Mon compte
    Mother!
    Note moyenne
    2,9
    6195 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Mother! ?

    838 critiques spectateurs

    5
    146 critiques
    4
    153 critiques
    3
    105 critiques
    2
    116 critiques
    1
    115 critiques
    0
    203 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    CritiqueFilm
    CritiqueFilm

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 février 2021
    A fuir !! Beaucoup trop d’hallucinations débordante, pour les personnes qui aiment les vrais films d’horreur ou angoissant ne le regardez surtout pas un ennui !
    Audrey L
    Audrey L

    647 abonnés 2 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2021
    Évidement, quand on parle de Darren Aronosky, on sait que l'on va voir un film avec un coup d’œil "singulier" (complètement perché) sur la perception du monde (Pi, Requiem for a Dream, The Fountain...) ou même sur les troubles psychologiques dus à la pression d'une passion (Black Swan, The Wrestler...). Mais si en général la fumette lui réussit, ici il a tiré d'un trait tout le joint au point de nous faire une overdose ignoble. Et ce bad trip sorti de nulle part n'est pas l'affaire de quelques minutes, on perd ses yeux devant la demi-heure finale, une succession de scènes ridicules (le mot est faible face à ce désolant spectacle) à la prétendue symbolique divine "Tout-Puissant est celui qui créé" (Allelujah !) qui est lourde et incohérente. Cela partait pourtant si bien, au départ, qu'on se demandait pour quels raisons Mother! avait été l'un des favoris des Razzie Awards (récompensant les pires œuvres), car l'on découvre une jolie maison en construction dont le "cœur" (au littéral) bat au rythme de celui de la jeune femme qui la bâtit, ce qui pourrait être l'illustration d'un binôme femme-maison fantaisiste et plus inventif que l'idée (dépassée) que l'on se fait de la "bonne ménagère qui fait vivre la maison". On se frotte donc les mains à l'avance devant ce beau postulat "interaction animé-inanimé", surtout que Jennifer Lawrence donne de sa personne pour "construire" un personnage solide, que le mari écrivain ne lui vole pas la vedette (pour une fois), et que l'arrivée de la famille perturbatrice est - au départ - une intrigue que l'on n'attendait pas. Mais, alors que l'on sentait le discours s'égarant dans des métaphores visuelles ultra-lourdes (la maison qui brûle vue du ciel et qui forme l’œil de la femme, puis qui forme le tourbillon de l'escalier... Impossible de rater les appels du pied visuels), on tombe brutalement dans le carnaval de l'absurde avec des théories poussives "création - divinité" qui semblent sortir de derrière un bosquet. En l'espace d'une seconde, d'une seule, on ne sait pas comment on en est arrivés là. Nous en étions au mari qui joue les vedettes face aux paparazzis tandis que Madame cherche un endroit où accoucher, puis l'on passe à spoiler: une invasion de timbrés qui démolissent la maison ("je veux en garder un bout", moui, moui, moui... Prends déjà tes gouttes), puis le GIGN débarque en un éclair, puis l'éditrice du mari dégomme à coup de pistolet des hommes encagoulés (non, on ne rigole pas... On aurait préféré), puis la pauvre épouse passe dans la pièce d'à côté où des camps de réfugiés ont poussé comme des champignons (nucléaires, vu la vitesse), puis le mari la rattrape pour la faire accoucher et lui voler son bébé, l'offrir à ses fanatiques qui le tuent et le dévorent (c'est à ce stade qu'on a hésité à zapper pour de bon), tabassent la mère qui parvient à s'enfuir à la cave et fait sauter la baraque façon Shining, mais survit assez longtemps pour que le mari - apparemment pas humain - lui arrache le cœur dans lequel on trouve une pierre précieuse dont rêverait la Reine Elizabeth, et " ah oui au fait, c'est une boucle temporelle, donc on reprend au début..."
    . Tout ça en un petit quart d'heure. Ça fait beaucoup, trop, vraiment trop. On atteint le générique de fin complètement ébaubis, ne sachant trop ce qu'on vient de voir, si c'était une blague (douteuse) ou si tout ce cirque était sérieux (oui, on avait compris la critique du monde actuel avec la guerre, les fanatiques, la célébrité, le manque d'attention à la famille... Mais l'approche de ces thèmes est tout simplement la plus ratée vue à ce jour, une véritable farce). Les seuls bons points sont ceux qui vont au démarrage agréable et à l'interprétation honnête de Jennifer Lawrence, qui parvient à ne pas (trop) faire sentir que le réalisateur la filme en gros plan de face environ 99% du film... Mais toute la dernière demi-heure se vautre dans un délire illisible et grotesque qui nous laisse la bouche grande ouverte. Le film nous le montre plusieurs fois : la moquette est un élément-clé de la maison, encore faut-il ne pas la fumer comme Aronosky le fait.
    Preko
    Preko

    2 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 janvier 2021
    Comme toute une génération j'ai été bouleversé par Requiem For a Dream. Et, plus tard, Black Swan a été à mes yeux une des plus puissantes explorations de ce qu'est la folie. C'est dire si j'ai été choqué par l'incroyable débilité de ce film. Je ne parle pas de la narration ou de la dramaturgie, et rien ne semble nébuleux une fois qu'on a compris la métaphore. Mais justement. Ce système de métaphore d'abord écrase les péripéties (ainsi la deuxième "invasion" n'est qu'une rédite de la première). Ensuite...il n'y a pas une multitude d'interprétation possible. Le réalisateur délivre son message sans la moindre subtilité, voilà nous avons la Bible à la sauce américaine : "La nature fait ce qu'elle peut, mieux vaudrait croire en elle et la respecter mais bon puisque nous sommes vivant et qu'il faut bien aller quelque part mieux vaut nous concentrer sur Dieu qui nous aimes car on a pas le choix". Grotesque. Univoque. Aucune place pour la réflexion, juste une vision infantile et manichéenne de la genèse imbibée du nihilisme postmoderne.
    Chloé
    Chloé

    6 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 décembre 2020
    Le film est présenté comme un film d’horreur mais il ne l’est pas vraiment. En réalité, c’est une critique très pointue du monde et de la religion. Il est vrai que spoiler: le festin anthropophage du corps du Christ
    est assez brutal, mais de là à parler d’horreur, non. Si vous vous apprêtez à voir le film, je vous conseille de porter une grande attention au vocabulaire employé: des humains qui se partagent des « fruits », une femme qui cherche à construire « a paradise », mais aussi à l'ordre d'entrée des personnages pour saisir l’histoire.
    Comme dit plus haut, je trouve la critique apportée par le film très bien. Malheureusement, j’ai eu beaucoup de peine à l’apprécier dans son ensemble. La technique est intéressante puisqu’elle tente l’identification au personnage de la mère à travers le gros plan, le jeu d’acteur est juste, mais je crois que ce film est trop bizarre pour moi, d’où la mauvaise note.
    Sophie Cha
    Sophie Cha

    8 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 décembre 2020
    film génial, beau et mystérieux, on peut s'imaginer pleins de possibilités et de signification... wahou les acteurs sont géniaux...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 6 décembre 2020
    Incroyable que de tels acteurs aient joué là dedans , vraiment le film part dans tous les sens et n'a ni intérêt ni sens
    Stone cold steve austin
    Stone cold steve austin

    16 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2020
    mother ! est le film qui me fascine le plus. Je me souviens encore qu’après l’avoir visionné, je suis resté longtemps à me poser des questions, à me dire que j’avais vu une œuvre différente et totalement hors norme. Le long-métrage de Darren Aronofsky a néanmoins beaucoup divisé la critique comme les spectateurs. Il sort en 2017 et se fait soit incendier, soit encenser. Le réalisateur a en effet une filmographie qui bien souvent interroge et oppose les avis. Une femme jouée par Jennifer Lawrence vit avec son mari interprété par Javier Bardem. Le couple est en parfaite harmonie, la femme restaure la maison vieillissante dans laquelle ils ont récemment emménagée, tandis que l’homme, écrivain, manque d’inspiration. L’arrivée surprise d’un couple étrange dans la maison va bouleverser la stabilité de la femme mais donner à nouveau de la joie à l’homme qui les accueille à bras ouverts… Un synopsis aussi mystérieux que l’œuvre qui est un récit à interprétation. La grille de lecture est difficilement accessible, en revanche, il faut y chercher une allégorie. En effet, on peut voir plusieurs métaphores, mais la plus évidente sans être à la portée de tous concerne le thème religieux. C’est un film qui se savoure jusque dans ses moindres détails puisque qu’il a été conçu pour cela. Un récit symbolique qui démarre par cette scène, pleines de mystères, dans laquelle les flammes destructrices prennent un sens bien particulier. Une imagerie qui est constamment tournée vers deux tendances : la création et la destruction ; deux thèmes qui parcourent le long-métrage. La femme, c’est la douceur de Jennifer Lawrence, la bienveillance, la création. L’homme est la destruction, celui qui vient déséquilibrer le cycle. Avec ces notions clés, on peut se rapprocher de ce que signifie le film. Cependant, il serait réducteur de l’attacher à ça. mother ! (sans « M » majuscule), c’est une folie technique. Darren Aronofsky pense et compose chacun de ses plans avec minutie, ce qui rend son récit irréprochable. Dans cette petite maison miteuse, le réalisateur parvient à créer des cadres exceptionnels qui restent en tête, des situations faramineuses captées par des mouvements de caméra savamment orchestrés. Tout pèse sur l’atmosphère générale, le malaise ambiant se fait ressentir d’une manière assez déconcertante, surtout avec le couple d’étrangers composé des excellents Ed Harris et Michelle Pfeiffer. La performance des acteurs est excellente, il y a beaucoup de réflexion du réalisateur sur la façon de les diriger. Il est plaisant de voir un rôle concret et différent pour Jennifer Lawrence, c’est une révélation. Javier Bardem n’est pas à oublier, ainsi que les personnages secondaires qui participent à l’élaboration de l’ambiance mystérieuse qui parcoure l’œuvre. De plus, le long-métrage joue beaucoup avec le spectateur, car tout est lent et méticuleux, ce qui participe à créer un vrai suspens. Il s’agit en effet d’un huis-clos qui concentre tous les vices humains. Le réalisateur dresse un portrait péjoratif de la nature humaine, il montre la face sombre de chacun d’entre nous. Même la femme pourtant si douce dans le long-métrage finit par déchainer sa haine. C’est une habitude dans le cinéma de Darren Aronofsky, avec Black Swan et Requiem for a Dream par exemple mais mother ! est une véritable galerie de personnages, tous plus instables les uns que les autres. On peine à discerner où nous emmène ce scénario qui de fils en aiguilles nous rapproche d’un final dantesque. En effet, une bascule se dessine très nettement à une heure et quart de film, synonyme d’une fin forte et marquante. La lumière tamisée, jaune et sale remplace peu à peu les illuminations du Soleil quand la nuit vient. Gros travail aussi sur le décor qui semble littéralement pourrir à mesure du temps. Le rythme progresse très rapidement, le calvaire que traverse Jennifer Lawrence est un crescendo de folie. Cette montée est exceptionnelle : plans séquences de toutes parts, un éclairage qui devient effrayant et voyeuriste, et l’homme Javier Bardem qui n’est plus ce qu’il était. Le contact humain l’a changé. La dernière demi-heure du long-métrage parvient à combiner folie, tendresse et brutalité dans un tour de force mémorable. Original, maitrisé et puissant, mother ! ne laisse pas indemne et ce point d’exclamation final vient conclure une boucle complètement dingue. Une proposition unique signée Darren Aronofsky, un auteur hors du commun, à la recherche constante de la perfection cinématographique.
    Sebastien D
    Sebastien D

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 novembre 2020
    Mother! démarre comme un mauvais film d'épouvante, enchainant les longueurs mais restant regardable grâce au talent des deux acteurs principaux, avant d'enchainer sur une suite ininterrompue de violence gratuite et d'horreur sans aucun sens. On finit le visionnage de ce film avec un sentiment d'avoir perdu deux heures de sa vie et d'avoir été harcelé par une violence qui n'avait pas lieu d'être. Certains disent qu'après plusieurs visionnages, les scènes prennent leur sens, mais la réalité est que ce film est destiné à des personnes dont le but n'est pas d'apprécier une oeuvre cinématographique mais de stimuler une branlette intellectuelle pitoyable. Je vous conseille donc purement de fuir ce film qui n'a rien à apporter ni au spectateur, ni au cinéma.
    Matthieu B
    Matthieu B

    7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 novembre 2020
    Le jeu des acteurs est incroyable, de même que les émotions que j'ai ressenties !
    Certaines scènes m'ont marquées pour longtemps, de plus la symbolique du film est intéressante même si certains détails peuvent nous échapper.
    Morgan Blaise
    Morgan Blaise

    3 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2020
    Le film réussi parfaitement à nous mettre mal à l'aise.
    Le sentiment de compassion avec le personnage est vraiment très bien construit.
    Certains n'aimeront pas ce film car il n'y a pas d'explication offerte au spectateur mais je trouve que c'est ça force.
    Spoiler : j'aime particulièrement deux interprétations -- mother c'est qu'une source d'inspiration permettant de créer (durant l'acte sexuel) une œuvre artistique. Une fois l'œuvre sortie elle se fait délaissée, l'œuvre déchirée et la source d'inspiration piétinée et abandonnée. Pour recommencer l'œuvre de création, il faut alors la remplacer.
    Ou alors la version religieuse avec Adam,Ève,Abel et Caïn puis l'enfant Jesus idolâtré mais tué.
    Romain D
    Romain D

    19 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 octobre 2020
    J'ai vu ce film avec ma femme enceinte... mais quel enfer! Pourtant nous aimons beaucoup les films d'horreur. Mais là... on ne comprends rien au film, dont l'intrigue n'a ni queue ni tête. Ce film est d'une violence inouïe pour rien. On ne ressent que du dégoût et de la gêne en pensant que la fin nous éclairera. Mais non. Jennifer Laurence que j'aime beaucoup est énervante. Quand va-t-elle peter un câble ? Les réactions des gens ne sont pas crédibles. Pas de bande originale non plus...
    Comment Ed Harris, Jennifer Lawrence et Javier Bardem ont pu accepter de jouer dans cette bouse?
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 24 octobre 2020
    bon, j'avertis, ce film ma pas emballé, qualifié de ''thriller psychologique'' sur le papier je m'attendais à devoir faire preuve d'une intense réflexion pour suivre cette intrigue, alors au début, Peut-être, on se demande c'est qui ces clowns nuisant qui débarquent foutre le bordel, mais passé cet effet on grille le plot assez vite vu l'épaisseur des ficelles, et la, game over, tout le monde connaît l'histoire, zéro suspens, et je suis même pas croyant hein ! Mais la on parle quand même de l'histoire la plus connue AU MONDE ET DE TOUT LES TEMPS, alors ouais, l'idée est pas mal, c'est bien réalisé, les acteurs n'en font pas trop, c'est joli, c'est chiadé, tout ça tout ça, mais DIANTRE je me suis ennuyé du début à la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 17 octobre 2020
    c'est pas du tout un style populaire et le film veut se donner une sorte de sagesse.
    il y a un crescendo sur le partage qui est assez fou mais c'est surtout l'ambiance morbide et assez festive qui fait que tout semble être illusion.

    ça manque surement de travail pour au moins donner du relief a ce qui pouvais etre un bon film meme s'il n'y a qu'un role de femme pour une actrice
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 708 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 octobre 2020
    Je ne suis pas du genre à dénigrer le réalisateur Darren Aronofsky. J'ai aimé Requiem for a Dream et adoré Black Swan, mais Mother! est tout simplement ennuyeux. Tout est juste rempli d'allégories bibliques réparties épaisses dans tout ce qui tente de se tordre entre différents types de genres d'horreur mais qui m'a laissé indifférent. Certes les paramètres, la direction claustrophobe et le jeu d'acteur sont de premier ordre mais cela ne devrait pas masquer ce qui autrement est un film médiocre et sans intérêt. Cela dérange et ennuie beaucoup trop pour s'en soucier et à mesure que la fin traînait j'étais de plus en plus frustré car il refusait de fermer boutique. Les allégories religieuses abondent mais en réalité c'est juste un non-sens prétentieux. Et il n'y a aucune de raison d'entrer dans tous cela. Je détestais ce film simplement et cela en dépit d'être un grand admirateur des films d'horreur décalés et psychologiques. Mais ce n'est pas dans la même ligue que par exemple Raw ou Get Out ce qui est dommage...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 octobre 2020
    Tout au long du film on a un sentiment de révolte qui vient naturellement car on ne comprend pas les scènes qui sont exacerbées à l'extrême.
    En passant au delà de ces scènes fortes et poignantes, le film nous livre beaucoup de métaphores sur la créativité, le couple, l'amour, le besoin de reconnaissance, l'impact des autres sur nous.
    C'est un film qui je trouve est très intelligent et donne matière à réfléchir.
    Comme il est dit dans le film "chacun a sa manière de comprendre l'œuvre" et en lisant les commentaires c'est le sentiment que j'ai pour cette œuvre ci.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top