Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Prix de la mise en scène à Cannes, "Baccalauréat" est un drame d’une intensité rare dont l’enjeu dépasse la réussite ou l’échec à un examen…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Michel Cieutat
Quatrième long-métrage de Cristian Mungiu, "Baccalauréat" poursuit la réflexion propre au cinéaste roumain autour du malaise existentiel que vit son pays depuis l’écroulement du communisme en 1989. Le tout porté par un même style de mise en scène toujours envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par Florence Ben Sadoun
Un film intense d'une inquiétante résonance. A ne pas manquer.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un film sobre et fort qui met en scène la question des fins et des moyens.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
C’est passionnant, d’une intelligence éblouissante, c’est du grand cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Écrivons-le sans préambule : voilà exactement ce que l'on est en droit d'attendre d'un grand film cannois. Une oeuvre au souffle long allant puiser dans le plus singulier du récit l'essence d'un partage universel.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Le talent de Mungiu éclate dès ces premières scènes, superbement rythmées. Personne ne sait comme lui inclure dans des plans narratifs toute la complexité humaine des situations et des relations.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"Baccalauréat" est un petit chef-d'oeuvre qui vous tient de bout en bout, remarquable d'intelligence et de lucidité, ce qui revient au même.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CNews
par La Rédaction
Formidablement interprété, ce drame a obtenu à Cannes le prix de la mise en scène.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Énervé et raide.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Axel Scoffier
La grande cohérence du film est à mettre au crédit de Cristian Mungiu, qui évite l’écueil du pensum socio-politique et invite à considérer avec toute la complexité d’un phénomène psychologique les différentes étapes de compromission d’une société.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Prix cannois de la mise en scène, ce film magnifique nous interpelle sur l'éducation et les petits arrangements avec la vie.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Mangiu observe avec lucidité mais sans cruauté une société enkystée et un homme dont la vie se désagrège. Ce n'est sans doute pas son film le plus puissant mais il laisse, comme toujours, une forte empreinte.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Gala
par La Rédaction
Le cinéma roumain continue de surprendre.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le film de Cristian Mungiu accompagne de façon froide, à mesure que celui-ci tombe progressivement dans le pourrissement ambiant, la chute d’un homme juste, rattrapé par la réalité d’un pays qu’il avait rêvé différent.
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Un portrait implacable de la Roumanie postcommuniste toujours en proie à la corruption.
Les Fiches du Cinéma
par Patrick Flouriot
Une fable à visée universelle sur la compromission.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Bilan sombre (ou lucide) dressé par Mungiu au cours de ce parcours à travers un réseau complexe de situations, de dilemmes cornéliens, de faux-semblants, de vérités cachées ou apparentes : un pays ne se remet pas en un clin d’œil de quarante années d’un régime tel que celui dirigé par Ceausescu.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Il y a parfois des longueurs mais tout cela reste passionnant.
Paris Match
par Yannick Vely
Grand cinéaste, grand film.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
Ce conte moral est une belle ilustration de la manière dont les cinéastes roumains associent le portrait de leur pays à l'entrelacs d'un destin humain.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
De son propre aveu, ce Baccalauréat est largement autobiographique et le scénario permet à de questionner son statut de man et surtout de père.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec une économie d'effets admirable, des plans fixes et une lumière qui va de l'ensoleillement à la grisaille, Cristian Mungiu dévide une pelote dont les fils serrés n'en constituent pas moins des strates séparées.
Télérama
par Pierre Murat
La satire sur la corruption vire au polar noir : on contemple, par vagues successives, un homme qui se noie... S'il complique inutilement son scénario dans la dernière demi-heure, Cristian Mungiu reste jusqu'au bout fulgurant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
L'engrenage fatal d'un homme prêt à tous les compromis pour "sauver" sa fille.
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
Baccalauréat rappelle en permanence les conséquences de ses actes à Romeo, mais montre surtout comment un pays corrompu commence par une triche au plus petit niveau, même par le mieux intentionné des citoyens.
L'Express
par Eric Libiot
Portrait d'un pays bouffé par les abus de pouvoir dont on peut regretter la longueur et le scénario prévisible, le cinéma roumain ayant tendance à beaucoup traiter le sujet. Mais il y a du cinéma.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Le film de Cristian Mungiu, est le point d’orgue d’une année qui a vu une fois encore, mais dans une diversité rarement aussi patente, la consécration d’une nouvelle vague du cinéma roumain.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Dans l’axe de sa caméra : trafic d’influence, lâcheté ordinaire. Et des kilos de dialogues, au cas où la morale de l’histoire nous aurait échappé. Mais surtout un souffle d’espoir en la jeunesse bien décidée, pour l’heure, à sortir du cadre de la photo de famille et à ne pas reproduire les erreurs des parents.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
On se sent comme prisonnier de cette fable âpre, paradoxalement haletante mais qui perd parfois son souffle, jamais aimable et pourtant exigeante tant sur la forme que sur le fond.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Conte moral hanté par les fantômes du passé, Baccalauréat déploît un scénario implacable. Mais son ossature, trop didactique, peine à captiver.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Luc Chessel
Cela pourrait être admirable ou audacieux si le film, sous ses airs contemporains amoraux (l’art subtil de ne pas résoudre les intrigues, de ne pas déplier les non-dits, de laisser parler les situations pour elles-mêmes), ne nous présentait pas comme absolument évidente la frontière entre la corruption et la droiture, la limite entre le bien et le mal.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Prix de la mise en scène à Cannes, "Baccalauréat" est un drame d’une intensité rare dont l’enjeu dépasse la réussite ou l’échec à un examen…
Bande à part
Quatrième long-métrage de Cristian Mungiu, "Baccalauréat" poursuit la réflexion propre au cinéaste roumain autour du malaise existentiel que vit son pays depuis l’écroulement du communisme en 1989. Le tout porté par un même style de mise en scène toujours envoûtant.
Elle
Un film intense d'une inquiétante résonance. A ne pas manquer.
L'Humanité
Un film sobre et fort qui met en scène la question des fins et des moyens.
L'Obs
C’est passionnant, d’une intelligence éblouissante, c’est du grand cinéma.
La Croix
Écrivons-le sans préambule : voilà exactement ce que l'on est en droit d'attendre d'un grand film cannois. Une oeuvre au souffle long allant puiser dans le plus singulier du récit l'essence d'un partage universel.
Le Figaro
Le talent de Mungiu éclate dès ces premières scènes, superbement rythmées. Personne ne sait comme lui inclure dans des plans narratifs toute la complexité humaine des situations et des relations.
Le Parisien
"Baccalauréat" est un petit chef-d'oeuvre qui vous tient de bout en bout, remarquable d'intelligence et de lucidité, ce qui revient au même.
CNews
Formidablement interprété, ce drame a obtenu à Cannes le prix de la mise en scène.
CinemaTeaser
Énervé et raide.
Critikat.com
La grande cohérence du film est à mettre au crédit de Cristian Mungiu, qui évite l’écueil du pensum socio-politique et invite à considérer avec toute la complexité d’un phénomène psychologique les différentes étapes de compromission d’une société.
Femme Actuelle
Prix cannois de la mise en scène, ce film magnifique nous interpelle sur l'éducation et les petits arrangements avec la vie.
Franceinfo Culture
Mangiu observe avec lucidité mais sans cruauté une société enkystée et un homme dont la vie se désagrège. Ce n'est sans doute pas son film le plus puissant mais il laisse, comme toujours, une forte empreinte.
Gala
Le cinéma roumain continue de surprendre.
Le Dauphiné Libéré
Le film de Cristian Mungiu accompagne de façon froide, à mesure que celui-ci tombe progressivement dans le pourrissement ambiant, la chute d’un homme juste, rattrapé par la réalité d’un pays qu’il avait rêvé différent.
Le Figaroscope
Un portrait implacable de la Roumanie postcommuniste toujours en proie à la corruption.
Les Fiches du Cinéma
Une fable à visée universelle sur la compromission.
Les Inrockuptibles
Bilan sombre (ou lucide) dressé par Mungiu au cours de ce parcours à travers un réseau complexe de situations, de dilemmes cornéliens, de faux-semblants, de vérités cachées ou apparentes : un pays ne se remet pas en un clin d’œil de quarante années d’un régime tel que celui dirigé par Ceausescu.
Ouest France
Il y a parfois des longueurs mais tout cela reste passionnant.
Paris Match
Grand cinéaste, grand film.
Positif
Ce conte moral est une belle ilustration de la manière dont les cinéastes roumains associent le portrait de leur pays à l'entrelacs d'un destin humain.
Studio Ciné Live
De son propre aveu, ce Baccalauréat est largement autobiographique et le scénario permet à de questionner son statut de man et surtout de père.
Sud Ouest
Avec une économie d'effets admirable, des plans fixes et une lumière qui va de l'ensoleillement à la grisaille, Cristian Mungiu dévide une pelote dont les fils serrés n'en constituent pas moins des strates séparées.
Télérama
La satire sur la corruption vire au polar noir : on contemple, par vagues successives, un homme qui se noie... S'il complique inutilement son scénario dans la dernière demi-heure, Cristian Mungiu reste jusqu'au bout fulgurant.
Voici
L'engrenage fatal d'un homme prêt à tous les compromis pour "sauver" sa fille.
Cahiers du Cinéma
Baccalauréat rappelle en permanence les conséquences de ses actes à Romeo, mais montre surtout comment un pays corrompu commence par une triche au plus petit niveau, même par le mieux intentionné des citoyens.
L'Express
Portrait d'un pays bouffé par les abus de pouvoir dont on peut regretter la longueur et le scénario prévisible, le cinéma roumain ayant tendance à beaucoup traiter le sujet. Mais il y a du cinéma.
La Septième Obsession
Le film de Cristian Mungiu, est le point d’orgue d’une année qui a vu une fois encore, mais dans une diversité rarement aussi patente, la consécration d’une nouvelle vague du cinéma roumain.
La Voix du Nord
Dans l’axe de sa caméra : trafic d’influence, lâcheté ordinaire. Et des kilos de dialogues, au cas où la morale de l’histoire nous aurait échappé. Mais surtout un souffle d’espoir en la jeunesse bien décidée, pour l’heure, à sortir du cadre de la photo de famille et à ne pas reproduire les erreurs des parents.
Le Journal du Dimanche
On se sent comme prisonnier de cette fable âpre, paradoxalement haletante mais qui perd parfois son souffle, jamais aimable et pourtant exigeante tant sur la forme que sur le fond.
aVoir-aLire.com
Conte moral hanté par les fantômes du passé, Baccalauréat déploît un scénario implacable. Mais son ossature, trop didactique, peine à captiver.
Libération
Cela pourrait être admirable ou audacieux si le film, sous ses airs contemporains amoraux (l’art subtil de ne pas résoudre les intrigues, de ne pas déplier les non-dits, de laisser parler les situations pour elles-mêmes), ne nous présentait pas comme absolument évidente la frontière entre la corruption et la droiture, la limite entre le bien et le mal.
Transfuge
(...) une copie très scolaire.