Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Une nature morte, une digression accidentelle, un fragment de discours poétique, une bifurcation intempestive se logent souvent entre les deux extrémités de ce qui aurait dû être une droite et qui se révèle un rébus merveilleux.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Ce plan-séquence somnambulique est la plus belle incise poétique que le cinéma ait à nous offrir ces temps-ci (avec "The Assassin" de HHH), un sortilège dont les effets perdurent après la projection, comme si le cinéma mélancolique de Jia Zhangke était infusé par le bonneteau temporel de la fin de "2001 : l’odyssée de l’espace".
Libération
par La rédaction
C’est avant tout une magnifique méditation sur le temps qui passe et sur ce que peut en faire le cinéma, comment il le tord et le malaxe, et semble toujours trouver de nouvelles manières de le remonter.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Un entrelacs de temporalités et de formes mouvantes, difficilement déchiffrable, et pourtant forme tenue, expressive, dont l’évidente maîtrise n’ignore pas elle non plus le flottement, le tremblement – c’est peut-être ce que le film réalise de plus précieux.
Paris Match
par Yannick Vely
Un vertige sensoriel que l'on a déjà éprouvé devant certains films de Hou Hsiao-hsien - "Goodbye South Goodbye" notamment - ou d'Apichatpong Weerasethakul - "Syndromes and a Century". Deux sacrées références.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
C'est tout l'effet que produit "Kaili Blues", dont on sort débarrassé de la pesanteur des choses et en regardant différemment le monde.
Première
par Gérard Delorme
La forme, fluide et d’une virtuosité discrète, évoque un flux de conscience plus ou moins onirique, commenté par un monologue intérieur surréaliste. Un vrai trip, à la fois dépaysant mais étrangement familier.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Bi Gan n'a pas 30 ans; son premier long métrage, visuellement splendide, fait date.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Jacques Morice
Mouvement fluide, étrange, qui dénote une inspiration évidente, un sens intuitif de la mise en scène, proche de Hou Hsiao-hsien (dont "The Assassin" est à l'affiche), maître déclaré de ce jeune cinéaste très prometteur de 27 ans.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Une errance poétique dans une Chine atypique. Il va falloir suivre ce jeune cinéaste, talentueux et énigmatique, entre Lynch et Hou Hsiao-hsien.
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
On attend le deuxième film avant de s'emballer définitivement pour ce réalisateur qui, malgré son talent réel, marque par moment une tendance un peu trop forte pour le formalisme pur au détriment du reste.
Le Monde
Une nature morte, une digression accidentelle, un fragment de discours poétique, une bifurcation intempestive se logent souvent entre les deux extrémités de ce qui aurait dû être une droite et qui se révèle un rébus merveilleux.
Les Inrockuptibles
Ce plan-séquence somnambulique est la plus belle incise poétique que le cinéma ait à nous offrir ces temps-ci (avec "The Assassin" de HHH), un sortilège dont les effets perdurent après la projection, comme si le cinéma mélancolique de Jia Zhangke était infusé par le bonneteau temporel de la fin de "2001 : l’odyssée de l’espace".
Libération
C’est avant tout une magnifique méditation sur le temps qui passe et sur ce que peut en faire le cinéma, comment il le tord et le malaxe, et semble toujours trouver de nouvelles manières de le remonter.
Cahiers du Cinéma
Un entrelacs de temporalités et de formes mouvantes, difficilement déchiffrable, et pourtant forme tenue, expressive, dont l’évidente maîtrise n’ignore pas elle non plus le flottement, le tremblement – c’est peut-être ce que le film réalise de plus précieux.
Paris Match
Un vertige sensoriel que l'on a déjà éprouvé devant certains films de Hou Hsiao-hsien - "Goodbye South Goodbye" notamment - ou d'Apichatpong Weerasethakul - "Syndromes and a Century". Deux sacrées références.
Positif
C'est tout l'effet que produit "Kaili Blues", dont on sort débarrassé de la pesanteur des choses et en regardant différemment le monde.
Première
La forme, fluide et d’une virtuosité discrète, évoque un flux de conscience plus ou moins onirique, commenté par un monologue intérieur surréaliste. Un vrai trip, à la fois dépaysant mais étrangement familier.
TF1 News
Bi Gan n'a pas 30 ans; son premier long métrage, visuellement splendide, fait date.
Télérama
Mouvement fluide, étrange, qui dénote une inspiration évidente, un sens intuitif de la mise en scène, proche de Hou Hsiao-hsien (dont "The Assassin" est à l'affiche), maître déclaré de ce jeune cinéaste très prometteur de 27 ans.
Les Fiches du Cinéma
Une errance poétique dans une Chine atypique. Il va falloir suivre ce jeune cinéaste, talentueux et énigmatique, entre Lynch et Hou Hsiao-hsien.
La Septième Obsession
On attend le deuxième film avant de s'emballer définitivement pour ce réalisateur qui, malgré son talent réel, marque par moment une tendance un peu trop forte pour le formalisme pur au détriment du reste.