Derniers Avis : Mother! - Page 8

Ce film est un vrai chef d'oeuvre. La femme construit. L'homme detruit. Tout cela dans une infinie sagesse. Infâme de realisme.

Franchement le début était pas mal avec une Anita f super chelou , mais petit à petit deviens incompréhensible il a fallu que je vienne sur AlloCiné pour comprendre ce qui était en train de se passer en en fait si c’est ça bon bif bof quoi ça aurait put être tourné autrement . Les longues poses sur Jennifer Lawrence sont limite crispantes plus que horrifiante et elle ne change pas son jeu du début à la fin même si peut être c’est voulu . Pas beaucoup de nuance dommage car l’ambiance est géniale

Exceptionnelle. Un film vraiment chelou qui marque à jamais. C'est un peu fouillis mais tellement dérangeant. Ce réalisateur est à suivre.vraiment je vous le conseille

A la trappe, Mother !

Film pour lequel je n’ai pas du tout accroché. L’ambiance morbide créée pour illustrer l’histoire ne passe pas et dans ces moments-là, qu’est-ce que le film semble long. La galerie de personnages en dehors des deux personnages principaux sont d’un ennui terrible. L’atmosphère au final du film est quelque peu consternant. Dommage pour Jennifer Lawrence et Javier Bardem qui sont des comédiens que j’apprécie. D’ailleurs leur propre performance n’est pas à blâmer. Mais dans ce long métrage, l’histoire ne captive pas un instant et il est donc rendu difficile de pouvoir séduire le public. Personnellement je passe mon tour devant cette production.

Un chef-d'œuvre... Le meilleur film que j'ai vu de puis longtemps ! Je ne vais pas m'attarder à expliquer le film car nombreux sont les critiques et articles qui le décortiquent et l'expliquent déjà très bien. Je dirais juste qu'il y a pour moi plusieurs lectures du film et qu'elles ont toutes un sens ( plus ou moins pertinent ) mais pour voir la puissance du message qui est délivré il faut le regarder différemment des films habituels.

Comment perdre deux heures de temps...
On devine le film dès la quinzième minute, en tout cas, la fin faisait partie de mes quelques théories du départ et n'a été que prouvée au fur et à mesure, donc très déçu de ne pas me faire surprendre.
Le scénario n'a que peu de sens, on comprend assez vite le dénouement futur et il y a beaucoup d'incohérences.
C'est d'ailleurs dommage que le titre spoil autant le film.

J'aime beaucoup Jennifer Lawrence, mais pour une fois je l'ai trouvé sans plus, en même temps, difficile d'être crédible avec une histoire pareille...

J'ai espéré jusqu'à la fin qu'il y ait un meilleur sens que mon intuition première, mais non. Mauvais film, à éviter sauf si vous avez du temps libre. Car il ne s'agit pas de faire du symbolique continuellement pour en faire une bonne oeuvre, il est préférable quand celle-ci est discrète et non ultra voyant, ça m'a gâché la surprise.

Ce film est très bien construit, les acteurs sont parfaits et les références bibliques sont parfaitement retranscrites dans un univers semblable au monde actuel !!! Il faut le voir

Pire que nul. Après visionnage j'ai l'impression d'avoir perdu quelque chose : du temps, de l'argent, du bien-être.

L'aspect symbolique dans ce film semble très travaillé, mais pour moi la puissance du cinéma, c'est d'imaginer des situations et des idées extraordinaires pour les projeter dans la vie normale. Et dans Mother!, l'aspect "vie normale" a été oublié. C'est sans queue ni tête.

" ils ont tous compris mais chacun le perçoit différemment, c'est remarquable. "
c'est ce qu'a prononcé le poète lorsqu'il s'est aperçu que sa création ( le poème) plaisait aux autres
Darren Aronofsky montre la beauté de sa création (le film) en faisant passer plusieurs messages et métaphores, d'où l'intérêt de creer une œuvre artistique.
Mother! est avant tout une œuvre d’art, c'est un objet qui doit servir de support à la pensée et a la reflexion... chacun est libre d'interpréter le film a sa manière, ce qui fait tout simplement la beauté de ce film.

ceux qui ne l'ont pas aimé sont justes des personnes beaucoup trop simple d'esprit qui ont l'habitude de regarder un film a sens unique

OUF...!!! Quel intensité... On ressort de ce film avec les marques des ongles sur les accoudoirs, rarement j'aurais été aussi immerger dans un film. La tension monte crescendo pour arriver a un niveau que peu de film on atteins, ceci grâce à une mise en scène qui tien du génie et des protagonistes au sommet Jennifer Lawrence y est parfaite et impressionnante de maîtrise. Tous le film ce vie de son point de vu et on ressent ce quel ressent, on est tantôt mal a l'aise, tantôt dans l'incompréhension, on passe du stress a l'horreur absolue, on a la haine, on est pousser dans les limites au même titre que l'héroïne.
Voilà déjà un film qui ce vie sur l’instant du visionnage sans même prêter attention a la seconde lecture qui est aussi génial.
La seconde lecture sans rentrer dans les spoilers peut être difficile a comprendre, mais comme je l'est dit plus haut elle n'est pas nécessaire pour apprécier le film a mon avis. Mais elle n'en est pas moins très maîtrisé, chacun peut s'amuser à avoir sa propre interprétation, le réalisateur reste fidèle a un thème qui lui est cher : spoiler: la religion

Ce film n'est pas pour tous le monde, c'est une expérience a vivre a vous de voir si vous voulez vous y risquer, on n'en ressort pas indemne et c'est pour ça que je vais au cinéma, c'est pour être étonner, et vivre des émotions comme celle là.
Un film unique, un pure moment de cinéma.

Un Huis clos vraiment chelou qui a son charme, j'ai adoré c'est captivant, dérangeant a la fois, on passe par tout genre d'émotions avec ce film

Attention, ceci est une critique remplie de superlatifs peut-être hyperbolisés, symptôme d'une séance de cinéma inoubliable qui eut lieu il y a trois ans déjà, en plein mois de septembre 2017. Alors que je n'étais pas cinéphile pour un sou, avec seulement une légère curiosité qui se mettait à grandir en moi, je me suis déplacé dans cette salle mythique qu'est le Max Linder pour voir Mother!. Une volonté qui n'était motivée ni par son réalisateur, dont je n'avais vu aucun film à l'époque, ni par son histoire à laquelle je ne m'étais pas tant intéressé. Tout ce qui me donnait envie était la présence à l'affiche de Jennifer Lawrence, jeune actrice qui m'a accompagnée durant toute ma petite adolescence avec ses rôles dans les franchises populaires que sont Hunger Games et X-Men.

Quelle ne fut pas ma surprise alors quand, après un petit peu plus de deux heures de film, je me retrouvais là, sur mon siège, submergé par la tension, subjugué par lce que je venais de voir, immobile, et les yeux grands ouverts.

Allégorie religieuse, Mother! embrasse les deux thèmes que l'on retrouvent le plus souvent chez Aronofsky, à savoir l'addiction et la religion, là où ses précédents se concentraient plus généralement sur l'un des deux (The Fountain pour la religion, et Requiem For a Dream et Black Swan pour l'addiction). Ce petit dernier sonne donc comme un cross-over ultime de son art. Et ce film justement, n'épargne personne, c'est d'une puissance incommensurable, c'est une expérience cinématographique immersive folle qui malmène son public autant que son personnage principal.
Ce personnage d'ailleurs, parlons-en. Une jeune femme folle amoureuse, aveuglée, et dévouée de tout son être à cet homme las, en perte d'inspiration. C'est aussi une jeune femme qui s'oublie et se noie presque dans ce trop plein d'amour, et c'est une dévotion marquée, peut-être un peu grossièrement, par la différence d'âge qui sépare le couple. Jennifer Lawrence y est délicate, gentille, un peu trop, elle est marquée par une certaine naïveté (en tout cas au début du film), tandis que Javier Bardem est massif, abîmé par la vie, harassé, et bien qu'il soit aimant envers sa femme, le couple nous apparaît très vite comme inégal. Et cette inégalité va s'accentuer de plus en plus puisque le réalisateur va "s'amuser" à cadrer la jeune femme en très gros plan. Ainsi nous sommes au plus près d'elle, et il ne la laisse jamais respirer, il l'étrangle de sa caméra alors que son mari et les autres personnages, eux, ont de la place, ils respirent.
Jennifer Lawrence y est autant magnifiée que bousculée, par des plans sublimes, l'isolant dans sa solitude évidente, dans cette grande maison qu'elle se donne tant de mal à embellir. "Elle a ramené la maison à la vie", cette maison c'est le but de la jeune femme, son projet, il lui appartient. Cette vie qu'elle a ramené à son habitation c'est elle, elle représente la vie par son âge, par sa jeunesse en comparaison à la décrépitude des autres, mais surtout pour la vie qui grandit dans son ventre.

Cette maison qui nous paraissait plutôt familière au début se transforme peu à peu en chaos labyrinthique, un réseau de pièce interminable dans lequel les personnages perturbants vont se suivre. Des personnages qui vont briser ce cocon familiale qu'elle essaie de construire tant bien que mal. Des personnages vieillis, à l'image de son mari (ce qui marque encore plus une frontière). Un Ed Harris maigre et exténué, puis une Michelle Pfeiffer aux allures de créatures lynchienne, élancée et hautaine, à côté d'une Jennifer Lawrence candide à la peau aussi lisse que de la porcelaine.
Puis vient le chaos, un chaos assourdissant, destructeur, criminel, un chaos dont on ne sort pas, dans lequel nous et le personnage sommes bloqués. Un final en crescendo qui laisse pantois, ébahi, sans voix face à la destruction de la vie, de celle qui la crée.

Darren Aronofsky signe un huis-clos sensationnel et travaillé, en y abordant différents thèmes au sein d'un couple qui représente le commencement et la fin, il parle du sentiment de création, de ce que ressent celui qui crée et de la prétention et le nombrilisme qui en découle.
Mother! est, je pense, une expérience à vivre. Elle est à l'origine de ma cinéphilie de part le sentiment qu'elle a crée en moi et le choc qu'elle continue de me procurer, ne serai-ce qu'à chaque scène qui me revient en tête. C'est pour ce sentiment que j'ai eu envie de découvrir de plus en plus de films, pour le retrouver. Et il n'y a aucun doute que depuis cette séance, très peu de films ont réussi à me procurer ce que Darren Aronofsky, ce que Jennifer Lawrence, et ce que Mother! m'ont procuré ce jour-là.

Personnelement j ai rien compris , mais le film est passionant on a envie de le finir les acteurs sont tres bien, le probleme c est que si on connait pas la bible la religion, on croit pas en dieu ect on peut pas comprendre le film moi je pensai plus a une forme de psychologie il la droguai ect je sais pas, enfin bref heureusement que j ai vue les explications pour comprendre l histoire sinon je serais restée avec un grand point d interrogation.

Mother ! est un film noir, glaçant à souhait. Bien que pas aussi bon que ce chef d'oeuvre qu'est Black Swann, l'atmosphère du film est tout de même entraînante, menée par un Javier Bardem très convaincant et une mise en scène plus que malaisante. spoiler: Combien de fois ai-je souhaité que tout ce monde allait laisser la pauvre femme et sa maison tranquille !
Ce film est tellement psychologiquement dur, tellement perturbant, que pour la première fois depuis longtemps, un film a réussi à me faire penser ; "mon dieu, je ne veux plus de cela, arrêtez, arrêtez maintenant", et c'est exactement ce qui me fait mettre quatre étoiles. Tout de même à déconseiller aux plus sensibles.

En lisant les commentaires, de façon générale, ceux qui ont compris le message (tout du moins ceux qui ont compris qu'il y avait des messages et analogies) ont aimé et ceux qui n'ont rien compris n'ont pas du tout aimé :D
il faut savoir creuser un minimum pour vraiment apprécié ce film. on peut pas tout comprendre non plus je pense, et c'est tant mieux car on en fait sa propre interprétation c'est ca qui est genial, il y a tellement de lectures différentes. film d'une intelligence trop rare, je l'apprécie encore plus.
Un plaisir aussi au 2eme visionnage, car on voit des choses qui.nous échappent la 1ere fois.
bref pour moi c'est un chef d'oeuvre.
Et ceux qui disent que le film n'a aucun sens, pardon mais jpense qu'il faut se contenter des fast and furious et autre expendables (pardon c'etait plus fort que moi)