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Dogs est une histoire de frontière. Western déguisé, avec son shérif impuissant, uniquement volontaire en dernier recours, à la manière d’un Gary Cooper dans Le train sifflera trois fois, il affirme les nouvelles limites de l’inconnu, à l’Est, là-bas, aux confins d’une Europe mal aimée.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
C'est un polar rural. Qui regarde la poussière tomber sur un monde bientôt oublié. Les hommes y sont mutiques, la violence dort sous le paillasson, le soleil ne réchauffe personne.
La mise en scène elliptique, le refus de filmer la violence, une direction d’acteurs confits dans un jeu hiératique, quelques doses d’humour noir confèrent à ce jeune réalisateur un statut d’auteur plus que prometteur.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Une sorte de western des origines, dans des paysages dont la nature sauvage a façonné les êtres qui y vivent, révélant la violence primitive, les pulsions premières et la part obscure et bestiale de l’humanité.
(...) avec son premier film "Dogs", (Bogdan Mirica) réussit, à l'instar de ses prédécesseurs, à concilier la puissance fictive d'un thriller avec l'intensité d'une réflexion politique.
"Dogs" suscite l’angoisse dans ce qu’elle peut avoir de plus primitif, et d’ailleurs tout dans le film est primitif, à commencer par les comportements des personnages, qui paraissent soumis à leurs seules pulsions. Mais pour produire cette impression-là, une très grande maîtrise et une connaissance parfaite du cinéma sont nécessaires. Elles donnent beaucoup à espérer de ce cinéaste de 38 ans.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Dans sa dernière partie, "Dogs" est à ce point livré aux tours de passe-passe et effets de manches, par un auteur prenant soudain de haut ses créations, que la petite peinture de la nature humaine prend un tour assez antipathique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Stylistiquement abouti, ce huis clos en plein air englué dans la mélasse estivale, où une poignée de personnages s’étripent pour une propriété déserte, est un condensé de vilenie et de décrépitude. Un peu angoissant, mais ça tourne à vide.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Une fois son climat installé, Bogdan Mirica n’en fait pas grand-chose et, ces effets devenant insistants et systématiques, le film finit par ennuyer puis exaspérer.
Bande à part
Dogs est une histoire de frontière. Western déguisé, avec son shérif impuissant, uniquement volontaire en dernier recours, à la manière d’un Gary Cooper dans Le train sifflera trois fois, il affirme les nouvelles limites de l’inconnu, à l’Est, là-bas, aux confins d’une Europe mal aimée.
L'Express
C'est un polar rural. Qui regarde la poussière tomber sur un monde bientôt oublié. Les hommes y sont mutiques, la violence dort sous le paillasson, le soleil ne réchauffe personne.
LCI
Un nouveau western tout en ténuité, parcouru par une tension sourde, confirmant la vitalité du jeune cinéma d’auteur roumain.
La Voix du Nord
La mise en scène elliptique, le refus de filmer la violence, une direction d’acteurs confits dans un jeu hiératique, quelques doses d’humour noir confèrent à ce jeune réalisateur un statut d’auteur plus que prometteur.
Le Dauphiné Libéré
Une sorte de western des origines, dans des paysages dont la nature sauvage a façonné les êtres qui y vivent, révélant la violence primitive, les pulsions premières et la part obscure et bestiale de l’humanité.
Le Figaro
Encore une pépite du cinéma roumain. Cela n'arrête plus. Ils vont se calmer, oui ?
Les Inrockuptibles
Ce film est pour tous les amateurs de bon cinéma de genre.
Ouest France
Une tragédie épurée qui ressemble à un western classique, crépusculaire et fascinant.
Positif
(...) avec son premier film "Dogs", (Bogdan Mirica) réussit, à l'instar de ses prédécesseurs, à concilier la puissance fictive d'un thriller avec l'intensité d'une réflexion politique.
Studio Ciné Live
"Dogs" est le genre de film (...) qui retient le souffle.
Transfuge
Mirica s'affirme ici comme un passionnant cinéaste du paradoxe, voire de l'oxymore.
Télérama
Ce premier film est d'une intelligence et d'une maîtrise impressionnantes. Son réalisateur est la révélation de l'année.
aVoir-aLire.com
Mêlant avec talent western, thriller et critique sociale, ce premier long métrage épuré confirme la vitalité du nouveau cinéma roumain.
Franceinfo Culture
Dans ce désert où se terrent des chiens enragés, Bogdan Mirica signe un premier film tendu, aux faux airs de western et gorgé de brutalité.
L'Obs
"Dogs" suscite l’angoisse dans ce qu’elle peut avoir de plus primitif, et d’ailleurs tout dans le film est primitif, à commencer par les comportements des personnages, qui paraissent soumis à leurs seules pulsions. Mais pour produire cette impression-là, une très grande maîtrise et une connaissance parfaite du cinéma sont nécessaires. Elles donnent beaucoup à espérer de ce cinéaste de 38 ans.
La Septième Obsession
Un film noir en pleine canicule solaire et anxiogène.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier film ambitieux de Bodgan Mirica, à mi-chemin entre western et drame psychologique, dresse le portrait d’un pays hanté par son passé.
Paris Match
Anarchique dans son rythme et sa narration, le film déconcerte autant qu'il fascine.
Première
Dommage que ce quasi-western, trop léthargique et empesé pour captiver, souffre de pannes de courant.
CinemaTeaser
Un premier long-métrage qui, à force de jouer au plus malin, perd de vue tout ce qu'il a construit.
Critikat.com
Dans sa dernière partie, "Dogs" est à ce point livré aux tours de passe-passe et effets de manches, par un auteur prenant soudain de haut ses créations, que la petite peinture de la nature humaine prend un tour assez antipathique.
L'Humanité
Stylistiquement abouti, ce huis clos en plein air englué dans la mélasse estivale, où une poignée de personnages s’étripent pour une propriété déserte, est un condensé de vilenie et de décrépitude. Un peu angoissant, mais ça tourne à vide.
Le Monde
Ce film d’atmosphère, à mi-chemin entre le western et le slasher, sent un peu trop l’exercice de style.
Cahiers du Cinéma
Une fois son climat installé, Bogdan Mirica n’en fait pas grand-chose et, ces effets devenant insistants et systématiques, le film finit par ennuyer puis exaspérer.