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    Ce Qui Nous Lie
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    folyr
    folyr

    32 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juin 2017
    Un plat documentaire sur la vinification, doublé d'une plate chronique familiale. Du Fr 3 des années 90, sans scénario, sans imagination, sans réalisation. Klapish qui a su nous enchanter avec la trilogie de l'Auberge espagnole, a concocté un film à mourir d'ennui du début à la fin.
    vincentasc
    vincentasc

    33 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 juin 2017
    Après Le regrettable "Ma part du gâteau" la chute de Klapisch ne semble pas s'arrêter. Il rate avec son film tout ce qu'il réussissait auparavant. Scénario inexistant accumulant les lieux communs. Personnages caricaturaux. Manque de rythme. Il use et abuse des fondus enchaînés pour montrer le temps qui passe. Quelques belles images sauvent l'ensemble.
    Chris58640
    Chris58640

    210 abonnés 757 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juillet 2017
    Ah, le pinard ! Il n’y a qu’en France que l’on peut construire des films quasiment intégralement sur le seul sujet du vin ! Quand on lit le pitch de « Ce qui nous lie » (joli titre, au passage), on pense d’emblée au film de Gilles Legrand « Tu seras mon fils », qui évoquait peu ou prou le même sujet, en le situant dans le Bordelais. Mais la comparaison n’est pas pertinente. Le film de Gilles Legrand était lourd, versait dans le drame psychologique alors que le film de Cédric Klapisch est beaucoup plus léger. Pour reprendre la comparaison avec le vin, le cru Klapisch est plus agréable en bouche et moins complexe que le cru Legrand, un bon Bourgogne bien charpenté face à un Bordeaux plus ambitieux, ou plus prétentieux, ça dépend de quel point de vue on se place. Klapisch, qui n’est pas le premier venu, filme avec une tendresse évidente les vignes de Cote d’Or et de Saône et Loire. Ces paysages (que je connais un petit peu, c’est ma région quand même…) vaguement vallonnés, avec des vignes à perte de vue, des petits murets, des grandes exploitations avec la cour intérieure, où chaque mètre carré porte un pied de vigne, jusqu’au bord du bord de la route, Cédric Klapisch leur rend hommage, en proposant de beau time-laps (soit en plans très larges, soit en plans très rapprochés), c’est un effet un peu facile mais qui fonctionne toujours. Il réussi un film bien charpenté, qui ne connait pas (trop) de longueurs (à part peut-être sur la fin, qui tarde un tout petit peu à venir), bien rythmé, avec des jolis plans. Il propose des petits flash back plein de tendresse, qui parfois même se mêlent au présent. Là encore, ce n’est pas un procédé révolutionnaire mais c’est bien fait, c’est bien dosé. Le film, qui dure presque deux heures, passe tout seul et si j’osais, je dirais qu’il se boit comme du petit lait ! Klapisch est un réalisateur qui a, quoi qu’on en dise, une « patte », même si elle est subtile. Et il s’offre un petit rôle de figurant, à la fin, juste le temps d’un mouvement de caméra. Bref, techniquement je ne vois pas grand-chose à redire, c’est un réalisateur que j’affectionne particulièrement et depuis bien longtemps. Pio Marmaï, Ana Giradot et François Civil sont parfaits, immédiatement attachants, parfaitement crédibles et bien entourés de quelques seconds rôles bien croqués. Difficile de départager ces trois comédiens, qui d’emblée nous donnent l’impression d’une fratrie crédible, à la fois pétrie d’affection mais en même temps minée par les problèmes habituels de la fratrie : rivalités, difficulté d’être dans la position de l’ainé, problème de succession et d’indivision spoiler: (car le papa va rapidement mourir…),
    agrémenté d’un soupçon de chantage affectif, comme dans toutes les fratries qui se respectent ! Tout cela est psychologiquement bien crédible. D’ailleurs, c’est d’abord le sérieux du scénario que je veux souligner, car « Ce qui nous lie » est un film sur le vin d’abord et avant tout. C’est un sujet sérieux et le film de Klapisch est très documenté : on y discute technique, œnologie, chimie organique mais aussi « robe », « cuisse » et « longueur en bouche ». La trame du scénario n’est pas bien compliquée : une fratrie de trois se retrouve, des décisions sont à prendre concernant la terre, le vin, le domaine, les parcelles, la maison, tout cela sur fond de droits de succession et de rivalités avec les viticulteurs voisins, qui lorgnent sur les parcelles « grands crus ». Jean l’ainé, n’en finit pas d’hésiter entre sa famille en France, et celle qu’il s’est construit en Australie et qui lui manque, il est à la fois incapable de rester et incapable de partir, et il résiste mal, malgré tout, à l’envie de régler quelques comptes avec une adolescence pénible. Jeremy, le petit dernier, qui a épousé la fille d’un viticulteur voisin très riche et très autoritaire, à bien du mal à tenir tête à un beau-père envahissant et péremptoire. Et puis au milieu Juliette, certainement la plus douée et la plus passionnée, qui peine à trouver sa place dans un monde assez masculin. C’est assez subtil mais c’est toujours là, ce machisme ambiant et inconscient qu’elle doit subir : quand elle prend une décision, on lui demande si elle est sure d’elle, on s’adresse toujours à ses frères en premier, et elle mettra longtemps avant de taper un peu du poing sur la table ! Le scénario, même s’il souffre de quelques faiblesses et cède parfois un petit peu à la facilité, est quand même bien solide. spoiler: On peut regretter une « happy end » qui tarde à venir, alors qu’elle faisait bien peu de doute.
    On peut trouver aussi que certains rebondissements sont un peu gros, un peu téléphonés spoiler: (la lettre trouvée dans la poche)
    mais ce ne sont que des tout petits défauts. Le film est plein d’humour, un humour à la Cédric Klapisch, tendre et léger, sucré en première intention mais avec une pointe d’acidité en fin de bouche, jamais lourd, jamais malvenu, parfaitement dosé pour faire passer les moments plus douloureux, plus tendres ou plus complexes. Non, franchement, « Ce qui nous lie » est un film réussi devant lequel j’ai passé un excellent moment de cinéma, et c’est en plus un hommage à la Bourgogne, ce qui me touche particulièrement.
    Isabelle Migneaux Panis
    Isabelle Migneaux Panis

    6 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juin 2017
    Vu en avant-première avec l'équipe ce soir . J'ai adoré!!! Du très bon Klapisch. Du cinéma qui fait du bien, qui berce nos souvenirs d'enfance, guérit nos blessures éducatives, réconcilie nos différents. L'image est superbe, magnifiant la Bourgogne et les vignes d'une saison à l'autre, le milieu viticole particulièrement bien filmé (mélange de fiction et de documentaire pour ce qui touche au vin). Le casting est juste, avec une vraie alchimie entre les acteurs, tous plus émouvants, drôles, vrais les uns que les autres .... Un feel good movie à la française particulièrement reussi!
    Noam ???? D
    Noam ???? D

    63 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 juin 2017
    pourtant Fan de Klapisch, là j ai ete tres decu de l histoire, pourtant les acteurs jouent bien mais aucune accroche au scenario. dommage...
    officiel76
    officiel76

    46 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 juin 2017
    quelle déception, on sait à chaque situation ce qui va se passer ensuite. il n'y a qu'un mot à dire devant cette bluette sentimentale qui fleure bon tous les clichés du monde à savoir le vin, le terroir, l'héritage, la famille, la rupture, la mort, la rédemption, le pardon, la réconcialiation, l'absence (si, si, il a tout mis la dedans, une espèce de gloubiboulga qui fait que tout est superficiel) : Klapish a vieilli. il fait du cinéma pantouflard pour les ménagères de plus de 50 ans. ça ronronne..c'est commercial à souhait.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 15 juin 2017
    Ce coin de Bourgogne que je connais par cœur a été remarquablement bien filmé.
    Ça tourne quand même assez vite au documentaire très didactique (il y a d'autres supports pour ça)
    trois excellents acteurs… qui ne font pas du tout couleur locale : pas la moindre pointe d'accent, pas le moindre "r" roulé, pas de hâle, des mains de fonctionnaires etc.
    Le père (flash back) a une dégaine d'écrivain raté de Saint-Germain-des-Prés, assez éloignée du vigneron les pieds dans la terre qu'il est censé être.
    Le beau-père est caricatural.
    Quelques bons moments tout de même, mais un scénario faible, une psychologie basique et des dialogues qui sonnent parfois complètement faux, comme d'ailleurs un certain nombre de scènes tout entières.
    Déçu
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 juillet 2017
    J'étais curieuse, oui c'est un vilain défaut, c'était la fête du cinéma : je suis allée voir ce téléfilm, plutôt pas mal au demeurant, émouvant avec cette histoire inquiète de la vie des jeunes face à la mort des anciens. Globalement c'est creux, avec des ficelles aussi grosses que les cordes de la balançoire et le personnage principal est mal brossé.L'autre frère et la sœur rattrapent un peu le coup. On est loin du compte quand même : non ce n'est pas un bon film, ce n'est pas du cinéma, c'est du divertissement qui ira très bien à la télé.
    vidalger
    vidalger

    320 abonnés 1 249 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juin 2017
    Verre à moitié plein : ce n'est pas le meilleur cru de Klapish, malgré un casting et une interprétation très relevés et une image particulièrement soignée. Les beaux paysages de la côte bourguignonne, justement distingués par l'UNESCO, sont mis en valeur de façon habile, en jouant sur l'effet des saisons. L'aspect documentaire, un peu trop appuyé parfois, dit l'ambition du réalisateur à nous montrer un milieu et une ambiance qu'il apprécie et l'enthousiasme qui l'anime visiblement quand on parle de vigne ou de vin. Verre à moitié vide : comme dans beaucoup de films ayant la vigne ou le vin comme toile de fond [je pense à Tu seras mon fils de G.Legrand ou Premiers crus de J. Le Maire par exemple] on ne trouve pas vraiment de ressort narratif pour soutenir l'attention du spectateur hormis la reprise d'une idée éculée d'héritage et de changement de génération. On a un peu de mal à se passionner pour les affres de ces malheureux trentenaires qui ont la douleur d'hériter chacun d'un patrimoine de 2 millions d'euros...Les quelques traits d'humour klapishiens sont parfois de vrais bonheurs - l'interprétation des signes des conversations éloignées ! - mais ne suffisent pas à étouffer notre ennui.
    islander29
    islander29

    860 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juin 2017
    Un joli film, avec des personnages intéressants et des paysages de vignobles sublimes.....peut être que son unique défaut est le manque de densité du scénario, notamment les conflits qui restent en termes bien superficiels. . Pour le reste le film propose une histoire qui au fond peut désigner un conflit de génération......quelques notes d'humour, mais pas assez (les grasses matinées), un mélodrame et un voyage lointain, (ça ne vous rappelle rien, une certaine auberge....) des réflexions sur le métier de vigneron, sans jamais être techniques, on reste dans un univers plutôt serein, et un film qui aurait pu éviter quelques longueurs.......On reste aussi sur le sentiment que Klapish a du mal à se renouveler, et qu'il s'assagit considérablement, on est très loin du péril jeune quelque part..... A voir pour se changer les idées......
    labellejardinière
    labellejardinière

    85 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 juin 2017
    Il y a ceux qui crachent, et ceux qui avalent. Le vin dégusté. Voilà ce que le falot Jérémie réussit à dire à son méchant beau-père, un jour de grand courage. C'est-à-dire qu'il y a deux sortes de vignerons, ceux sans générosité (comme le très riche Anselme, avant tout un homme d'affaires), et ceux qui savent "Ce qui nous lie" (l'amour de la vigne), comme son moins riche gendre - héritier indivis (avec un frère aîné et une cadette) de 6 millions d'euros de terres viticoles bourguignonnes (dont on ne nous cèle rien des attraits cinégéniques, 5 saisons durant), quand même. C'est sans doute le (seul) message de cet ultra médiocre nouvel opus Klapisch..... Plutôt court en bouche.
    velocio
    velocio

    1 300 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juin 2017
    Le dernier long métrage de fiction de Cédric Klapisch était sorti sur nos écrans à la fin de l’année 2013. Il s’agissait de Casse-tête chinois, le dernier volet de la trilogie commencée en 2002 avec "L’auberge espagnole", continuée en 2004 avec "Les poupées russes" et tournant autour du personnage de Xavier, interprété par Romain Duris. "Ce qui nous lie" faisait partie des projets de Klapisch depuis 2010, mais trouvant que beaucoup de temps s’était déjà écoulé depuis "Les poupées russes", il a préféré tourner "Casse-tête chinois" avant de s’attaquer à ce film sur le monde du vin.

    On peut voir 3 registres dans "Ce qui nous lie", dont un qui est totalement documentaire, un autre qui n’en est pas très loin et un dernier vraiment fictionnel. Le premier est consacré à la vie d’une exploitation vitivinicole bourguignonne, sur une période de 12 mois. Il commence par des vendanges et se termine un an après, sur de nouvelles vendanges. Il a nécessité un tournage très particulier : quatre sessions de 3 à 4 semaines chacune, chacune de ces sessions étant liées à une saison et montrant ce qu’est, dans une exploitation vitivinicole, l’activité qui s’y déroule. Ce volet est parfaitement documenté et même, osons le dire, trop bien documenté : on a en effet parfois la sensation que Klapisch a voulu trop bien faire et qu’il est tombé dans le défaut du film un peu trop scolaire. Le deuxième registre, proche du documentaire et plutôt bien traité, c’est celui consacré aux problèmes que pose l’héritage entre 3 enfants dans une entreprise familiale comme l’est une exploitation vitivinicole. Quant au troisième registre, celui-là purement fictionnel, il s’intéresse à l’évolution personnelle de 2 frères et d’une sœur que les événements amènent à intégrer de plain pied le monde des adultes, chacun avec ses propres problèmes, ainsi qu’à l’évolution des rapports qu’ils entretiennent entre eux. Il y a Jean qui passe son temps à hésiter quant à son avenir, Juliette qui s’affirme de plus en plus et Jérémie qui aimerait bien qu’on le prenne, enfin, au sérieux. Le challenge de Klapisch, c’était de faire en sorte que l’articulation entre ces 3 registres se fasse de façon harmonieuse : reconnaissons que, si l’effort pour y arriver est indéniable, le résultat n’est pas toujours pleinement satisfaisant.

    A la vision de "Ce qui nous lie", on se félicite donc de la prestation des interprètes du film et on devrait se féliciter d’avoir trois films pour le prix d’un. Malheureusement, l’articulation entre les trois registres n’est pas toujours heureuse et on ressort de la projection avec l’impression mi-figue, mi-…raisin d’un film qu’on aurait souhaité aimer davantage.
    PLR
    PLR

    465 abonnés 1 558 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 juin 2017
    Il se dégage bien par moment un petit quelque chose d'émotion de ce film mais sans plus. Il n'y a pas beaucoup de développements, aucune intrigue. Une histoire de famille comme il pourrait y en avoir mille. Un air de déjà vu avec "Premiers crus" (2015), à peu-près sur le même registre familial, les mêmes difficultés, les mêmes querelles... et le même terroir vinicole: la Bourgogne. Ana Girardot tire son épingle du jeu dans l'interprétation. Autour d'elle, c'est sans grand entrain. Bref moyen, très moyen sauf si on aime les paysages. Et comment ne pas les aimer ?
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juin 2017
    Tout le monde est capable de reconnaître la patte de Cédric Klapisch à commencer la bande-son toujours innovante et de qualité, les génériques absolument incroyables, et les personnages étoffés et attachants. Cette fois, le réalisateur quitte le Paris qu'il a si souvent filmé pour se rendre dans les paysages de Bourgogne et s'intéresser à une famille de vignerons. Dès les premières images, le réalisateur parvient à immerger ses spectateurs dans un univers parfaitement inconnu et des émotions vivantes et vraies. L'attachement à ces trois frères et sœurs est immédiat. On rentre dans ce récit où il est tout autant question de bilan familial, de fraternité, d'amour que de vendanges et d'affairisme. En ce sens, "Ce qui nous lie" est très bien documenté. On apprend avec délectation les techniques qui entourent le métier de vigneron. Et Klapisch est si pédagogue qu'il réussit à nous faire comprendre sans difficulté les rouages économiques et affectifs qui traversent le milieu du vin. On a même l'impression de se désaltérer tout au long du film de vins prestigieux et de ressentir jusque dans la salle les onguents du raisin et de l'alcool. Bien sûr on pourra être agacé par le montage très klapischien qui accélère le temps ou au contraire le suspend. Pour autant, le réalisateur nous offre un film généreux et authentique où les acteurs se sont donnés avec plaisir et humanité.
    Jake S.
    Jake S.

    81 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2020
    On reconnaît là du bon Cédric Klapisch rythmé par une musique acoustique de bout en bout et une voix-off qui pose des questions existentielles à notre personnage principal. La recette est maitrisée à n'en pas douter ! "Ce qui nous lie" est ce que j'appelle un "feel good movie" avec comme toile de fond des drames familiaux et héritages plus ou moins délicats à gérer. L'histoire est belle et les rapports entre ces 3 frères et soeurs évoluent au rythme des saisons et de ce vin qui leur est si cher. Au delà de ça, rien d'exceptionnel à remarquer. C'est un film qui ne marque pas mais qui n'est pas non plus mal fait, loin de là. On constate simplement, au final, que malgré les différends qu'ils pouvaient avoir au départ, ils ont fini par suivre la tradition familiale et conserver leur domaine. Les doutes ont laissé place à la passion exercée de père en fils. Les passages de flash back soulignent bien cet aspect de transmission, dans les bons comme dans les mauvais moments.
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