Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
Cruel, tendre et dérangeant. À ne pas mettre entre toutes les pattes.
CNews
par La rédaction
Comédie acide, "Chien" montre une société perverse narcissique, qui traite ses citoyens comme des bêtes, grâce à une mise en scène jusqu’auboutiste dont Macaigne est un des rouages essentiels.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
C'est méchant, c'est bizarre, c'est déstabilisant, c'est bancal : c'est un objet qui ne ressemble à pas grand chose d'autre, et mérite donc clairement l'attention.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
Le long métrage le plus maîtrisé de Benchetrit.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Chien conserve un aspect incroyable au sens premier du terme, nous empêchant de quitter un siège devenu refuge de nos peurs les plus enfouies.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Guillemette Odicino
Film étrange et dérangeant, Chien s’achève sur un monologue où ne comptent plus que la contemplation de la nature et le don de soi, inconditionnel. Cette métamorphose à la Kafka est devenue douce. Mais tout aussi effrayante…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
De son roman, Benchetrit tire une fable noire sur la nature humaine, avec Vincent Macaigne, génial sans être cabotin.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Avec l’humour à la fois absurde et subversif qui est le sien, Samuel Benchetrit nous offre une fable animalière pas comme les autres.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
À la fois parabole sur la domination — on est toujours le chien de quelqu’un — et fable sur l’amour absolu, "Chien" se perd un peu en route dans une violence aussi inattendue que dérangeante, mais retombe finalement sur ses… pattes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par La Rédaction
Cette adaptation sur grand écran du livre éponyme de Samuel Benchetrit, publié en 2015, permet à Vincent Macaigne de se lâcher dans le rôle principal.
Le Journal du Dimanche
par S.J.
C’est parfois glauque, lent et dérangeant mais, avec son regard de cocker battu, Vincent Macaigne est parfait face à son maître-chien barré (Bouli Lanners).
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Samuel Benchetrit poursuit sa veine absurde et métaphysique à travers l’histoire d’un homme réduit à la condition canine.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Perturbant, grotesque à l’envi et à dessein, Samuel Benchetrit signe une fable surréaliste réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Christophe Narbonne
Dans cette deuxième partie sado-maso, Benchetrit pousse les curseurs du malaise au maximum, sous couvert de posture punk un peu infantile (haha on va choquer le bourgeois !) qu’on lui reproche souvent. Pour une fois, néanmoins, son nihilisme forcené n’a pas le dernier mot.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le début est alléchant, la fin, mordante ; entre les deux, "Chien" se mord la queue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Loin de l’humour de Didier d’Alain Chabat, ce conte très dérangeant dans lequel un homme se transforme peu à peu en chien évoque la déshumanisation qu’entraîne le déclin social.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le hic ? Cette chronique sociétale inconfortable et hautement dépressive tirée du propre roman de Samuel Benchetrit ne dépasse malheureusement pas le stade de l’intention.
Libération
par Anne Diatkine
Surlignage, marquage : chaque plan, mais aussi chaque détail de la narration crient les intentions du réalisateur-auteur-écrivain, à coup de pléonasmes, alors signature.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
La fable manque singulièrement de mordant et l'originalité des premiers instants laisse vite la place à des scènes répétitives d'humiliation.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Olivier De Bruyn
(...) le cinéaste, sur fond de zones urbaines désolantes, enchaîne les saynètes mi-grotesques mi-sinistres et, malgré le laconisme du récit, n'échappe ni aux surenchères ni à la complaisance.
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
(...) un film déroutant et cruel sur le thème de la chute sociale.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Ce monde de Chien n’est que celui d’un long sketch peu drôle et finalement plus pépère que dérangeant.
Critikat.com
par Thomas Choury
Malgré tous ses effets de manche et son autosatisfaction, le film n’est jamais vraiment dérangeant tant il s’applique à façonner ses petits sketchs au poil, veillant à ce que la gradation dans la déshumanisation soit parfaitement progressive. Il est donc là, le comble de ce petit cinéma qui s’amuse de mettre des coups de pied au cul à ses personnages et ses spectateurs : il le fait en pantoufles.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
n fait, ce film rappelle surtout un sketch de Raymond Devos, Mon chien c’est quelqu’un : un homme se met à la place d’un chien, ce qui engendre des péripéties absurdes. C’est peut-être pertinent pour une histoire courte, mais sur une heure et demie la farce devient lancinante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
On aurait aimé que le film déraille plutôt que de jouer sur le faux déroutement et sur une fragilité agaçante, qui est en train de devenir le registre de prédilection de Vincent Macaigne.
Le Figaro
par La Rédaction
La version dépressive de Didier, moins le PSG. Ni très drôle, ni très fin.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Samuel Benchetrit, qui adapte ici son propre roman, aborde avec une vraie pertinence les questions d'humiliation et de soumission. Mais il y a un hic: si, dans le roman, tout ceci se tient, à l'écran, en dépit d'un travail recherché d'image et de mise en scène, le résultat est extrêmement plombant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Banalement cynique, férocement nul.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
BIBA
Cruel, tendre et dérangeant. À ne pas mettre entre toutes les pattes.
CNews
Comédie acide, "Chien" montre une société perverse narcissique, qui traite ses citoyens comme des bêtes, grâce à une mise en scène jusqu’auboutiste dont Macaigne est un des rouages essentiels.
Ecran Large
C'est méchant, c'est bizarre, c'est déstabilisant, c'est bancal : c'est un objet qui ne ressemble à pas grand chose d'autre, et mérite donc clairement l'attention.
L'Express
Le long métrage le plus maîtrisé de Benchetrit.
Rolling Stone
Chien conserve un aspect incroyable au sens premier du terme, nous empêchant de quitter un siège devenu refuge de nos peurs les plus enfouies.
Télérama
Film étrange et dérangeant, Chien s’achève sur un monologue où ne comptent plus que la contemplation de la nature et le don de soi, inconditionnel. Cette métamorphose à la Kafka est devenue douce. Mais tout aussi effrayante…
Voici
De son roman, Benchetrit tire une fable noire sur la nature humaine, avec Vincent Macaigne, génial sans être cabotin.
aVoir-aLire.com
Avec l’humour à la fois absurde et subversif qui est le sien, Samuel Benchetrit nous offre une fable animalière pas comme les autres.
Bande à part
À la fois parabole sur la domination — on est toujours le chien de quelqu’un — et fable sur l’amour absolu, "Chien" se perd un peu en route dans une violence aussi inattendue que dérangeante, mais retombe finalement sur ses… pattes.
Closer
Cette adaptation sur grand écran du livre éponyme de Samuel Benchetrit, publié en 2015, permet à Vincent Macaigne de se lâcher dans le rôle principal.
Le Journal du Dimanche
C’est parfois glauque, lent et dérangeant mais, avec son regard de cocker battu, Vincent Macaigne est parfait face à son maître-chien barré (Bouli Lanners).
Le Monde
Samuel Benchetrit poursuit sa veine absurde et métaphysique à travers l’histoire d’un homme réduit à la condition canine.
Les Fiches du Cinéma
Perturbant, grotesque à l’envi et à dessein, Samuel Benchetrit signe une fable surréaliste réjouissante.
Première
Dans cette deuxième partie sado-maso, Benchetrit pousse les curseurs du malaise au maximum, sous couvert de posture punk un peu infantile (haha on va choquer le bourgeois !) qu’on lui reproche souvent. Pour une fois, néanmoins, son nihilisme forcené n’a pas le dernier mot.
L'Obs
Le début est alléchant, la fin, mordante ; entre les deux, "Chien" se mord la queue.
La Croix
Loin de l’humour de Didier d’Alain Chabat, ce conte très dérangeant dans lequel un homme se transforme peu à peu en chien évoque la déshumanisation qu’entraîne le déclin social.
La Voix du Nord
Le hic ? Cette chronique sociétale inconfortable et hautement dépressive tirée du propre roman de Samuel Benchetrit ne dépasse malheureusement pas le stade de l’intention.
Libération
Surlignage, marquage : chaque plan, mais aussi chaque détail de la narration crient les intentions du réalisateur-auteur-écrivain, à coup de pléonasmes, alors signature.
Paris Match
La fable manque singulièrement de mordant et l'originalité des premiers instants laisse vite la place à des scènes répétitives d'humiliation.
Positif
(...) le cinéaste, sur fond de zones urbaines désolantes, enchaîne les saynètes mi-grotesques mi-sinistres et, malgré le laconisme du récit, n'échappe ni aux surenchères ni à la complaisance.
Télé Loisirs
(...) un film déroutant et cruel sur le thème de la chute sociale.
Cahiers du Cinéma
Ce monde de Chien n’est que celui d’un long sketch peu drôle et finalement plus pépère que dérangeant.
Critikat.com
Malgré tous ses effets de manche et son autosatisfaction, le film n’est jamais vraiment dérangeant tant il s’applique à façonner ses petits sketchs au poil, veillant à ce que la gradation dans la déshumanisation soit parfaitement progressive. Il est donc là, le comble de ce petit cinéma qui s’amuse de mettre des coups de pied au cul à ses personnages et ses spectateurs : il le fait en pantoufles.
L'Humanité
n fait, ce film rappelle surtout un sketch de Raymond Devos, Mon chien c’est quelqu’un : un homme se met à la place d’un chien, ce qui engendre des péripéties absurdes. C’est peut-être pertinent pour une histoire courte, mais sur une heure et demie la farce devient lancinante.
La Septième Obsession
On aurait aimé que le film déraille plutôt que de jouer sur le faux déroutement et sur une fragilité agaçante, qui est en train de devenir le registre de prédilection de Vincent Macaigne.
Le Figaro
La version dépressive de Didier, moins le PSG. Ni très drôle, ni très fin.
Le Parisien
Samuel Benchetrit, qui adapte ici son propre roman, aborde avec une vraie pertinence les questions d'humiliation et de soumission. Mais il y a un hic: si, dans le roman, tout ceci se tient, à l'écran, en dépit d'un travail recherché d'image et de mise en scène, le résultat est extrêmement plombant.
Les Inrockuptibles
Banalement cynique, férocement nul.