Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
La mise en image classique et inévitablement statique est, de toute façon, éclipsée par la puissance du témoignage de cette invraisemblable grande gueule aux doigts de fée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par La Rédaction
Construit comme une véritable enquête (témoignage d’un flic, d’un procureur, d’un collectionneur floué), le documentaire de Jean-Luc Léon brosse, avec sensibilité mais sans empathie, le portrait d’un gars qui, à sa façon, a été un artiste. Et ce tableau-là est authentique !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Soyeux
On rit, on grince, on s’étrangle… et on en vient à réfléchir. Car si ces faux dévalorisent le marché des œuvres d’art, Guy Ribes, sans se dédouaner, pointe les contradictions, les excès et les hypocrisies d’un système.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Le documentaire de Jean-Pierre Léon reprend le fil de l’autobiographie de Guy Ribes, paru en 2015 aux Presses de la Cité ("Autoportrait d’un faussaire"). Mais le gangster de l’art est encore meilleur en 3D. Sa gouaille en fait un personnage d’Alphonse Boudard ou de Michel Audiard.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Le documentariste Jean-Luc Léon recueille ici, avec gourmandise, les confidences, vraies ou fausses, de Guy Ribes, arnaqueur surdoué et flambeur à souhait.
Marianne
par Simon Gefen
On rit de la façon dont Ribes raconte toutes ses combines, avec ses beaux tics de langage, sans hésiter à dénoncer ses complices. Mais c'est le fait qu'il nous fasse entrer au coeur de son atelier qui donne tout son intérêt à ce documentaire.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un documentaire fascinant.
Première
par Eric Vernay
Un génie de l’illusion, plaide ce documentaire malicieux, fasciné par le truculent faussaire... sans être tout à fait dupe des fanfaronnades de cet homme de l’ombre, enfin célébré.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Ce portrait plutôt joyeux révèle aussi le pathétique d'une existence vouée à tromper son monde.
L'Express
par Christophe Carrière
Le doc vaut essentiellement pour son personnage à la faconde et au destin fascinants.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Alternant interview face caméra de l’intéressé, qui livre quantité d’anecdotes sur son parcours, et avis d’experts, le film exerce un pouvoir de fascination malgré de nombreuses maladresses.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C'est que quelque chose, dans la défense d'assez mauvaise foi que prodigue le héros de ce film, sonne finalement juste.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Même si sa figure et son parcours sont romanesques, Guy Ribes n’est pas une légende vaporeuse. Mais ce documentaire a sa magie propre, consistant à exhiber la fabrication de la supercherie devant la caméra…
Libération
par Gilles Renault
"Un vrai faussaire" et son montage leste s’en laissent assez volontiers conter des belles par Guy Ribes, tout juste recadré par quelques «rôles» secondaires (...). Encore qu’à ce stade de l’enfumage, on ne sache plus trop qui pipeaute qui dans cette fable aphoristique instruite à charge (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
C'est tout juste s'il ne devient pas sympathique, ce cauchemar des experts. D'autant que le faussaire est rond, jovial, disert, gouailleur comme un personnage de Michel Audiard. Visiblement charmé, le réalisateur l'écoute sans le contredire, ni l'énerver...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Franceinfo Culture
La mise en image classique et inévitablement statique est, de toute façon, éclipsée par la puissance du témoignage de cette invraisemblable grande gueule aux doigts de fée.
L'Obs
Construit comme une véritable enquête (témoignage d’un flic, d’un procureur, d’un collectionneur floué), le documentaire de Jean-Luc Léon brosse, avec sensibilité mais sans empathie, le portrait d’un gars qui, à sa façon, a été un artiste. Et ce tableau-là est authentique !
La Croix
On rit, on grince, on s’étrangle… et on en vient à réfléchir. Car si ces faux dévalorisent le marché des œuvres d’art, Guy Ribes, sans se dédouaner, pointe les contradictions, les excès et les hypocrisies d’un système.
Le Figaroscope
Le documentaire de Jean-Pierre Léon reprend le fil de l’autobiographie de Guy Ribes, paru en 2015 aux Presses de la Cité ("Autoportrait d’un faussaire"). Mais le gangster de l’art est encore meilleur en 3D. Sa gouaille en fait un personnage d’Alphonse Boudard ou de Michel Audiard.
Le Parisien
Passionnant.
Les Fiches du Cinéma
Le documentariste Jean-Luc Léon recueille ici, avec gourmandise, les confidences, vraies ou fausses, de Guy Ribes, arnaqueur surdoué et flambeur à souhait.
Marianne
On rit de la façon dont Ribes raconte toutes ses combines, avec ses beaux tics de langage, sans hésiter à dénoncer ses complices. Mais c'est le fait qu'il nous fasse entrer au coeur de son atelier qui donne tout son intérêt à ce documentaire.
Ouest France
Un documentaire fascinant.
Première
Un génie de l’illusion, plaide ce documentaire malicieux, fasciné par le truculent faussaire... sans être tout à fait dupe des fanfaronnades de cet homme de l’ombre, enfin célébré.
Studio Ciné Live
Ce portrait plutôt joyeux révèle aussi le pathétique d'une existence vouée à tromper son monde.
L'Express
Le doc vaut essentiellement pour son personnage à la faconde et au destin fascinants.
Le Journal du Dimanche
Alternant interview face caméra de l’intéressé, qui livre quantité d’anecdotes sur son parcours, et avis d’experts, le film exerce un pouvoir de fascination malgré de nombreuses maladresses.
Le Monde
C'est que quelque chose, dans la défense d'assez mauvaise foi que prodigue le héros de ce film, sonne finalement juste.
Les Inrockuptibles
Même si sa figure et son parcours sont romanesques, Guy Ribes n’est pas une légende vaporeuse. Mais ce documentaire a sa magie propre, consistant à exhiber la fabrication de la supercherie devant la caméra…
Libération
"Un vrai faussaire" et son montage leste s’en laissent assez volontiers conter des belles par Guy Ribes, tout juste recadré par quelques «rôles» secondaires (...). Encore qu’à ce stade de l’enfumage, on ne sache plus trop qui pipeaute qui dans cette fable aphoristique instruite à charge (...).
Télérama
C'est tout juste s'il ne devient pas sympathique, ce cauchemar des experts. D'autant que le faussaire est rond, jovial, disert, gouailleur comme un personnage de Michel Audiard. Visiblement charmé, le réalisateur l'écoute sans le contredire, ni l'énerver...