Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de "Casse-tête chinois" a tourné au rythme des saisons cette chronique tendre, drôle et instructive qui se révèle un excellent cru dans sa filmographie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Entre amour, jalousie, tendresse et énervement entremêlés, Klapisch peint avec une grande finesse les relations fraternelles.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par La Rédaction
Une belle fable sur les relations fraternelles.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Au fil d'une année et quatre saisons, Cédric Klapisch nous livre une tranche de vie d'une touchante justesse avec ses fous rires, ses instants d'émotion et ses moments de vérité. A savourer sans modération.
Franceinfo Culture
par Marie-Hélène Bonnot
Les images de la Bourgogne, des vallons, des coteaux, des vignes, sont un hymne à la région. "Ce qui nous lie" de Cédric Klapisch, un film sur le vin, la Bourgogne, la famille : une excellente cuvée !
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
LCI
par Jérôme Vermelin
Entre drame et comédie, l'auteur de "L’Auberge Espagnole" et "Les Poupées Russes" signe une chronique familiale pleine de charme, tournée sur une période d’un an en Bourgogne auprès de vrais producteurs de vin qui ont enseigné leur savoir aux comédiens
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le film fourmille de scènes hilarantes, délicieux contrepoints à la mélancolie d’une enfance qui s’enfuit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur le double thème du récit de domaine et du monde du vin, un film qui, en évitant la plupart du temps les clichés, accorde son rythme à celui des saisons, équilibrant la douceur sucrée de l’émotion par l’acidité vive d’une chronique de la transmission.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Après "L'Auberge espagnole", le cinéaste recrée une nouvelle famille de jeunes comédiens attachants et enthousiasmants : Pio Marmaï en grand frère pas si adulte, Ana Girardot toute en délicatesse dans un univers d'hommes, et François Civil, jeune talent à suivre. On a envie de trinquer avec eux. À la vie, à l'amour, à l'espoir.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un regard vif et tendre sur une saga familiale habitée d'une nouvelle équipe d'acteurs charismatiques, comme le cinéaste sait en assembler. Un film reçu cep sur cep.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier de Bruyn
Le résultat. un film émouvant, profond et (parfois) cocasse où le cinéaste, bien aidé par ses excellents acteurs, ne se contente pas de mettre en scène les relations à la fois tendres et conflictuelles au sem d'une famille Avec sa description réaliste d'un domaine viticole, Cédric Klapisch aborde d'autres thèmes qui lui sont chers.
Positif
par Ariane Allard
Moins calibré et plus émouvant que prévu. Persistant en bouche, in fine.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Quant à Klapisch, "Ce qui nous lie" apparaît comme son premier film d homme mûr qui regarde la jeunesse avec distance sans nostalgie facile maîs avec une empathie généreuse pour ses comédiens et ses personnages qui file le frisson.
Télé 2 semaines
par Gwénola Trouillard
La famille, l'héritage et la transmission sont au cœur de ce millésime racé qui voit s'épanouir et mûrir, comme un bon meursault, trois magnifiques personnages dont la complicité retrouvée éclate dans une scène d'ivresse gouleyante.
Voici
par Lola Sciamma
Un cru généreux et gouleyant qui sent bon le terroir.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Sur fond de terroir et de liens du sang, Cédric Klapisch nous sert l’un de ses meilleurs crus.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La Rédaction
(...) la musique, les images et la mise en scène déployées par Klapisch peinent à marquer sur les motifs de la terre et des saisons qui passent. En revanche, le réalisateur (...) cerne avec justesse les thèmes de la tradition, de l’héritage et de l’émancipation.
Ecran Large
par Simon Riaux
Malgré des choix narratifs un peu bouchonnés, ce Klapisch est la meilleure cuvée du réalisateur depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
On n'attendait pas forcément un grand cru, mais davantage de corps qu'il n'y en a dans cet aimable vin de table tout à fait digne, cela dit, d'accompagner une soirée d'été.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Si sympathique soit-il, "Ce qui nous lie" apparaît un peu trop formaté (voix off, flash-back), un peu trop consensuel (tout est bien qui finit bien), un peu trop prévisible (ces bons, ces méchants). Mention spéciale tout de même à la figure qu’incarne Ana Girardot, la plus intéressante des trois parce (...).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Un “feel good movie” sympathique qui, sans faire preuve d’une grande originalité, séduit par la tendresse et la sincérité qu’il dégage.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Portant des valeurs progressistes (…), féministes (…) et écolos (…) le réalisateur de "Ni pour ni contre" (…) s’affirme une fois de plus comme le promoteur de la France “sympa”. C’est déjà ça.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Rolling Stone
par Jessica Saval
"Ce qui nous lie" s’observe, se sent et se déguste comme un bon vin. Voilà un film qui vieillira fort bien !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Jérémie Couston
Les larmes sont également convoquées avec trop de facilité dans les scènes intimes mais le cinéaste réussit, comme souvent, les scènes de groupe, notamment lors de la fête qui célèbre la fin des vendanges et donne envie de prendre un aller simple pour Beaune.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Klapisch, en faisant droit à l’esprit de tangente, aère un peu le sous-genre du film de vignoble et sa logique centripète qui s’acharne à accrocher des personnages à un territoire.
Critikat.com
par Fabien Reyre
Ça et là, quelques scènes se détachent, des moments rendus réellement touchants par la grâce de la générosité du regard que pose le réalisateur sur ses personnages, mais cela reste bien insuffisant pour élever Ce qui nous lie au-delà de ses promesses.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Julien Gester
Klapisch esquive toutefois toute élégie rance pour focaliser sur des dynamiques d’émancipations individuelles qui l’obsèdent depuis toujours, en grand publicitaire de l’invention de soi. Dans son éloge du temps long (...), sa mise en scène capte à peu près tout à l’identique, avec la même tendresse mollassonne (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Film d’initiation (...) Film d’acteurs aussi (...) Film limité enfin, qui malgré sa tendresse, dispense des leçons rebattues.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cela conviendrait à la rigueur à une grande saga pour le petit écran. Mais les trémolos nostalgiques sur les racines et la famille sentent le renfermé.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Eric Neuhoff
La voix off souligne l'action de phrases pompeuses. Les retours en arrière, les ralentis désolent par leur balourdise. On voit même le personnage principal dialoguer avec lui-même en culottes courtes. Aïe. Sinon, l'histoire se déroule sans accroc, sans surprise non plus.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le cinéaste Cédric Klapisch s’aventure loin des villes et bascule dans l’imagerie bucolique, version bourguignonne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Le réalisateur de "Casse-tête chinois" a tourné au rythme des saisons cette chronique tendre, drôle et instructive qui se révèle un excellent cru dans sa filmographie.
Bande à part
Entre amour, jalousie, tendresse et énervement entremêlés, Klapisch peint avec une grande finesse les relations fraternelles.
Closer
Une belle fable sur les relations fraternelles.
Femme Actuelle
Au fil d'une année et quatre saisons, Cédric Klapisch nous livre une tranche de vie d'une touchante justesse avec ses fous rires, ses instants d'émotion et ses moments de vérité. A savourer sans modération.
Franceinfo Culture
Les images de la Bourgogne, des vallons, des coteaux, des vignes, sont un hymne à la région. "Ce qui nous lie" de Cédric Klapisch, un film sur le vin, la Bourgogne, la famille : une excellente cuvée !
LCI
Entre drame et comédie, l'auteur de "L’Auberge Espagnole" et "Les Poupées Russes" signe une chronique familiale pleine de charme, tournée sur une période d’un an en Bourgogne auprès de vrais producteurs de vin qui ont enseigné leur savoir aux comédiens
La Croix
Le film fourmille de scènes hilarantes, délicieux contrepoints à la mélancolie d’une enfance qui s’enfuit.
Le Dauphiné Libéré
Sur le double thème du récit de domaine et du monde du vin, un film qui, en évitant la plupart du temps les clichés, accorde son rythme à celui des saisons, équilibrant la douceur sucrée de l’émotion par l’acidité vive d’une chronique de la transmission.
Le Journal du Dimanche
Après "L'Auberge espagnole", le cinéaste recrée une nouvelle famille de jeunes comédiens attachants et enthousiasmants : Pio Marmaï en grand frère pas si adulte, Ana Girardot toute en délicatesse dans un univers d'hommes, et François Civil, jeune talent à suivre. On a envie de trinquer avec eux. À la vie, à l'amour, à l'espoir.
Le Parisien
Un regard vif et tendre sur une saga familiale habitée d'une nouvelle équipe d'acteurs charismatiques, comme le cinéaste sait en assembler. Un film reçu cep sur cep.
Marianne
Le résultat. un film émouvant, profond et (parfois) cocasse où le cinéaste, bien aidé par ses excellents acteurs, ne se contente pas de mettre en scène les relations à la fois tendres et conflictuelles au sem d'une famille Avec sa description réaliste d'un domaine viticole, Cédric Klapisch aborde d'autres thèmes qui lui sont chers.
Positif
Moins calibré et plus émouvant que prévu. Persistant en bouche, in fine.
Studio Ciné Live
Quant à Klapisch, "Ce qui nous lie" apparaît comme son premier film d homme mûr qui regarde la jeunesse avec distance sans nostalgie facile maîs avec une empathie généreuse pour ses comédiens et ses personnages qui file le frisson.
Télé 2 semaines
La famille, l'héritage et la transmission sont au cœur de ce millésime racé qui voit s'épanouir et mûrir, comme un bon meursault, trois magnifiques personnages dont la complicité retrouvée éclate dans une scène d'ivresse gouleyante.
Voici
Un cru généreux et gouleyant qui sent bon le terroir.
aVoir-aLire.com
Sur fond de terroir et de liens du sang, Cédric Klapisch nous sert l’un de ses meilleurs crus.
CNews
(...) la musique, les images et la mise en scène déployées par Klapisch peinent à marquer sur les motifs de la terre et des saisons qui passent. En revanche, le réalisateur (...) cerne avec justesse les thèmes de la tradition, de l’héritage et de l’émancipation.
Ecran Large
Malgré des choix narratifs un peu bouchonnés, ce Klapisch est la meilleure cuvée du réalisateur depuis longtemps.
L'Obs
On n'attendait pas forcément un grand cru, mais davantage de corps qu'il n'y en a dans cet aimable vin de table tout à fait digne, cela dit, d'accompagner une soirée d'été.
La Voix du Nord
Si sympathique soit-il, "Ce qui nous lie" apparaît un peu trop formaté (voix off, flash-back), un peu trop consensuel (tout est bien qui finit bien), un peu trop prévisible (ces bons, ces méchants). Mention spéciale tout de même à la figure qu’incarne Ana Girardot, la plus intéressante des trois parce (...).
Les Fiches du Cinéma
Un “feel good movie” sympathique qui, sans faire preuve d’une grande originalité, séduit par la tendresse et la sincérité qu’il dégage.
Les Inrockuptibles
Portant des valeurs progressistes (…), féministes (…) et écolos (…) le réalisateur de "Ni pour ni contre" (…) s’affirme une fois de plus comme le promoteur de la France “sympa”. C’est déjà ça.
Rolling Stone
"Ce qui nous lie" s’observe, se sent et se déguste comme un bon vin. Voilà un film qui vieillira fort bien !
Télérama
Les larmes sont également convoquées avec trop de facilité dans les scènes intimes mais le cinéaste réussit, comme souvent, les scènes de groupe, notamment lors de la fête qui célèbre la fin des vendanges et donne envie de prendre un aller simple pour Beaune.
Cahiers du Cinéma
Klapisch, en faisant droit à l’esprit de tangente, aère un peu le sous-genre du film de vignoble et sa logique centripète qui s’acharne à accrocher des personnages à un territoire.
Critikat.com
Ça et là, quelques scènes se détachent, des moments rendus réellement touchants par la grâce de la générosité du regard que pose le réalisateur sur ses personnages, mais cela reste bien insuffisant pour élever Ce qui nous lie au-delà de ses promesses.
Libération
Klapisch esquive toutefois toute élégie rance pour focaliser sur des dynamiques d’émancipations individuelles qui l’obsèdent depuis toujours, en grand publicitaire de l’invention de soi. Dans son éloge du temps long (...), sa mise en scène capte à peu près tout à l’identique, avec la même tendresse mollassonne (...).
Sud Ouest
Film d’initiation (...) Film d’acteurs aussi (...) Film limité enfin, qui malgré sa tendresse, dispense des leçons rebattues.
L'Humanité
Cela conviendrait à la rigueur à une grande saga pour le petit écran. Mais les trémolos nostalgiques sur les racines et la famille sentent le renfermé.
Le Figaro
La voix off souligne l'action de phrases pompeuses. Les retours en arrière, les ralentis désolent par leur balourdise. On voit même le personnage principal dialoguer avec lui-même en culottes courtes. Aïe. Sinon, l'histoire se déroule sans accroc, sans surprise non plus.
Le Monde
Le cinéaste Cédric Klapisch s’aventure loin des villes et bascule dans l’imagerie bucolique, version bourguignonne.