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    Mother!
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    833 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 septembre 2017
    ce film est tout simplement pour moi un chef d'oeuvre , on ressort du cinema avec la tête rempli d'images et d'émotions , un besoins d'analyser le film , c'est comme un grand puzzle et quand on a fini de le construire on se rend compte que c'était finalement bien plus évident que ce que l'on penser. et jennifer lawrence qu'elle magnifique actrice ! sublime , talentueuse , la meilleure!
    Yves G.
    Yves G.

    1 350 abonnés 3 353 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 septembre 2017
    Jennifer Lawrence habite une belle maison à la campagne qu'elle a amoureusement rénovée. Son compagnon, interprété par Javier Bardem, est un écrivain célèbre en panne d'inspiration.

    "Mother!" commence par deux images dont on comprendra à la fin du film qu'elles en sont la clé d'explication. Mais "Mother!" n'est pas - hélas - construit autour d'un suspense qui se dénouerait par un twist final.

    Plus classiquement, "Mother!" est l'histoire d'une femme qui sombre dans la folie. Encore y a-t-il un doute sur cette présentation. Car, comme souvent dans les films qui ont le désordre mental comme thème, on se demande un instant si c'est Jennifer Lawrence qui devient folle ou si c'est son univers qui s'écroule.

    Pendant la première moitié du film, l'ambiguïté demeure. C'est l'occasion pour les vétérans Ed Harris et Michelle Pfeiffer de deux apparitions impérissables. Mais la seconde moitié se perd dans une accumulation d'effets de plus en plus risibles. Jusqu'à un dénouement grand guignolesque qui plonge l'auditoire dans un silence gêné, hésitant entre le spasme d'horreur et l'éclat de rire.

    C'est un gâchis terrible. Car le film du génial Darren Aronofsky (l'auteur de "Pi" et de "Requiem for a Dream") présentait deux atouts de poids. Jennifer Lawrence, qui reste parfaite de bout en bout, d'une remarquable dignité dans le naufrage du film. Et une caméra et un son (il faut absolument voir "Mother!" en Dolby stereo) virtuoses qui la suivent dans chaque pièce de cette maison labyrinthique qui se transforme au gré de ses humeurs.
    Xavier R.
    Xavier R.

    5 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 septembre 2017
    Moi j'ai adoré. J'avoue que j'ai beaucoup de mal à comprendre les critiques de je lis sur le site. Sous le pretexte d'une histoire de couple, c'est avant tout un film politique, la guerre, la religion, l’extrémisme. Pour moi ça saute aux yeux. Il y a énormément de références aux comportements humains et sociaux et à la manière dont les citoyens pervertissent les symboles du sacré pour justifier des comportements ignobles.
    A mon avis, beaucoup de personnes qui écrivent ici sur un sujet "incompréhensible" ou une référence à la Nature, n'ont pas trop cherchés à comprendre le véritable sujet. Peut-être parce qu'ils n'en ont pas envie car le filme s'adresse justement au téléspectateur et à son comportement individuel. N'oublions pas que c'est le réalisateur de Requiem for a (american) dream qui est déjà une critique politique du mode de vie occidental dans sa folie.

    Le film est dans le même registre et la progression est de toute beauté. On est transporté malgré soi dans une réflexion sur la société relativement éloquente et qui correspond bien à ce qui se passe dans le monde. C'est un combat entre l'individualisme et la pression des masses. Cependant il faut se laisser guider par la trame et prendre l'histoire avec simplicité, on apprécie alors beaucoup se film et sa mise en scène excellente.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    83 abonnés 1 750 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 septembre 2017
    À travers ce long-métrage à l'atmosphère angoissante et étouffante, Darren Aronofsky déroule un exercice de style plutôt convaincant, parfois un peu vain, mais qui mérite en tout cas le détour. Dans une énorme maison de campagne isolée, un écrivain en manque d'inspiration et sa jeune compagne vont devoir faire face à tout un tas de visiteurs bizarres et de phénomènes étranges, dont l'intensité ne va aller qu'en s'amplifiant. Ce huis-clos qui revisite la thématique de la demeure organique, et qui offre peu de réponses mais pose beaucoup de questions, aborde les thèmes de la création sous tous ses aspects (artistique, divine, maternelle) et nous embarque surtout dans un univers paranoïde aux effets spéciaux impressionnants.
    Eric W
    Eric W

    11 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 septembre 2017
    Elle, est l'Inspiration qui construit un monde protecteur (la maison) pour Lui, l'artiste créateur. Le cristal pourrait être les souvenirs du créateurs qu'il garde dans son jardin secret de chambre. Je n'accroche pas trop a l'interpretation biblique, sans doute a cause de mon atheisme, désolé! Au début du film, Lui cherche l'Inspiration, sa femme, qui lui construit un environnement harmonieux et sécurisant, mais elle "emprisonne" jalousement son artiste qui, lui trouvera le déclic après la catastrophe de la destruction du cristal (son ancienne vie): du coup cette crise génère le rédaction de son oeuvre et ainsi l'enfantement d'Elle : c'est l'inspiration qui crée son oeuvre, son enfant! D'ailleurs Il termine son oeuvre d'art alors qu'Elle est prête a accoucher Le monde apprend la naissance de son oeuvre-enfant et vient le flatter et envahir l'univers-maison d'Elle! Une fois la naissance faite, le public attend de contempler son oeuvre-enfant et le consommer, Comme le dit Tarkovski à propos du cinéma, une fois le film créé, présenté et donné au public, l'artiste est dépossédé de son oeuvre et le film aura une vie independante car apprécié et interpreté selon chaque spectateur. L'artiste ne controle plus son oeuvre!
    Une fois son oeuvre-enfant "consommée", l'Inspiration, désormais inutile, préfère, comme une femme désespérée, se détruire et disparaitre elle-même par le feu: Il ne restera plus d'Elle que des cendres de souvenirs...
    Et une fois le cristal des souvenirs ou de sa vie passée récupéré, une autre Inspration et une nouvelle oeuvre d'art l'attend et le cycle créatif recommence.
    Les invités surprise qui s'invitent dans la vie de l'artiste me semblent être des éléments croissants et chaotiques de la vraie vie exterieure qui envahissent la paisible structure mentale (la maison) de Lui. La création artistique ne peut démarrer qu'après assimilation et observation du chaos de la vraie vie !
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    58 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2017
    Sous la direction de Darren Aronofsky (Pi, Requiem for a dream, Black Swan), Mother est un thriller progressivement horrifique dans lequel un couple vit sa tranquillité quotidienne perturbée par l’arrivée fortuite d’un hommage âgé en quête d’un abri, interprété par Ed Harris (Apollo 13, The Truman show, Appaloosa, Snowpiercer), suivi de plusieurs autres dans des situations de plus en plus préoccupantes. Le casting maintient une certaine qualité entre le couple joué par Jennifer Lawrence (la prélogie X-Men, Joy, Passengers) et Javier Bardem (Skyfall, The last face, Pirates des Caraïbes la vengeance de Salazar), sans oublier Michelle Pfeiffer (Scarface, Les liaisons dangereuses, Batman Returns, Dark Shadows) qui rejoint son mari sans aucune gêne chez le couple. Le film cherche en effet à mettre mal à l’aise par rapport à l’incrustation de personnages de plus en plus nombreux, à commencer par l’homme, fan absolu de l’œuvre de Javier, qui trouve enfin quelqu’un qui le comprend via une amitié presque indécente (volonté de lui faire passer la nuit chez eux alors qu’ils ne le connaissent pas, exigence du respect de sa pudeur, promenade rien qu’eux deux) tout en délaissant Jennifer, qui avait rénové toute la maison pour lui. La femme de l’homme se montre tout aussi incursive et se permet même une réflexion à Jennifer concernant ses sous-vêtements, on se demande même si elle n’essaie pas de la séduire comme l’homme semble faire des effets dérangeants à Javier. L’asymétrie générale est d'ailleurs renforcée par les différences d’âge qu’il y a entre Javier et Jennifer (qui pourrait bien être sa fille), ainsi qu’entre les deux hommes et les deux femmes, dont on peut dire la même chose.

    La force du film est avant tout de proposer plusieurs niveaux de lecture, d’abord personnels puis en comprenant ce qu’a voulu transmettre Aronofsky. On peut d’abord y voir une certaine critique de l’égocentrisme à travers le personnage de Javier, qui n’en voit que par ses écrits et les groupies qui tombent alors à ses pieds spoiler: en envahissant la maison, sans aucun respect pour Jennifer et le matériel qu’ils saccagent
    . Les dangers de la passion extrême sont intelligemment pointés du doigt avec des conséquences néfastes pour le couple, les fans de Javier l’accaparant totalement et Jennifer étant laissée de côté après avoir tant fait pour lui. Aronofsky va en fait beaucoup plus loin dans la symbolique religieuse, en plaçant Javier comme spoiler: le dieu d’un monde parfait qu’il ne parvient pas à se créer
    . L’homme et la femme représentent spoiler: Adam et Eve (d’où leur première incursion et leur fils qui tue son frère, tels Caïn et Abel)
    et le culte de l’œuvre prend des proportions encore plus démesurées avec spoiler: l’accouchement du bébé de Jennifer (après une relation sexuelle dont le début ressemble d’ailleurs à un viol, symbole du simple pas qu’il peut y avoir entre abus et consentement, avec le thème du péché via l’interdit du désir charnel).


    Javier devient un véritable spoiler: pervers sadique quand il surveille étroitement Jennifer du regard alors qu’elle refuse qu’il montre leur bébé à la foule, et le sacrifice de l’enfant (référence à Jésus)
    symbolise le paroxysme de la folie sectaire, dans une esthétique très sanglante dévoilant une Jennifer Lawrence assez effrayante alors qu’elle est spoiler: recouverte de sang et qu’elle provoque un déchirement du sol en criant (non sans rappeler la figure de Carrie au bal du diable)
    . Il en devient presque dommage que spoiler: le film se termine de manière plus calme
    tellement l’effroi de la tournure dramatique des événements devenait jouissif. Pour une présence très marquée à l’écran (notamment via plusieurs gros plans sur le visage), et malgré un jeu d’acteur assez inégal (certaines expressions faciales rappelant péniblement les heures sombres d’Hunger Games), Jennifer Lawrence porte à elle seule la qualité de la narration et dévoile toujours plus ses talents d’actrice dans des situations toujours plus étonnantes.
    Elianor84
    Elianor84

    3 abonnés 466 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 décembre 2017
    Un film avec une bonne base mais qui devient du grand n'importe quoi ! On part dans un délire incompréhensible et complètement défait de toute réalité! Les bons acteurs ne font pas que des bons films! À éviter !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2017
    Film qui attire que par ses acteurs. Histoire qui n'a aucun sens. On ne sait pas pourquoi il y a ces événements, à demi surnaturels, situations aberrantes. Longueurs car on y comprend rien, excepté à la dernière minute. NE PERDEZ PAS VOTRE TEMPS A ALLER LE VOIR!
    Gilles H.
    Gilles H.

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2017
    Vu au festival du film Américain à Deauville. FUYEZ!!! Ce film est un navet à la puissance 10.
    Désolé, mais payer une place pour ça, c'est intolérable.
    Désespérant tellement le scénario est absurde, incohérent et incompréhensible.
    Malgré quelques scènes ultra sanglantes mais invraisemblables ce n'est pas un thriller ni un film d'horreur, c'est inclassable.
    De plus, tout le film se déroule à l'intérieur de cette immense maison lugubre = c'est affreux et d'un ennui.
    Je me demande comment ces acteurs renommés ont acceptés de tourner ça (($$$$$?)) mais aussi, pourquoi les producteurs ont financé un film aussi pitoyable. Oui, les scénaristes font pitié!!!
    C'est une honte. A la fin les spectateurs se mettent à rire tellement c'est grotesque. FUYEZ!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2017
    Une étoile pour le côté visuel. Pour le reste ce film est très en dessous des attentes que je pouvais avoir : Scénario tiré par les cheveux, incohérences ... La fin est prévisible, le gore est là mais aurait été dispensable. Les 10 dernières minutes sont une épouvante à laquelle il ne ressort rien, juste un questionnement sur les absurdités du scénario et le pourquoi du comment certains personnages sont là !
    pascale D.
    pascale D.

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2017
    Pas du tout dans le film je n’y croyait pas , ennui total. Scénario pas du tout abouti la mise en route est longue à venir
    L’image du paradis , de l’enfer ??? Gourou enfin chacun comprend ce qu’il veut
    Décevant
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 septembre 2017
    Je ne comprends pas que l'on ai perdu du temps à faire ce film NULLISSIME: et moi j'ai perdu du temps et de l'argent en allant voir ce navet qui n'a ni queue ni tête : j'aurai dû écouter les critiques pour une fois ! ! !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 septembre 2017
    je suis allée voir ce film il y'a 7 jours .. encore aujourd'hui il me hante !
    Jennifer Lawrence est au sommet de son Art !
    le film nous prend .. nous perturbe .. nous violente .. cette sensation d'intrusion est toujours présente après une semaine ! allez le voir !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 septembre 2017
    Le premier rôle nous tient de A à Z tellement on a de mal à suivre et c'est bien l'effet recherché !
    Puis on a affaire à une mise en scène aussi lente qu'explosive et pour le coup, vraiment explosive.

    Bref, j'ai kiffé et une deuxième fois ne sera pas de trop (pour les détails) :-) !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2017
    Si il est possible de percevoir dans cette mauvaise soupe un soupçon de religion (ou autre chose ), le reste n'en est pas plus intelligent bien au contraire. Une mauvaise gestion du temps engendre un film ou un bordel incompréhensible dure deux heures pleines sans grand retournement de situation avec des persos agaçants qui n'évoluent jamais et tournent en rond dans la débacle la moins subtile et pourtant la moins travaillée qui se perd dans des situations qui dépassent l'entendement.
    L'interprétation est faite pour justifier chaque faiblesse de chaque scène ou l'on y voit uniquement ce qu'on a envie d'y voire ou réussi à imaginer sans le moindre contexte. Alors y a t-il un réel effort de narration et de perspectives ? Bah non vous avez fait le travail du scénariste à sa place et dans vos têtes car c'est pas le film qui va vous raconter une quelconque histoire. Et il y a plusieurs résultats possibles selon ce que vous comprenez ce qui rend le film illisible car il n'y a même pas un encrage de départ, c'est absolument abstrait. Inutile d'essayer dégager une finalité ou une idée, ce ne sera jamais une réponse mais seulement une chose brut que le film a mis en place sans jamais aller jusqu'au bout car au final, le film n'est pas un thriller, ne justifie quasiment pas son -12, ne raconte absolument rien, ne fait pas peur, ne surprend pas, ne nous tient pas en haleine, ne développe aucun sujet concret, aucune réflexions logique. On vous demande de réfléchir sur un produit vide et insensé, difficile de pouvoir apprécier quoi que ce soit à son sujet.
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