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    Mother!
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    833 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 décembre 2017
    très belle oeuvre ... crédible, concrète, laissant exploser la colère à petit feu, l'impuissance et le dégout ... semblant anarcho-punk mais loin de l'anarchie, toutes les formes sont là en image embrassées par la caméra ... comme une purulence abjecte coulant d'un abcès enfin crevé et qui libère d'un mal humain libre mais confiné ... un voyage introspectif d'une candeur magnifique à la fois égocentrique et universel allégorie et métaphore non conformistes ... en somme tout ce qui me plait dans le cinéma !! ... avec amour on peut tout, car il anime tout !!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 décembre 2017
    Heureusement qu'il y a Allociné pour nous aider à décrypter ce film ! Moi qui pensais à quelque chose d'absurde, à un enchaînement de scène volontairement explosives sans queue ni tête, je suis rassurée d'apprendre que tout ceci avait un sens. Mais cette métaphore prétendument biblique renvoie une image souillée des Hommes à laquelle je n'adhère pas du tout. Depuis quand est-il nécessaire de défigurer les religions pour faire du "beau" cinéma ? Ce film ne nous apprend rien sur nous et ne nous aide pas à réfléchir. Il intensifie à l'excès la violence potentielle des Hommes tant est si bien qu'on ne s'identifie jamais aux personnages de second plan. On est clairement dans un scénario manichéen foireux.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 décembre 2017
    Ce film est juste magnifique !! une belle métaphore de notre vie actuelle (religion et nature) Waouh !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 décembre 2017
    Un film captivant et intriguant à la fois. L'Histoire est compliqué à suivre mais les rôles de chacun des acteurs se révèle au fur et à mesure. Bravo pour ce film!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 décembre 2017
    c'est le film le plus nul du monde.
    Je n'ose même pas le qualifier de navet car les Navets, c'est au moins divertissant. C'est le degré ultime de la médiocrité qu'on veut nous faire avaler pour un chef d'oeuvre.
    Ne perdez ni votre temps ni votre agent pour une m .....pareille.
    Mais les acteurs devaient avoir vraiment besoin d'argent pour accepter de figurer dans une telle bouse intersidérale
    amen...
    FaRem
    FaRem

    7 809 abonnés 9 026 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2017
    "Mother!" n'est pas un film comme les autres, c'est une expérience hors du commun et indescriptible. Dans le très bon "Requiem for a Dream", il y avait déjà des scènes très bizarres limite irréelles, mais ce n'est rien comparé à ce qu'il y a dans ce film. Ici, il n'y a rien de logique et de rationnel, ça commence par le comportement étrange de ces invités particulièrement intrusifs et sans gênes jusqu'à cette dernière partie complètement folle qui part dans tous les sens et repousse toutes les limites. La première partie est excellente grâce à la mise en scène très efficace d'Aronofsky qui capte parfaitement toutes les émotions de Jennifer Lawrence qui est complètement dépassée par les évènements et accentue ce décalage entre ce qu'elle ressent et ce qu'il se passe ce qui est assez perturbant. Ce n'est pas un film agréable à voir, il est souvent gênant et met mal à l'aise. J'ai eu un peu plus de mal avec la dernière partie qui va toujours plus loin, mais elle n'en reste pas moins efficace et forte. C'est un film éprouvant, original, et très riche bien plus qu'on pourrait le croire. Il y a beaucoup de références et de symboles qui renvoient souvent à la même chose et surtout plein de thèmes sont abordés même si l'on ne dirait pas... "Mother!" fait partie de ces films exigeants qui ne laissent pas indifférents. Pour ma part, je l'ai trouvé très bon, la mise en scène est efficace, les acteurs sont très bons et l'ambiance est aussi oppressante qu'excellente.
    tostaki
    tostaki

    3 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2017
    Un film qui ne peut que forcément semer la discorde...

    Tout comme pour les films de Lynch, j'ai dû chercher le mode d'emploi après l'avoir vu.

    Mais franchement, les images, le montage, le rythme crescendo du film m'ont totalement envahis pour me laisser au final terrassé par ce vomissement de bruit et fureur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 novembre 2017
    Branchez vos cerveau ce n'est pas du tout ce que vous pensez aller voir et vas vous demander beaucoup de concentration et de réflexion.

    Cela dit le film et un peu trop incompréhensible, et trop gore bien que je l'ai apprécié
    Sylvain V.
    Sylvain V.

    24 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2017
    Je n'ai jamais vu un film comme celui-ci... Ingénieux, poignant, complexe... A la fois un Thriller et un Drame, Mother! est un film tourbillonnant, a nous faire perdre la tête mais tellement sublime. Le metteur en scène de Noé et Black Swan réalise un divertissement très original, au scénario déphasé mais très soigné. 5/5 *****
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 novembre 2017
    film incompréhensible et la bande annonce est plus que trompeuse. On pense voir un thriller lié à une histoire de famille mais pas du tout. Heureusement Jennifer Lawrence sauve la mise par sa prestation
    blacktide
    blacktide

    48 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2017
    Le monde, la chair et le diable

    Il est parfois difficile de connaître son propre ressenti sur une œuvre. Non que l’avis soit une notion subjective qui ne s’impose véritablement à nous même que par le biais des émotions, mais que ce soit pour des raisons d’incompréhension aussi bien que de sentiments ambivalents, celle-ci n’existe que dans son recul avec celui qui la regarde. Comme un mystérieux équilibre de contradictions, où l’enrobage en chocolat ne cacherait seulement qu’un excrément de grandiloquence. Un recul qui se veut bien souvent volontaire de manière à susciter une expérience post-cinématographique chez celui qui en est témoin. Car l’expérience que propose Mother ! tient moins en son assimilation qu’en l’abandon de son spectateur.

    Une division critique qui d’ailleurs se veut le reflet de la réussite du film, témoignant de son emprise totale sur le spectateur, et du malaise qu’il peut en résulter. Car de cette manipulation sadique orchestrée par Aronofsky, découle une commotion cérébrale à faire passer Requiem for a dream pour un remake des Télétubbies. Ce qui a pour effet de pousser notre esprit aux bords de l’insupportable, et de retourner une grande partie des spectateurs contre le film lui-même. Un retournement s’inscrivant dans la permanence du propos développé par le cinéaste : écraser le cœur de l’humanité sous un excès de croyance.

    L’œuvre d’Aronofsky se voudrait en effet pousser le traumatisme jusqu’à sa propre destruction. Comme une adoration généralisée qui viendrait à se pervertir au contact des hommes. Le résultat d’une humanité qui dévore littéralement une foi en l’universel, mais se détruit par sa propre obsession. Mother nous crache au visage, nous roue de coups et nous éviscère pour mieux nous faire comprendre la femme dans laquelle nous vivons. Là encore, autant d’interprétations que d’appels à la réflexion : cauchemar écologique d’un Eden que nous massacrons ? Réécriture biblique où tout converge vers l’apocalypse et l’éternel recommencement de la vie ? Refuser le paradis quand se profile l’enfer d’une divinité ? Métaphore d’un couple en perdition ? L’émancipation progressive d’une femme ? Enfer de la création et de la douleur qui résulte de l’accouchement d’une œuvre ? Syndrome de la page blanche et de la vacuité même de son œuvre ?... S’aventurer sur ces raisonnements contribuerait sûrement à s‘approprier plus d’une pierre de l’édifice.

    Mais Mother n’est pas un film qui s’explique. Ou plutôt chaque tentative de rationalisation contribue à nous perdre encore un peu plus dans la folie d’Aronofsky. A l’image d’un Livre qui se voudrait compréhensible de tous mais qui s’avère avoir au final des milliers d’interprétations. Des lectures multiples qui s’envisagent sous des angles tout aussi différents ; de la psychanalyse au fanatisme, du narcissisme au symbolisme, tout renvoie à une seule et même entité condensée dans une œuvre dont la radicalité fait plaisir à voir dans le cinéma contemporain. D’autant plus que l'ambiguïté autour de l’époque et des personnages renforce la multi-parabole planant sur le film.

    Si bien que tout dans Mother relève de la provocation et du pure dérangement, au point qu’aucune bande annonce n’aurait pu nous préparer à une telle secousse corporelle et émotionnelle. Puisqu’au-delà même de sa puissance métaphysique, les corps s’en retrouvent malmenés, déchiquetés, glorifiés jusqu’à ce que l’humain s’en retrouve sacrifié. L’ambiance sonore contribue elle-aussi au mal-être du spectateur : de grincements en hurlements, la Psychose est totale. Une sorte de scène de la douche étirée dans sa propre horreur. Et au cœur de cette déliquescence, le regard ne passe qu’à travers l’incompréhension de Jennifer Lawrence, incroyable de délicatesse, d’intensité et de frustration. Elle est le spectateur, perdue dans le trouble de son existence. Comme une tentative d’Aronofsky d’extirper l’Amour du Chaos.

    Tout se résumant au final à un cœur entre les murs. Un cœur intimement lié à la figure incarnée par Jennifer Lawrence, faisant corps avec la maison, et elle-même abîmée par chaque détérioration imposée à cet habitat organique. Une icône que le spectateur ne peut qu’incarner passivement, ce qui renforce ce sentiment de frustration. Suffoquer jusqu’à en transpirer d’émotion. La réalisation d’Aronofsky va également dans ce sens : privilégiant une photographie terne et jaunâtre ainsi que des mouvements de caméra mobiles collant à l’isolement de son héroïne (et à notre identification au personnage), il élève le dégoût et le malaise à un rang rarement atteint, où l’inconnu n’est qu’une autre phase d’une paranoïa avancée.

    Et pour cause, entre la première partie Polanskienne et la seconde relevant du délire des plus improbables et illogiques, un seul mot gouverne nos sentiments : l’imprévisibilité. Une chose devenue rare à notre époque, où chaque œuvre revêt un soupçon de déjà-vu. Mais Mother n’existe véritablement que dans son instabilité. Chaque pas supplémentaire dans l’œuvre pousse le spectateur dans un non-retour nimbé de pessimisme. Jusqu’à la paralysie totale de la seconde moitié, un cauchemar ambulant symbolisé par une sorte de plan-séquence insensé, surréaliste et démoniaque. Résister est vain. Il faut se laisser prendre pour mieux être éclairé. Un moment de transe où la fascination se développe dans le cocon même de la peur. Et ce jusqu’à la dernière seconde, jusqu’au dernier plan, un visage de déjà-vu qui se retourne, transformant le film en un questionnement total, comme pour à jamais se souvenir et recommencer cette folle expérience.

    Mais là où un film comme Mise à mort du cerf sacré distillait parfaitement la peur de l’absurde pour créer une tension vraiment dérangeante, Aronofsky peine à dépasser la dimension purement viscérale de son œuvre. Car, même si tout n’est que recommencement dans la filmographie d’Aronofsky (notamment autour de ses obsessions thématiques), le panache de Mother se trouve rapidement déformé par une grotesque prétention et un symbolisme quasi-outrancier, sans jamais user d’une subtilité qui aurait pu permettre à l’œuvre de s’envoler progressivement vers des sommets d’angoisse (notamment pour les personnages d’Ed Harris et Michelle Pfeiffer, pourtant parfaits dans leur rôle). Une lourdeur qui par moments s’affirme un peu trop sur le récit. Mais détester ce film revient finalement à lui conférer un statut quasi-contraire : c’est affirmer que Mother dérange, qu’il entre dans la peau et vous éventre de l’intérieur, c’est confirmer la puissance de son horreur.

    Une œuvre aussi dense que sidérante en somme. Et même si les défauts ne manquent pas, Mother est une claque sans nom qui éclipse toute objectivité pour se préoccuper des palpitations de notre cœur. Et de ce casque d’irréalité augmentée, s’ensuit une immersion dans le chaos des Temps Modernes. Une immersion symbolisée par ce lourd silence d‘effroi dans la salle, rapidement comblé par une totale interrogation sur ce que nos yeux ont aperçu sur cet écran. Car c’est peut-être aussi cela le cinéma : une mère nourricière d’une cinéphilie qui ne cesse de se remettre en question et de s’autodétruire pour immerger notre rétine d’une nouvelle folie en devenir.

    Gone Girl pour Monster House
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 octobre 2017
    Mother ! n'est pas un film comme les autres, c'est une expérience à vivre. Il n'est pas possible de sortir indemne de ce genre de film. Après plusieurs jours de réflexion, j’attends de le voir une nouvelle fois pour savoir ce que je peux en sortir.
    Darren Aronofsky a fait sept films en un peu moins de 20 ans. Je n'ai pas encore tout vu mais ceux que j'ai pu regarder son déroutant. Je parle de Requiem for a Dream, Black Swan et Noé. Je m’arrête sur le premier qui m'a vraiment marqué sur tous les points. Du traitement de l'image à la bande son, j'ai été complètement retourné. Pour moi c'est une référence à voir absolument. Et avant d'aller voir Mother! je m'attendais à vivre la même expérience. Je n'ai pas été déçu, même si je pense n’avoir pas tout compris dès le premier visionnage. Mais il était mieux et plus déroutant que les autres.
    La star est tout simplement Jennifer Lawrence. Elle est la pièce maîtresse, en plus d’être plus qu’un personnage. Le cadrage est juste à chaque plan. Elle reste presque tout le film dans le champs. Elle nous fait vivre ses émotions de bonheur, peur, tristesse… jusqu’aux dernières minutes. A certains moments cela devient même gênant et troublant d’être aussi proche. Je dit tout ça en plus je ne suis pas particulièrement fan de cette actrice. Javier Barden quand à lui impose un charisme que je n’arrive pas à définir. Même sans rien dire on peux sentir sa présence.
    Le style de l’image est très simple. La base du film est une maison que l’on peux situer dans n’importe quel endroit et dans n’importe quel temps. Le style vestimentaire est très intemporel aussi. Tout est basé sur le cadrage et le jeu de Jennifer Lawrence.
    Mais là n’est pas le point principal pour moi le thème principal est la «VIE».
    La musique est inquiétante, elle nous bloque comme dans une toile d’araignée. Un point d’orgue, le quart d’heure après la naissance qui est très étouffant.
    Si vous allez voir ce film n'ayez pas de préjuger. Il faut connaître un minimum son œuvre pour apprécier le film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 octobre 2017
    nul. film plat et sans chute.
    j'ai été déçue je m'attendais à mieux vu la bande annonce.
    pourtant vu l'actrice je m'attendais à être surprise mais non 😶.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 octobre 2017
    Malgré les acteurs choisis.... Scénario pauvre, dialogue ridicule, histoire incompréhensible... Très déçue, après la bande annonce je ne m'attendant pas à voir ce truc là oui car ce n'est pas un film. Allez voir un autre film !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 octobre 2017
    Alors par où commencer? Pour démarrer je dirais que la question n'est pas "on aime ou on aime pas"! Je suis encore aujourd'hui, un mois après l'avoir vu, incapable de dire si je l'ai aimé ou non mais à mon sens c'est un chef d'oeuvre!
    Déjà au niveau du son, j'avais parfois l'impression que l'action se passait à côté de moi... Les acteurs sont extraordinaires à mon sens, ils jouent parfaitement bien (doublage en VF qui gâche un peu malheureusement). Ensuite le scénario est très recherché et la dégradation des évènements est exponentielle, si bien que l'on ne comprend plus rien à ce qui se passe très rapidement, ce qui est fait exprès sinon l'effet du film ne serait pas le même, et quand on croit que ça se calme enfin et qu'il ne peut rien y avoir de pire, ça repart de plus belle!
    Ce film m'a beaucoup marqué et à vrai dire un peu traumatisé de par sa violence psychologique ET physique! J'ai du lutter pour ne pas sortir de la salle tellement j'ai trouvé que c'était insoutenable et certaines images sont restées graver plusieurs jours et ne voulaient plus partir!
    Enfin bref bravo à toute l'équipe de ce film très bizarre!
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