Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Claude Rieffel
Un Vecchiali malicieusement grave et drôle qui fait défiler les belles et auquel un réjouissant duo-duel père-fils confère une vivacité étonnante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Dans ce cinéma de chambre fait avec les moyens du bord, tout semble tissé pour dire de toutes les manières possibles : « C’est l’amour. »
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La manière unique et a minima de Vecchiali, dans une ronde du souvenir et un carnet de bal tout en flash-back qui sentent bon le cinéma.
Le Monde
par Mathieu Macheret
A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
On y retrouve cette sentimentalité toute vecchialienne. Cette façon de parler d'amour par les mots les plus simples, comme le ferait un enfant ou une chanson populaire. Cette façon dont la chair reste hantée par le souvenir d'un autre corps, un paradis perdu.
Libération
par Julien Gester
Lancé aux trousses de tous les spectres de ses passions abîmées par le temps - à l’image, dans une très belle scène, de la voix de Rodolphe poursuivant de ses chevrotements celle du chanteur d’un vieil air aimé -, le film et l’homme courent languidement toutes les lignes de vie, toutes les pistes à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Sidy Sakho
Attaché avant tout aux belles histoires et à leur mise en image la plus limpide, Paul Vecchiali pratique un cinéma de la sincérité, un ciném qui reconnaît sans fausse honte qu'il vient du coeur.
Télérama
par Pierre Murat
Ambiguë, douloureuse, Catherine Deneuve insuffle, en quelques minutes, une mélancolie cruelle à ce film romantique, surchargé et émouvant...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par François Giraud
Au fond, il y a deux films : un premier entre le père et le fils, traversé par des fulgurances qui le rendent à la fois attachant et émouvant, et un deuxième sur la recherche d’un amour perdu qui par ses longueurs et ses dialogues laborieux génère un certain ennui.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Wiliam Lurson
"Le Cancre" reste un film singulier ponctué de belles scènes. C'est un hommage élégant que le cinéaste adresse à "ses" belles, actrices et compagnes de cinéma figurées, complices ou vénérées, doubles de femmes à qui il s'agit avant tout de donner la réplique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Louis Roux
Paul Vecchiali ouvre son carnet de bal dans un film testamentaire émouvant.
Première
par Éric Vernay
Étrangement, un certain charme rétro opère.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Autour des incertitudes du quotidien d’un vieillard plus cassant que facétieux, plus raide que tendre mais toujours amoureux, Vecchiali compose une chronique semée de jeux de mots, de farces et de rebuffades gentiment poussifs.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
(Les) émouvantes déclarations d'amour sont, hélas, noyées dans un récit bancal inégalement interprété par Vecchiali lui-même pendant deux heures qui finissent par paraître bien longues.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
De cette succession de vignettes, le spectateur peut jouir du plaisir de retrouver des actrices qu’il apprécie, sans cesser de se demander en quoi ça le concerne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
aVoir-aLire.com
Un Vecchiali malicieusement grave et drôle qui fait défiler les belles et auquel un réjouissant duo-duel père-fils confère une vivacité étonnante.
Cahiers du Cinéma
Dans ce cinéma de chambre fait avec les moyens du bord, tout semble tissé pour dire de toutes les manières possibles : « C’est l’amour. »
Le Dauphiné Libéré
La manière unique et a minima de Vecchiali, dans une ronde du souvenir et un carnet de bal tout en flash-back qui sentent bon le cinéma.
Le Monde
A voir.
Les Inrockuptibles
On y retrouve cette sentimentalité toute vecchialienne. Cette façon de parler d'amour par les mots les plus simples, comme le ferait un enfant ou une chanson populaire. Cette façon dont la chair reste hantée par le souvenir d'un autre corps, un paradis perdu.
Libération
Lancé aux trousses de tous les spectres de ses passions abîmées par le temps - à l’image, dans une très belle scène, de la voix de Rodolphe poursuivant de ses chevrotements celle du chanteur d’un vieil air aimé -, le film et l’homme courent languidement toutes les lignes de vie, toutes les pistes à la fois.
Transfuge
Attaché avant tout aux belles histoires et à leur mise en image la plus limpide, Paul Vecchiali pratique un cinéma de la sincérité, un ciném qui reconnaît sans fausse honte qu'il vient du coeur.
Télérama
Ambiguë, douloureuse, Catherine Deneuve insuffle, en quelques minutes, une mélancolie cruelle à ce film romantique, surchargé et émouvant...
Critikat.com
Au fond, il y a deux films : un premier entre le père et le fils, traversé par des fulgurances qui le rendent à la fois attachant et émouvant, et un deuxième sur la recherche d’un amour perdu qui par ses longueurs et ses dialogues laborieux génère un certain ennui.
Culturopoing.com
"Le Cancre" reste un film singulier ponctué de belles scènes. C'est un hommage élégant que le cinéaste adresse à "ses" belles, actrices et compagnes de cinéma figurées, complices ou vénérées, doubles de femmes à qui il s'agit avant tout de donner la réplique.
Les Fiches du Cinéma
Paul Vecchiali ouvre son carnet de bal dans un film testamentaire émouvant.
Première
Étrangement, un certain charme rétro opère.
Le Journal du Dimanche
Autour des incertitudes du quotidien d’un vieillard plus cassant que facétieux, plus raide que tendre mais toujours amoureux, Vecchiali compose une chronique semée de jeux de mots, de farces et de rebuffades gentiment poussifs.
Studio Ciné Live
(Les) émouvantes déclarations d'amour sont, hélas, noyées dans un récit bancal inégalement interprété par Vecchiali lui-même pendant deux heures qui finissent par paraître bien longues.
L'Obs
De cette succession de vignettes, le spectateur peut jouir du plaisir de retrouver des actrices qu’il apprécie, sans cesser de se demander en quoi ça le concerne.