Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Comédie dans un drame, thriller dans un film fantastique empreint d’un délirium musical, le nouvel opus de Pablo Berger ("Blancanieves") embarque le spectateur dans une dinguerie hypnotique, tragi-comiqué et ébouriffante, servie par de suberbes acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sur le ton de la comédie exubérante, Pablo Berger parle du couple d’une manière à la fois inventive et réfléchie. La conjugalité, paradis ou enfer, est aussi schizophrénique que les hommes qui entourent Carmen. Elle qui croit en l’amour est toujours ramenée à la violence masculine. Ce film original et émouvant n’en est que plus actuel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Un pur film de genre, comme on aime que l’Espagne nous en livre, mais aussi et surtout un improbable pamphlet à l’émancipation de la femme face à une société machiste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
Une farce succulente qui joue de la magie dans les rues et immeubles madrilènes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
"Abracadabra" mérite d'être découvert, pour sa liberté de ton, son humour rentre-dedans et un souci esthétique qui ne l'abandonne jamais, même dans la traversée de ses périodes les plus confuses.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Positif
par Yann Tobin
La matière satirique du récit se fait de plus en plus laborieuse, malgré l’abattage des comédiens et la piquante invention visuelle du metteur en scène.
Première
par Gérard Delorme
Servi par des interprétes solides, dont sa comédienne fétiche Maribel Verdu, qui jouait la méchante dominatrice de Blancanieves, Berger orchestre son ballet tragi-comique avec une générosité parfois excessive, sa tendance à en rajouter risquant de provoquer la confusion. Mais en fin de compte, dans ce registre qui rappelle Alex de la Iglesia, trop vaut toujours mieux que pas assez.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Thomas Choury
Abracadabra filme l’Espagne des années 2010 dans une débauche de couleurs saturées et d’effets de manche scénaristiques et techniques.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’Espagnol Pablo Berger surprend avec une comédie fantastique qui dérape allègrement dans le burlesque.
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’histoire d’un grutier macho possédé par l’esprit d’un tueur en série féministe et des efforts de sa femme pour l’exorciser progresse avec des semelles de plomb. Reste la vision d’un pays qui n’en finit pas d’entrer dans la modernité.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Vulgarité à tous les étages dans cette énième espagnolade bêtifiante et sans âme. Dans le genre bariolé, ça en jette, mais humainement c’est nul.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le réalisateur panache les genres, déroute et se perd. Entre humour gras et fantastique au rabais, la magie n'opère pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Pablo Berger se défoule en abusant de la couleur et des dialogues grossiers, vautrant dans les seventies bariolées ses prolos neuneus, simples vecteurs d'une farce poussive sur fond de possession.
Les Fiches du Cinéma
Comédie dans un drame, thriller dans un film fantastique empreint d’un délirium musical, le nouvel opus de Pablo Berger ("Blancanieves") embarque le spectateur dans une dinguerie hypnotique, tragi-comiqué et ébouriffante, servie par de suberbes acteurs.
Studio Ciné Live
Comédie grinçante, délirante, colorée et... hypnotique.
Télérama
Sur le ton de la comédie exubérante, Pablo Berger parle du couple d’une manière à la fois inventive et réfléchie. La conjugalité, paradis ou enfer, est aussi schizophrénique que les hommes qui entourent Carmen. Elle qui croit en l’amour est toujours ramenée à la violence masculine. Ce film original et émouvant n’en est que plus actuel.
aVoir-aLire.com
Un pur film de genre, comme on aime que l’Espagne nous en livre, mais aussi et surtout un improbable pamphlet à l’émancipation de la femme face à une société machiste.
Bande à part
Une farce succulente qui joue de la magie dans les rues et immeubles madrilènes.
Franceinfo Culture
"Abracadabra" mérite d'être découvert, pour sa liberté de ton, son humour rentre-dedans et un souci esthétique qui ne l'abandonne jamais, même dans la traversée de ses périodes les plus confuses.
Positif
La matière satirique du récit se fait de plus en plus laborieuse, malgré l’abattage des comédiens et la piquante invention visuelle du metteur en scène.
Première
Servi par des interprétes solides, dont sa comédienne fétiche Maribel Verdu, qui jouait la méchante dominatrice de Blancanieves, Berger orchestre son ballet tragi-comique avec une générosité parfois excessive, sa tendance à en rajouter risquant de provoquer la confusion. Mais en fin de compte, dans ce registre qui rappelle Alex de la Iglesia, trop vaut toujours mieux que pas assez.
Critikat.com
Abracadabra filme l’Espagne des années 2010 dans une débauche de couleurs saturées et d’effets de manche scénaristiques et techniques.
Le Journal du Dimanche
L’Espagnol Pablo Berger surprend avec une comédie fantastique qui dérape allègrement dans le burlesque.
Le Monde
L’histoire d’un grutier macho possédé par l’esprit d’un tueur en série féministe et des efforts de sa femme pour l’exorciser progresse avec des semelles de plomb. Reste la vision d’un pays qui n’en finit pas d’entrer dans la modernité.
L'Humanité
Vulgarité à tous les étages dans cette énième espagnolade bêtifiante et sans âme. Dans le genre bariolé, ça en jette, mais humainement c’est nul.
L'Obs
Le réalisateur panache les genres, déroute et se perd. Entre humour gras et fantastique au rabais, la magie n'opère pas.
Les Inrockuptibles
Pablo Berger se défoule en abusant de la couleur et des dialogues grossiers, vautrant dans les seventies bariolées ses prolos neuneus, simples vecteurs d'une farce poussive sur fond de possession.