âme humaine, "Cruel" avance ainsi, trait effilé et humeur torve, sur une ligne de crête ultra réaliste récusant tout espoir d’absolution.
Critikat.com
Le jeu d'équilibriste fuyant, entre intention de faire le portrait d'un marginal singulier et marottes de conteur jouant avec des codes, le flou qu'il laisse flotter sur sa figure criminelle, se confondent finalement avec une certaine idée de l'insaisissabilité du Mal.
Franceinfo Culture
"Cruel" ne tombe pas dans l’écueil d’une mise en scène démonstrative, à laquelle le sujet se prêtait. Les faits sont là, mais sans être montrés, hors champ, pas par censure, autocensure ou pudibonderie, mais parce qu’ils ne sont pas le sujet. C’est Pierre le sujet, et à travers lui l'équation entre des rapports sociaux biaisés et leurs conséquences. Terribles.
Studio Ciné Live
On pourrait se plaindre de la fragilité de l'esthétique ou de l'interprétation, il n'empêche : l'ensemble imprime une tension sourde qui prend aux tripes.
Télérama
Le film se traîne (et se gâte) un peu par la suite, quand le héros rencontre la douce musicienne qui pourrait, peut-être, l'arracher à ses tourments. Mais jusqu'au bout l'étonnant Pierre Tardieu, corps sec et visage taillé à la serpe, garde ce masque dur, énigmatique, derrière lequel se devine un mal de vivre insoutenable.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller âpre et sec raconte le quotidien d’un tueur en série impitoyable en contournant les clichés, à travers le visage impénétrable et glaçant de l’acteur principal, Jean-Jacques Lelté. Dommage que le récit, parfois démonstratif, tienne à distance le spectateur.
Le Monde
Réflexion sur une forme d’origine du mal (ici expliquée par une psychologie un peu facile), mais suffisamment audacieuse pour être remarquée.
Les Fiches du Cinéma
Un postulat de départ passionnant mais peu exploité, pour un ensemble un peu long.
Le Dauphiné Libéré
Un film noir qui propose une sorte de code existentiel et méthodologique du serial killer : mais celui qu’il choisit pour exemple de la démonstration est si transparent qu’il en perd toute chair.
Positif
Éric Cherrière peine à expliquer les motivations du monstre qu'il fabrique laborieusement sous nos yeux.