Derniers Avis : Mother! - Page 23

J'ai choisi de regarder ce film sur le nom de son réalisateur, je ne connaissais donc pas la trame scénaristique. Après une première partie assez énigmatique et frisant avec les codes du film d'épouvante la seconde partie s'avère beaucoup plus chaotique et prenante tout en fournissant des réponses claires en terme de symbolique (y compris avec la première partie.

Bref bonne réalisation, bons acteurs, le spectateur n'est pas pris pour un crétin et cerise sur le gâteau Mother trouve une place très cohérente dans la filmographie du réal notamment en écho avec The Fountain.

Suite à un refus des modérateurs d'allociné de publier ma critique pour "hors sujet",
Mon avis étant précisément que le film n'a pas de sujet, vous comprendrez ma difficulté
à être dans un sujet quel qu'il soit, d'où ma question d'origine à l'instar de Jennifer Lawrence se demandant
ce qu'il se passe pendant tout le film. Ce n'est pas moi qui pose cette question à la base.

Mon avis est donc que le acteurs sont aussi paumés que moi !

Je reformule ma question, en espérant y trouver une réponse.
C'est quoi l'histoire ?

J’ai crée un compte alo ciné spécialement pour ce film, le plus nul de l’histoire de l’humanité, un supplice à regarder, sans queue ni tête.

Une lecture allégorique est nécessaire à la compréhension de ce film, car tout est une affaire de symboles et de métaphores. Le scénario est génial et la mise en scène est époustouflante de par la façon de filmer, et l'absence de trame sonore. Jennifer Lawrence excelle dans son rôle et l'histoire m'a scotchée dès la première scène, grâce à l'atmosphère oppressante du début à la fin. spoiler: D.Aronofsky a fait un beau travail sur le scénario en parallèle avec Dieu/la Terre/Adam/Eve/les humains/les guerres etc.

Grosse prise de risques de la part du réalisateur. J'ai pris une belle claque ! Ce film flirte entre chef d'oeuvre et navet et c'est aussi pour cela qu'on l'aime. La frustration de ne pas pouvoir tout expliquer simplement une fois le film terminé est loguiquement ressentie mais tout au long des deux heures je suis resté captivité par les évènements qui s'enchaînent et la curiosité de connaître de le dénouement. Le tempo , les jeux d'acteurs et les mouvements de caméra sont un régal

Un dernier film de Darren Aronofsky qui a partagé les avis même si personnellement j'y vois une franche réussite convaincante mais perfectible. En basant sa mise en scène sur le point de vue exclusif du personnage de Jennifer Lawrence, au passage absolument époustouflante, le réalisateur des excellents "Pi" ou "Requiem for a dream" livre un film éminemment complexe, chargé de symbolisme sur des thématiques religieuses, philosophiques assez récurrentes dans sa filmographie. Après, un long-métrage plutôt difficile d'accès, au rythme singulier et à la temporalité déstabilisante, visuellement très beau qui m'a énormément fait penser à "Rosemary's baby" de Roman Polanski ou à certains romans de Joyce Carol Oates. Un casting vraiment impressionnant de Javier Bardem à Ed Harris ou Michelle Pfeiffer. Un film viscéral, au discours ambigu, dérangeant qui m'a littéralement scotché sans que je puisse dire si il s'agit là d'un chef d'oeuvre ou d'une vaste arnaque.

Un homme et une femme vivant seuls dans une maison loin de tout. Il, Javier Bardem, a tout perdu sauf un objet en cristal. Elle, Jenifer Lawrence, rénove la maison.
Un jour, un homme, Ed Harris, débarque et reste dans cette maison étrange. Sa femme, Michele Pfeiffer le rejoint et reste elle aussi. Ce couple est très étrange et impudique.
La seconde partie du film m'a semblé bâclée et en manque d'inspiration...

un drame psychologique intense dont la prouesse est de faire ressentir au spectateur l'enfer vécu par le personnage de J. Lawrence. captivant, terrifiant, bien que la tournure finale sectaire et mystique, parallèle à la déchéance de toute l'humanité, soit déroutante. une œuvre inclassable, véritable allégorie biblique moderne portée par une réalisation brillante et par un casting de prestige (dont J. Lawrence pour la première fois époustouflante)!

nul ! aucune cohérence, nous devons attendre 2 heures de film pour ''essayer '' de comprendre. Certes, il y a une morale derrière tout cela, mais je trouve cela spéciale, très compliqué à dérouler l'intrigue. Mise à part bonne prestation de jennifer lawrence qui remonte la quote du film. (film très bizard) !

Voilà donc un cinéaste qui a cru avoir une idée. Il a depuis sa bulle regardé le monde qui ne tourne pas rond et s'est dit tiens, et si la guerre, la misère, le fanatisme, le changement climatique, etc. n'étaient que l'expression du récit biblique. Un film catho-gore prétentieux, boursouflé, qui essaye de faire croire que ça doit faire réfléchir sur notre condition. Du grand n'importe quoi !

Sidérant et oppressant, une expérience extraordinaire, une cinématographie impeccable, des acteurs habités.

Je pense que ce film aurait gagné à être un peu plus subtil, rien que de démarrer avec Lawrence en feu, la maison qui se régénère ou ensuite deux trois flashs qui nous laissent entrevoir l'issue, dommage que Aronofsky nous refile trop d'éléments en main au lieu de nous préserver dans un mystère total, car rien que l'emplacement de la demeure au milieu d'un grand rien on pouvait très bien y rester avec un regard interne et se retrouver démunie par tout ce qui arrive de l'extérieur. Sinon j'ai aimé, rien que de rester avec le point de vue de Lawrence, toujours un cran en retard par rapport à l'action dirigée par Bardem, comme elle nous subissons les événements sans trop savoir ce qui se passe, on ressent de l'oppression, surtout que le rythme arrive à redémarrer la machine au coeur du film pour nous mener vers cette seconde partie étouffante et apocalyptique. Le côté organique est plutôt pas mal aussi, ça m'a un peu rappelé Insomnies (Chasing Sleep) avec les trous dans le sol/plafond, la cave, la cuvette des toilettes, etc, après le symbolisme biblique est encore une fois amené sans pincettes, nous obligeant à y adhérer sans concession, ce qui est évidemment casse-gueule. Mais l'idée de boucle de création est sympa, des contradictions de la nature humaine, de l'aversion de l'individu, et puis c'est prenant surtout, franchement il y a pas mal de bonnes choses à retenir, juste frustrant que Aronofsky ai usé de grossièretés pour faire bonne figure, mais c'est pas si facile d'être Polanski.

J'ai lu que le réalisateur ne comprenait pas les mauvaises critiques ! tiens donc !
Il avait tellement rien à dire qu'il en a décidé d'en faire le sujet de son film ! Quelle arnaque !!

Je ne peux expliquer les si mauvaise critiques....
La seule explication possible est que les personnes n'ont pas vu les différentes métaphores qui se cachent derrière ce film. En effet, si on le regarde sans comprendre ce qu'il y a derrière, ce film est à mon sens incompréhensible...
Le réalisateur après le film catastrophique de Noé a voulu nous donner avec tous son génie son avis sur Dieu et la terre. En effet, il fait incarner les rôles de la bible aux différents personnages avec succès.
Le créateur, l’écrivain c'est Dieu (personnage égoïste, narcissique ne vivant qu'a travers les groupies qui le vénère). Elle c'est la Terre avec la maison. Le couple qui arrive incarne le rôle d'Adam et Eve et la pierre dans le bureau est la pomme! Ce film nous montre à quel point la terre est envahi et à quel point on lui manque de respect au point d'en mourir mais dieu recrée.
Je vous souhaite une bonne visualisation de ce chef d'oeuvre comme il n'en reste peu!

Un pur chef d’œuvre qui mérite une profonde réflexion sur la condition décadente et sauvage de l'humanité depuis son Commencement jusqu'à notre ère et qui s'avère être un cycle perpétuel et éternelle. Un point de vue très profond sur le ressenti, le vécu et surtout sur l'amour pur, précieux et infini d'un compagne et Mère divine qui se voit malmené tout au long de l'intrigue mais qui s'avère subsister. Une représentation exceptionnellement crue de la religion et particulièrement de la divinité que l'on ne peut discerner qu'une fois tous les évènements achevés ne sachant pas forcément où donner de la tête durant la montée en puissance de tous les évènement du film mais qui vous tient aux tripes jusqu'au bout.