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tomPSGcinema
754 abonnés
3 323 critiques
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3,5
Publiée le 12 janvier 2018
Et si j'avais été quelque peu déçu par le premier opus, ce second opus s'avère bien maîtrisé. La mise en scène fait preuve d'une grande efficacité, le scénario propose quelques bonnes idées et le casting est vraiment très bon. Le film fait en tout les cas bien plus sursauter que son prédécesseur et s'avère donc une bien agréable surprise.
Très bon film étant fan du genre pour une fois ils nous on pas déçus comme beaucoup de film d'horreur, la bande annonce et les critiques ont tenu parole 👌🏼
Mission remplie pour le retour d'Annabelle, meilleur que le premier en retrouvant la tension comme dans Conjuring. Les acteurs sont tous excellents et une fin qui nous laisse sans voix.
Étonné pas se 2 ème chapitre de Annabelle Mieux que le Premiers . On retrouve la pates James Wan et de The Conjuring . Bonne histoire d'horreur ,avec dès scènes à vous glacer le sang .
Face à l'échec artistique du premier Annabelle, le réalisateur John R. Leonetti (L'Effet papillon 2 et Mortal Kombat : Destruction finale) disparu totalement de l'univers de Conjuring, se faisant remplacer directement par le nouveau poulain de James Wan, David F. Sandberg. Alors qu'il venait de réaliser un court-métrage ensuite mué en film produit par le réalisateur malaisien expérimenté, ce nouveau metteur en scène inscrit son travail dans la continuité de ce que Wan avait pu faire, sa propre personnalité en plus.
Commençant sur un concept déjà mieux présenté que le premier film, il déroule son introduction à ses personnages, son intrigue et son décors en un petit quart-d'heure très réussi, où il citera presque la mise en scène de James Wan en reprenant sa manière de filmer la première entrée dans une maison possiblement hantée. Dès le départ porté sur la religion, il pose les bases de ce que sera son oeuvre : un film d'épouvante bien filmé à l'ambiance très chaude, porté par de jeunes actrices très talentueuses et portant sur une dizaine de religieuses qui se trouveront en confrontation avec des esprits démoniaques.
On comprend dès cette introduction que le niveau a considérablement augmenté; que ce soit en considération du moment choc de l'accident de voiture ou de l'arrivée des enfants dans la maison austère du couple Mullins, tout est travaillé de sorte à questionner le spectateur sur l'expérience qu'il s'apprête à vivre. Et tout comme pour les Conjuring, Annabelle 2 : La Création du mal avance crescendo dans l'horreur en présentant une photographie des plus soignées.
Etrangement joli pour un film d'épouvante populaire mis au point par un jeune réalisateur (bien plus que Shazam!, qui s'inscrit dans un univers de la Warner comptant également dans ses rangs James Wan), Annabelle 2 a la grande qualité de ne pas se contenter de recycler ce qui a fait le succès de la franchise pour fonctionner, ou de pousser dans leurs retranchements des idées neuves amenées depuis Les Dossiers Warren.
Loin de repomper jusqu'à la moelle une saga qui aura regagné en estime grâce à ce film, La Création du mal étoffe sa mythologie en décrivant, une certaine humanité, les origines dramatiques d'une poupée qui terrifie depuis des années. Il cherche à se point à crédibiliser l'univers de Wan qu'il va jusqu'à faire une passerelle avec le premier volet de cette trilogie de spin-offs, parvenant à accomplir l'exploit dingue de donner du sens et de l'intérêt au commencement du précédent Annabelle, qui répétons le ne valait rien.
Il développe ainsi une intrigue liée aux autres volets officiels/spin-offs, présentant même une photo avec La Nonne, lançant des petites références intéressantes par ci par là, et si l'idée d'un univers connecté et étendu reste alléchante, il faudrait pour sa réussite et sa pérennité produire des films qui serait exclusivement dans cette lignée, à la croisée entre le fidèle et l'original, entre l'influence de Wan et le talent de base de Sandberg, qui filme cependant aussi mal l'incrustation d'effets spéciaux au sein de scène horrifiques qu'Andy Muschietti avec Ca.
La Création du mal n'échappera pas aux mêmes critiques que son modèle : ayant opté pour du classicisme pur, il excelle dans ce qu'il fait mais ne vise jamais l'originalité des montées en tension ou de son intrigue globale, excellant principalement dans la manière bien propre à lui qu'il a de poser son atmosphère, de présenter l'arrivée de ses personnages dans une scène que l'on sait d'épouvante, d'amener et de d'étendre des séquences à jumpscares sans en placer aucun (c'est aussi réussi que pour Le Cas Enfield, sommet de tension de la saga), l'intérêt de la caméra de Sandberg résident au même emplacement que celle de Wan : dans ses mouvements perpétuels et fantomatiques, meilleur moyen de rassembler technique et effroi, sans avoir cependant besoin de devenir ultra-violent ou sensationnaliste pour effrayer/marquer les esprits de ses spectateurs.
Une vraie bonne surprise, peut-être un poil trop classique mais d'une efficacité réjouissante. Annabelle 2, ou comment passer d'une trilogie qui s'annonçait désastreuse à l'envie de voir encore plusieurs films sur ce même sujet, le personnage d'Annabelle, la vraie poupée apparaissant plusieurs fois dans l'intrigue sans pour autant l'avoir liée à l'esprit démoniaque que l'on connaît. Du bon travail pour un deuxième film, qui plus est.
Cette suite peine toujours à ne serait-ce qu'approcher le niveau des "conjuring". Il tente donc de compenser ses lacunes en multipliant les jumpscares. Cela permet de remplir le cahier des charges mais cela manque de finesse, d'inventivité et de sobriété. Le film aurait gagné en qualité en misant davantage sur cette ambiance brumeuse qu'il avait installée.
David F. Sandberg s’avère plus compétent que John R. Leonetti pour créer une ambiance et l’angoisse. Rien de révolutionnaire dans ce préquel (il s’agit toujours de faire claquer des portes et grincer le plancher), mais c’est un petit film de frousse efficace.
très bien filmé, cet épisode de la poupée maléfique est vraiment glaçant par moments! l'angoisse est parfaitement distillée puis la terreur s'installe et happe alors le spectateur. la fin est toutefois ordinaire et prévisible dans le genre mais l'ensemble est plutôt de qualité.
Une suite réussie qui surpasse très nettement l'original. À commencer par le scénario qui comble les trous béant du spin of original. Le tout en nous procurant beaucoup plus de frissons que "Annabelle" premier du nom. C'était pas bien difficile..... Bref, "Annabelle 2" remplit aisément sa mission de train fantôme et s'impose aisément comme le meilleur film de l'univers étendu "Conjuring" à ce jour. En attendant le 3......
Préquel du spin off des Conjuring (vous suivez :-)), ce deuxième volume des aventures de la poupée possédée dépasse largement le premier épisode en faisant parfaitement le lien avec le premier épisode. Le scénario se concentre sur l'origine de la poupée. Le démon est au milieu d'une pension de jeune fille dans une maison isolée. C'est intense, flippant et stressant. Tout ce qu'on aime pour se cacher en tremblant. On sent la patte James Wan (auteur d'Insidious ou Conjuring) producteur.
Argument publicitaire pour ce film : Jamais on n’était allé aussi loin dans la terreur. C'est vrai, ce film est terrifiant, mais de nullité. Je n’en reviens toujours pas ! Je n’en reviens pas de lire cette publicité, littéralement terrorisante, sur les autobus parisiens. La terreur devenue un argument publicitaire ! Comment est-ce possible ? Et en outre à l’heure où la lutte contre le terrorisme est présentée comme la priorité des priorités… à l’heure où on s’interroge sur le moyen de déradicaliser tous ces jeunes fascinés par la terreur… Certes c’est du cinéma, mais les mots sont les mots, et ils disent ce qu’ils veulent dire. Je serais le dir’com’ de Daech j’adopterais aussitôt un slogan aussi adéquat : « Jamais on n’était allé aussi loin dans la terreur ». On conçoit, écrit, imprime, affiche un tel slogan et personne ne bronche. La terreur fait vendre. Rien d’autre ne compte. Honteux et scandaleux.
Prequel du spin-off, rien que ça en dit long sur l’originalité du film mais au final dans un style old school rétro sans tomber le grand guignolesque habituel des récents films de terreur, Annabelle 2 s’en sort pas trop mal. On y retrouve la patte de James Wan qui donne un souffle épique dans la mise en scène.
je n'ai pas vu le1er volet donc je ne peut le comparer. j'ai été visionner ce 2 opus qui fût très bon. un bon jeu d'acteur tous parfait dans leur rôle avec la poupée " Annabelle" le retour excellente. on est bien pris dans l'histoire du début à la fin avec des bons sursauts. il faut rester jusqu'à la phase finale du générique ça vaut le coup. je suis super contente et ravi d'avoir vu ce film d'horreur avec une grande tranquilité tellement la salle étant silencieuse donc au moins tout le monde été bien concentré car cela fait des années que je ne vais pas voir ce style de film au ciné car une fois les adolescents étaient aux éclats, se fichaient complètement donc ça démotive de se déplacer. là au moins ce fût agréable donc un bon moment en salle obscure devant Annabelle.
Dérivé des films centré sur le couple Warren et prenant place autour de la franchise Conjuring, Annabelle 2 est un préquel sur les origines de la poupée maudite. Après un premier volet au combien décevant, ce second épisode se rapproche plus fortement du modèle original de Conjuring pour un rendu bien meilleur. Changement de réalisateur et James Wan à la production, et la poupée retrouve une histoire à même de donner quelques sueurs froides aux spectateurs. La construction du récit reste toutefois très classique et il manque un casting d'exception pour faire basculer le film dans le très bon. Les jeunes filles du film font ce qu'elles peuvent mais elles n'ont ni l’expérience, ni le charisme des acteurs jouant les Warren et, pour une histoire similaire, le rendu final n'est pas au même niveau.
Rien de novateur dans ce pré-quel d'Annabelle. Les nombreuses ficelles qui ont fait le succès des films d'épouvante sont réutilisées... avec une certaine maîtrise, il faut bien le dire. Le premier film était moyen, cette fausse suite est de meilleure facture. Sans être extraordinaire, cette saga continue à "effrayer" et divertir les spectateurs... et c'est déjà pas si mal.