Derniers Avis : Mother! - Page 6

Film que vous ne pouvez ,peut être, pas comprendre dès le premier visionnage , si vous n'avez pas les références de suite .
Au premier abord ,on se dit que c'est éventuellement un flashback qui va nous permettre de comprendre ce qu'il s'est passé mais NON.....(enfin oui mais non 😁)
J'ai cru à un moment donné que ça allait basculer dans un film d'horreur ......puis au final peut être juste un film d'angoisse .....on se met à la place de Jennifer Lawrence et on essaye de comprendre ce qu'il se passe....2h...je vous avoue qu'on a presque l'impatience de savoir ce qu'il va se passer ....le mari est il un psychopathe ? Est ce un homme à la tête d'une secte ?😅 La maison est elle "habité"? La femme est elle retenue prisonnière ?......il va falloir aller piocher dans vos références religieuses . Mais c'est à la porter de tous , pas de panique .
Le jeu d'acteur est bien ....je vous le recommande ...pour les fans de cinéma ☀️

Un film auquel nous pouvons lui trouver de nombreux sens lorsque nous le regardons innocemment sans avoir d'indice sur les formes de celui-ci , pour ma part je suis resté un long moment sur l'idée de '' l'artiste '' et de sa '' muse '' auquel la notoriété leurs font traverser vents et marées .
Cependant sur les trois derniers quarts d'heures les horizons s'ouvrent sur quelques perspectives mais tout de même pas assez pour déchiffrer le but du film.
Un film personnellement comme je les aimes auquel il faut y retourner à deux fois et qui nous demande de creuser pour discerner les nuances , donc pas forcement facile à regarder pour les plus terre à terre du cinéma c'est sur ..
Pourtant les plus ardus du cinéma énigmatique et décalé s'y retrouveront parfaitement .

Perte de temps, on ne sait pas où mène réellement ce film.. Complètement délirant..
A ce demander ce qu'il ce passe dans la tête des scénariste defois, ils vont un peu loin defois.

Si je fais abstraction du côté religieux que je n'aime pas et que je considère ce film comme une représentation de l'histoire de la terre vue par la science, je peux apprécier ce film.
Je reprendrais une phrase vue dans une autre critique qui décrit tellement bien comment je perçois l'histoire de la Terre : "La première partie est pas trop mal mais à la fin ça part dans le grand n'importe quoi."

La prestation de Jennifer Lawrence est juste éblouissante ! Mother est sujet à beaucoup de questionnement...c'est un film où il faut se laisser embarquer et suivre les émotions comme elles viennent... J'ai bien aimé sa singularité !

bon film... une sorte de home invasion horrifique et métaphorique sur le cycle de la vie etc... l histoire est très spéciale mais vaut clairement le détour... Jennifer Lawrence est magnifique dans ce rôle de mère qui ne contrôle plus rien à la situation et qui se fait également vampiriser son amour... les 30 dernières minutes sont vraiment folles... un énorme bordel qui rappelle le monde dans lequel on vit... par contre le film n est pas simple à comprendre... il faut glaner quelques explications par-ci par-là pour comprendre le message du réalisateur... une fois les allégories intégrées le film prend tout son sens...

Je suis vraiment partagé avec Mother! car à la sortie de mon visionnage, j'étais particulièrement déçu. Certes les acteurs sont bons, Jennifer Lawrence est fascinante et Javier Bardem est également excellent, les scènes de malaise sont parfaitement réussies, toutes les scènes où Jennifer Lawrence est incapable de faire sortir des inconnus de chez elle et qu'ils mettent un bordel pas possible, c'est un malaise puissant. Mais il m'était difficile de comprendre le message de Darren Aronofsky. Et au vu des notes, j'ai l'impression de ne pas être le seul. Connaissant Aronofsky, il y avait forcément une explication derrière ce mélange incompréhensible. J'ai donc lu des explications qui révèlent tout le travail d'écriture autour du film. Il y a déjà des explications, je ne vais donc pas les refaire ici. Quand on a tout en tête et qu'on comprend le message, le film devient immédiatement bien meilleur. Mais je ne peux mettre plus de 4 car c'est trop tiré par les cheveux et pour comprendre seul l'explication derrière, il faut vraiment se pencher sur la question.

Le film le plus nul que j'ai vu. Zéro pointé. Tellement déçu. Je ne sais pas quoi dire a part que j'ai perdu 2 h de mon temps pour regarder cette daube.

Ce film est un pur chef d'oeuvre les acteurs joue d'une justesse.....quand on regarde ce film on n'a pas peur pour elle, aucune compassion, parce que on est dans le film on pense juste a sauver sa peau

A fuir !! Beaucoup trop d’hallucinations débordante, pour les personnes qui aiment les vrais films d’horreur ou angoissant ne le regardez surtout pas un ennui !

Évidement, quand on parle de Darren Aronosky, on sait que l'on va voir un film avec un coup d’œil "singulier" (complètement perché) sur la perception du monde (Pi, Requiem for a Dream, The Fountain...) ou même sur les troubles psychologiques dus à la pression d'une passion (Black Swan, The Wrestler...). Mais si en général la fumette lui réussit, ici il a tiré d'un trait tout le joint au point de nous faire une overdose ignoble. Et ce bad trip sorti de nulle part n'est pas l'affaire de quelques minutes, on perd ses yeux devant la demi-heure finale, une succession de scènes ridicules (le mot est faible face à ce désolant spectacle) à la prétendue symbolique divine "Tout-Puissant est celui qui créé" (Allelujah !) qui est lourde et incohérente. Cela partait pourtant si bien, au départ, qu'on se demandait pour quels raisons Mother! avait été l'un des favoris des Razzie Awards (récompensant les pires œuvres), car l'on découvre une jolie maison en construction dont le "cœur" (au littéral) bat au rythme de celui de la jeune femme qui la bâtit, ce qui pourrait être l'illustration d'un binôme femme-maison fantaisiste et plus inventif que l'idée (dépassée) que l'on se fait de la "bonne ménagère qui fait vivre la maison". On se frotte donc les mains à l'avance devant ce beau postulat "interaction animé-inanimé", surtout que Jennifer Lawrence donne de sa personne pour "construire" un personnage solide, que le mari écrivain ne lui vole pas la vedette (pour une fois), et que l'arrivée de la famille perturbatrice est - au départ - une intrigue que l'on n'attendait pas. Mais, alors que l'on sentait le discours s'égarant dans des métaphores visuelles ultra-lourdes (la maison qui brûle vue du ciel et qui forme l’œil de la femme, puis qui forme le tourbillon de l'escalier... Impossible de rater les appels du pied visuels), on tombe brutalement dans le carnaval de l'absurde avec des théories poussives "création - divinité" qui semblent sortir de derrière un bosquet. En l'espace d'une seconde, d'une seule, on ne sait pas comment on en est arrivés là. Nous en étions au mari qui joue les vedettes face aux paparazzis tandis que Madame cherche un endroit où accoucher, puis l'on passe à spoiler: une invasion de timbrés qui démolissent la maison ("je veux en garder un bout", moui, moui, moui... Prends déjà tes gouttes), puis le GIGN débarque en un éclair, puis l'éditrice du mari dégomme à coup de pistolet des hommes encagoulés (non, on ne rigole pas... On aurait préféré), puis la pauvre épouse passe dans la pièce d'à côté où des camps de réfugiés ont poussé comme des champignons (nucléaires, vu la vitesse), puis le mari la rattrape pour la faire accoucher et lui voler son bébé, l'offrir à ses fanatiques qui le tuent et le dévorent (c'est à ce stade qu'on a hésité à zapper pour de bon), tabassent la mère qui parvient à s'enfuir à la cave et fait sauter la baraque façon Shining, mais survit assez longtemps pour que le mari - apparemment pas humain - lui arrache le cœur dans lequel on trouve une pierre précieuse dont rêverait la Reine Elizabeth, et " ah oui au fait, c'est une boucle temporelle, donc on reprend au début..."
. Tout ça en un petit quart d'heure. Ça fait beaucoup, trop, vraiment trop. On atteint le générique de fin complètement ébaubis, ne sachant trop ce qu'on vient de voir, si c'était une blague (douteuse) ou si tout ce cirque était sérieux (oui, on avait compris la critique du monde actuel avec la guerre, les fanatiques, la célébrité, le manque d'attention à la famille... Mais l'approche de ces thèmes est tout simplement la plus ratée vue à ce jour, une véritable farce). Les seuls bons points sont ceux qui vont au démarrage agréable et à l'interprétation honnête de Jennifer Lawrence, qui parvient à ne pas (trop) faire sentir que le réalisateur la filme en gros plan de face environ 99% du film... Mais toute la dernière demi-heure se vautre dans un délire illisible et grotesque qui nous laisse la bouche grande ouverte. Le film nous le montre plusieurs fois : la moquette est un élément-clé de la maison, encore faut-il ne pas la fumer comme Aronosky le fait.

Comme toute une génération j'ai été bouleversé par Requiem For a Dream. Et, plus tard, Black Swan a été à mes yeux une des plus puissantes explorations de ce qu'est la folie. C'est dire si j'ai été choqué par l'incroyable débilité de ce film. Je ne parle pas de la narration ou de la dramaturgie, et rien ne semble nébuleux une fois qu'on a compris la métaphore. Mais justement. Ce système de métaphore d'abord écrase les péripéties (ainsi la deuxième "invasion" n'est qu'une rédite de la première). Ensuite...il n'y a pas une multitude d'interprétation possible. Le réalisateur délivre son message sans la moindre subtilité, voilà nous avons la Bible à la sauce américaine : "La nature fait ce qu'elle peut, mieux vaudrait croire en elle et la respecter mais bon puisque nous sommes vivant et qu'il faut bien aller quelque part mieux vaut nous concentrer sur Dieu qui nous aimes car on a pas le choix". Grotesque. Univoque. Aucune place pour la réflexion, juste une vision infantile et manichéenne de la genèse imbibée du nihilisme postmoderne.

Le film est présenté comme un film d’horreur mais il ne l’est pas vraiment. En réalité, c’est une critique très pointue du monde et de la religion. Il est vrai que spoiler: le festin anthropophage du corps du Christ
est assez brutal, mais de là à parler d’horreur, non. Si vous vous apprêtez à voir le film, je vous conseille de porter une grande attention au vocabulaire employé: des humains qui se partagent des « fruits », une femme qui cherche à construire « a paradise », mais aussi à l'ordre d'entrée des personnages pour saisir l’histoire.
Comme dit plus haut, je trouve la critique apportée par le film très bien. Malheureusement, j’ai eu beaucoup de peine à l’apprécier dans son ensemble. La technique est intéressante puisqu’elle tente l’identification au personnage de la mère à travers le gros plan, le jeu d’acteur est juste, mais je crois que ce film est trop bizarre pour moi, d’où la mauvaise note.

film génial, beau et mystérieux, on peut s'imaginer pleins de possibilités et de signification... wahou les acteurs sont géniaux...

Incroyable que de tels acteurs aient joué là dedans , vraiment le film part dans tous les sens et n'a ni intérêt ni sens