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    Moonlight
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    3,9
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    520 critiques spectateurs

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    saab2
    saab2

    4 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mars 2017
    une grande délicatesse dans ce film qui parle de violence, à mon goût
    je ne trouve pas q ça traite d'homosexualite...le même film avec un personnage hetero, on n'aurait pas évoqué sa sexualité
    Là, tout est délicat parce que Chiron l'est
    Il traverse une vie difficile avec douceur et incompréhension
    Une belle façon d'aborder des sujets douloureux et destructeurs
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 20 mars 2017
    Quel gâchis.
    Je suis allé confiant porté par les 8 nominations, l'Oscar du meilleur film et par les très belle critiques "Journaliste" et "Spectateurs", mais quelle déception dès le premier quart d'heure.
    Ayant lu la plupart des critiques et je pense que nous n'avons pas vu le même film.
    Le réalisateur a travaillé sur deux type de prise de vue : Très très serré et très large.
    Les plans serrés donnaient vraiment mal au cœur.
    On veut faire passer les dealers pour de gentil personnage et de plus très sensible. Non Non Non!!
    Et cette histoire d'homosexualité, je ne comprend pas son lien dans cette histoire! Donc tout les enfants sensibles et timides sont tous des "tapettes" et donc comme le dit le film des "homo" ? Un peu trop facile.
    Ce qui m'a aussi très choqué, c'est qu'on avait l'impression que l'histoire se passait en Afrique noir car hormis trois personnages dans le restaurant dans la dernière scène, il n'y avait que des blacks dans le film. Je ne suis pas contre et même plutôt ouvert mais là, cela ne donnait pas trop de crédibilité pour un film sensé se passer dans 2 villes des USA.
    En conclusion, Je pense qu'il y a beaucoup de films d'auteur qui mériteraient un Oscar à la place de "Moonlight".
    David B.
    David B.

    42 abonnés 563 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mars 2017
    Une histoire à l'écriture et la photographie soignées, qui raconte la rude enfance d'un jeune black et son errance jusqu'à l'âge adulte. L'histoire d'une résilience, des "supports" de résilience qu'ils l'ont aidés, mais qui le mène à un adulte toutefois meurtri par les carences affectives, et qui se cherche toujours... Touchant.
    Edouard A.
    Edouard A.

    18 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mars 2017
    Un très grand film qui a mon sens n'est ni un film sur l'homosexualité ni un film sur la question raciale. Le film va bien plus loin et parle de la difficulté d'exister et de grandir en tant qu'individu. Il y a un peu de Kes de Ken Loach dans ce film.
    Olivier D.
    Olivier D.

    6 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2017
    Sujet bien traité avec quelques incohérences et clichés mais on se laisse emporter par un suspens tout au long du film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 mars 2017
    Moonlight, c'est plusieurs choses: c'est tout d'abord un film puissant, avec des acteurs très puissants (les trois acteurs qui font Chiron, Naomi Harris et Mahershala Ali sont TRÈS forts). C'est aussi l'histoire qui est puissante, un jeune garçon vivant dans une cité difficile de floride spoiler: et découvrant petit à petit sa sexualité
    . Il y'a des scènes particulièrement difficiles: spoiler: je pense aux scènes de violence au lycée
    . Parce que Moonlight est aussi un film assez violent, dans tout les sens du terme.
    J'ai beaucoup aimé l'idée de séparer en trois parties : spoiler: enfant, ado et adulte
    . Ma préférée est la deuxième, très réaliste et très dure. En revanche j'aurais aimé en savoir un peu plus sur sa vie dans la troisième partie. Et j'ai aussi trouvé que la fin était rapide. spoiler: On les voit tout les deux mais c'est très ambigu. Mais peut-être est-ce le but recherché.


    Visuellement c'est très beau, spoiler: je pense surtout à la scène dans la mer avec Juan
    . La musique aussi très belle. Mais peut-être le plus important à dire sur Moonlight, c'est que c'est un film nécessaire, certes fort, violent (trop parfois), mais nécessaire.
    T-Tiff
    T-Tiff

    87 abonnés 1 178 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2017
    "Moonlight" est un film en trois actes racontant la vie de Chiron, de l'enfance à l'âge adulte. Le film est vraiment très prenant, entretenant avec élégance sa tension narrative. La bande sonore, aux partitions classiques, est excellente, donnant un côté lyrique très agréable à l'oeuvre. La mise en scène est également un gros point fort du film, avec des séquences très stylisées, vraiment réussies. On remarque également la présence d'un bon casting, et de quelques seconds rôles qui tirent leur épingle du jeu, notamment Mahershala Ali. Néanmoins, je n'aurai pas attribué l'Oscar du Meilleur film à "Moonlight" car l'intrigue semble courir vers une impasse, et notamment lors de ce troisième acte clairement en deçà des deux précédents. On ne voit pas bien vers où le film veut nous mener, si bien qu'il s'arrête brusquement, sur une fin assez étrange. Le film est bon, mais reste assez mystérieux dans ses intentions.
    PaulGe G
    PaulGe G

    105 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2017
    être noir et gay. c' est dure dans cette contrée pleine de préjugées . le film dépeint avec justesse et précision la vie difficile d'un jeune garçon qui fuit une mère accroc a la drogue. avec une grande émotion et une simplicité déconcertante il nous offre des horizons inconnus de la communauté noire aux états unis, filmé la vie de cette façon est assez rare pour être remarqué
    mexico03
    mexico03

    3 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mars 2017
    superbe film, les personnages sont émouvants et très d'un sujet sensible..... la quête d'une identité
    L'Otaku Sensei
    L'Otaku Sensei

    304 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mars 2017
    « Je n’avoue pas que je suis homosexuel parce que je n’en ai pas honte. Je ne proclame pas que je suis homosexuel parce que je n’en suis pas fier. Je dis que je suis homosexuel parce que cela est » Jean Louis Bory.
    Comme nous le savons tous, l’homosexualité est une question qui est depuis des années et encore aujourd’hui l’une des préoccupations morales les plus importante. Au cinéma également, cette thématique anime depuis plusieurs décennies des débats sur les mœurs et la liberté de tomber amoureux d’une personne du même sexe. Ainsi, on a pu voir depuis les années 1970, époque de grandes manifestations pour la liberté et la reconnaissance sexuelle, un grand nombre films militant sur la question. De nos jours en 2017, l’acceptation de l’homosexualité dans les évolutions socio culturelles des sociétés reste centrale, quatre ans après les manifestations pour le mariage pour tous en 2013. Après La Vie d’Adèle : chapitre 1 et 2 (2013), Pride de Matthew Warchus (2014) ou encore La Belle saison de Catherine Corsini en 2015, viens Moonlight de Barry Jenkins en 2017.
    Avec Moonlight, adaptation de la pièce de théâtre de Tarell Alvin McCraney In Moonlight Black Boys Look Blue, le réalisateur et scénariste noir américain Barry Jenkins à qui l’on doit le drame romantique Medicine for Melancholy (2008), nous emmène dans les quartiers mal famés d’un Miami en proie à la drogue dans les années 80 pour nous raconter l’histoire de Chiron, jeune garçon afro américain cherchant à fuir la dureté de son quotidien familiale et, se découvrant en grandissant , une homosexualité naissante. Mais peut-on grandir et s’épanouir librement et sexuellement dans un tel contexte ?
    C’est l’étoile du moment ; après avoir particulièrement brillé pendant la dernière pleine lune des Oscars et conquis tout un univers de critiques quasi unanimes, raflé l’Oscar du meilleur film devant La La Land de Damien Chazelle, Moonlight n’arrête plus de faire parler de lui. « Un film au sommet » (L’Humanité), « Magnifique » (Télé 7 Jours), « Un choc » (Studio Ciné Live), telles sont les éloges à l’égard de ce Drame.
    L’histoire de Moonlight est aussi intéressante dans le fond que dans la forme. Tout le récit est écrit avec soin grâce à une narration maîtrisée dans son ensemble qui montre bien que le réalisateur connaît son sujet. Avec ce film, Barry Jenkins, nous livre ici une histoire pleine de vérité dans une atmosphère à mi-chemin entre documentaire et film d’auteur personnel intimiste. Ce n’est pas un hasard si Jenkins a choisi la ville de Miami comme cadre dramatique de son histoire. Etant lui-même originaire de Liberty City à Miami on pourrait supposer que le personnage de Chiron, puisse s’agir d’un double du réalisateur. De cette manière, le scénariste en profite pour nous montrer les tourments et la violence d’un mode de vie d’une cité proche de sa propre enfance sans en faire des tonnes et en prenant garde à ne pas basculer dans le mélodrame tire larmes.
    Un des points fort majeur de Moonlight réside dans ses choix narratifs. En sauvegardant une structure en actes, le film, sans renier ses origines théâtrales permet d’établir solidement le parcours initiatique et l’évolution de son protagoniste dans les détails. Une évolution des mieux retranscrite pour un personnage dont on a rarement aussi bien insisté sur les idées de « multiples facettes ». Chiron n’est pas une seule entité, mais véritablement trois personnes à la fois. Il est d’ailleurs envisageable d’établir un parallèle avec le centaure éponyme de la Mythologie Grecque, un être composé de deux entités et don Jenkins doit sans doute avoir connaissance. L’investissement de 3 acteurs pour représenter les trois identités rassemblées en une du personnage : Little, Chiron et Black a donc tout son sens dramatique. En additionnant les différents jeux d’acteurs, le réalisateur a su trouver un moyen astucieux et pertinent de rendre crédibles et vraisemblants les changements et prises de conscience du protagoniste et de voir comment l’enfant, l’adolescent et enfin l’adulte, est conditionné par les attitudes, les mœurs et les questions financières de son environnement ? Une façon d’aborder le récit qui ne nous est pas étrangère, on pensera à certains films notamment Slumdog Millionnaire de Dany Boyle (2008) avec Dave Patel pour établir une comparaison.
    Mais néanmoins, si Moonlight présente en surface une potentielle profondeur dans le sujet qu’il aborde, force est de constater que l’émotion médiatisée, sous entendue n’est pas là. Le personnage aussi attachant soit il ne parvient pas à nous faire éprouver plus qu’un bon sentiment de sympathie, aussi, force est de constater qu’il y a un peu tromperie sur la marchandise quant au traitement de l’homosexualité vendue comme centrale mais qui finalement est très vite réduite à une caractéristique accessoire du personnage que le réalisateur a laissé en suspens pendant les trois quarts du film plutôt qu’un véritable enjeu. Le problème qui se pose vient du fait que le film de Barry Jenkins a été vendu élogieusement comme un film profond et émouvant sur la question…mais ne tient finalement aucun véritable discours dessus et laisse cette question au second plan. Le thème de l’homosexualité en reste à un simple astre indépendant dans la galaxie de Chiron. Du coup, le personnage principal n’est plus aussi creusé et l’intrigue finit, tout restant globalement bien organisée, par se chercher un peu. Le film en plus de ne pas susciter l’impact émotionnel attendu demeure dépourvu de rebondissements.
    Le pari d’adapter l’œuvre théâtrale de Tarell Alvin McCraney est donc une belle réussite pour Barry Jenkins qui réussit en 1h50 à nous immerger brillamment dans le quotidien de ce Noir Américain grâce à documentaire aux accents intimistes. Un drame réaliste intéressant dans le Miami des années 1980 mais qui aurait pu gagner bien plus en profondeur s’il avait traité de l’homosexualité au premier plan. Une belle pleine lune quelque peu gâché par les nuages, l’émotion ne sera pas au rendez-vous chez tout le monde.
    Nicola A.
    Nicola A.

    27 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2017
    Film qui démarre bien, puis s'arrete: quand la troisième partie commence vous pouvez tranquillement sortir du cinéma. Il ne se passe plus rien.
    Jean-Francois D.
    Jean-Francois D.

    28 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2017
    Allez voir ce film tant qu'il est sur les écrans... Les mauvaises langues pourront dire que ce film a bénéficié de discrimination positive lors de la cérémonie des Oscars. Qu'il s'agissait d'un acte de résistance vis-à-vis du nouvel occupant de la Maison Blanche. Il n'empêche, c'est un film remarquable à plus d'un titre. Des acteurs justes, une photographie léchée qui fait de Liberty city, ce ghetto noir de Miami, un autre personnage marquant du film, une BO éclectique et stylée, un scénario touchant, tout en retenue, qui ne tombe pas dans le pathos alors que le sujet pourrait s'y prêter... J'ai lu beaucoup de commentaires désabusés sur le thème : encore un film sur l'homosexualité, qu'apporte-t-il de nouveau... ou bien : le film commence brillamment, s'essouffle et finit par sombrer dans sa troisième partie qui manquerait de crédibilité. Au contraire, tout se tient. D'abord ce n'est pas spécialement un film SUR l'homosexualité, plutôt sur la construction d'une identité dans un environnement social très difficile (euphémisme). Cette troisième partie est la réponse du personnage à ce déferlement de violence et d'intolérance, (spoiler) il ne fait qu'y reproduire le modèle de son "père d'adoption" afin d'obtenir le respect que la société lui refuse, au détriment de sa nature profonde. Le film se termine au moment où la carapace se fendille, en laissant entrevoir (mais seulement entrevoir ... au risque de frustrer le spectateur) la possibilité d'une fin heureuse à un parcours de vie qui semblait par avance (con)damné.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    196 abonnés 2 830 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2017
    Un casting étonnant pour Little/Chiron/Black et constituer ce portrait en trois points. La première partie, sacrifiée à mon sens, présente la détresse du jeune Chiron auprès de sa mère et de ses camarades. La seconde, la révélation de sa personnalité actuelle et future. Les éléments se mettent alors en place jusqu'à ce que Chiron accepte d'être Black et épouse une couverture pour le protéger de Miami, de Liberty City et du rejet de sa personne. Et c'est une conclusion réussi, grâce essentiellement à l'interprétation de Trevante Rhodes, révélation majeur de ce film qui vient soutenir et consolider l'ensemble. Barry Jenkins et son Dir Phot James Laxton optent pour des mouvements fluides, papillonnants autour des personnages, ce qui tranche avec les caméras à l'épaule, adopté dans de tels tournages en extérieur. Jenkins connaît le quartier, tout comme l'auteur Tarell Mc Craney, et cette façon de porter la caméra dans leur quartier impose un regard en suspension, bivalent, esthétique et velléitaire, tout comme Chiron. Il y a donc de grands instants mais également de grands manques à Moonlight qui en fait un rendez-vous en demi-teinte.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 mars 2017
    Remboursez-moi, putain !
    Il n'est jamais bon de critiquer à chaud, paraît-il.
    Mais c'est accablé par une colère froide que j'ai écrasé les pieds de mes voisins de siège pour fuir la salle de MOONLIGHT.
    Une "histoire" d'une inconsistance, d'une vacuité, d'une absence d'incarnation, d'une lourdeur, d'une "grotesquerie", d'une invraisemblance telle que j'en viens à me demander de quels types de drogues hallucinogènes abusent les critiques et certains spectateurs enthousiastes pour écrire leurs dithyrambes sur cette pure escroquerie intellectuelle et émotionnelle.
    Sommes-nous sérieusement en train d'entrer dans une ère où ce genre d'objet cinématographique deviendrait le mètre étalon du chef-d'oeuvre ?
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 mars 2017
    Voici un vrai produit à oscar : on a droit à une belle mise en scène, un exercice de style sur un sujet fort avec des acteurs très bons. Mais le film est lent, l'ambiance pesante, le sujet n'est pas traité assez profondément et on a du mal à s'attacher au personnage principal. D'où la note de 6.5/10.
    Retrouvez notre critique dans une vidéo (sans spoilers) qui dure moins de 3 minutes.
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