Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
38 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Sa deuxième Palme d’or, Ken Loach la mérite largement. Le réalisateur britannique de 80 ans n’a pas perdu la rage de sa jeunesse et le montre avec le bouleversant "Moi, Daniel Blake".
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Un chef d’œuvre. De pureté et de pudeur. Un chef d’œuvre dépouillé, teinté d’une colère glaçante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Une œuvre magnifique et bouleversante. Mise en scène réaliste, plans-séquences énergiques, rythme, dialogues, situations : tout sonne juste.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans cette histoire de gens de peu pris entre l’humiliation, la révolte et la soumission, Ken Loach fait du Ken Loach. À quoi on répondra qu’il a bien raison d’en faire, et plus que jamais, ne serait-ce que pour faire résonner dans la dernière phrase de son film ces mots en péril : un homme, un citoyen…
Le Figaro
par La rédaction
Interprète de Daniel Blake, l'humoriste Dave Johns fait merveilleusement sentir toute une existence dans sa simple présence modeste, pudique, teintée d'un humour sans plainte.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Grégory Valens
Au moment où les alternatives politiques à gauche se rédusent comme peau de chagrin (...), la combativité jamais ébranlée de Loach est plus que jamais nécessaire pour pointer les errements de nos sociétés et guider les citoyens vers un autre monde.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Il y a toujours cette direction d'acteurs de génie qui donne de la dextérité aux non professionnels et une souplesse juvénile aux plus chevronnés. Palme d'or, victime de polémiques stériles, Loach demeure un maître.
Télérama
par Cécile Mury
A 80 ans, Ken Loach n'a pas baissé les armes. Pas encore. Il a gardé intacts sa colère, son empathie, son humanisme. Sourd aux modes et aux postures cyniques, il peint, à nouveau, dans "Moi, Daniel Blake", "son" Angleterre (...) : ce peuple que plus personne, sauf lui, n'appelle la classe ouvrière.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Fadette Drouard
Loach et Laverty sont revenus à une épure salutaire : ils ne font pas de pathos et ils aiment profondément leurs personnages.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Du cinéma comme un cri du coeur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Anne Diatkine
C'est presque trop beau, on peut |uger le film manichéen, les pauvres sont gentils, les travailleurs sociaux pris dans un engrenage qui les force a être inhumains Nous, on voit surtout que Ken Loach ne traite jamais ses personnages avec cynisme ou au second degré 11 nous montre quelque chose qui, soudainement, crevé l'écran et qu'on n'avait pas vu venir Aujourd'hui, la pauvreté et la maladie sont redevenues un péché, comme à l'époque victorienne ll faut se justifier d'y être tombé.
Femme Actuelle
par La rédaction
Un film poignant et élégant sur la solidarité interprété par deux acteurs magnifiques.
Gala
par Amélie de Menou
Si on peut reprocher au réalisateur anglais de rechercher à tout prix les larmes de son audience (et ça marche ! Ceux qui y résistent passeront pour insensibles), on ne peut néanmoins nier son acuité et son ardeur à dénoncer, encore et toujours, le mal social de notre temps. C’est – hélas et tant mieux – ce qu’il sait faire de mieux.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Express
par Eric Libiot
Le réalisateur n'a jamais été aussi précis, aussi direct, aussi simple donc. (...) Ici, il avance sans artifices. Loach semble dépassé par un monde qui broie trop vite, mais il ne s'avoue pas vaincu. Il n'essaie plus de dénoncer, il montre, ce qui est suffisant pour créer de l'empathie et de l'universel.
L'Humanité
par Michaël Melinard
Cette charge virulente contre la privatisation des services publics montre que Loach n'a rien perdu de sa verve dans un cinema dont la mise en scene simple et limpide nourrit la force du temoignage.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
A travers le portrait de Daniel Blake et de sa misère, Ken Loach renoue avec ses ambitions premières : "donner la parole à ceux que l’on n’entend jamais". et il le fait bien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Ici l’épure est totale, à l’image de la bibliothèque que Daniel construit dans l’espoir que Rachel y pose ses livres et reprenne ses études. Un motif tout bête, qui fend le cœur jusqu’au final, terrassant.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Si manichéen et un tantinet démagogique soit le scénario de Paul Laverty guère enclin à s’embarrasser de subtilité et de complexité, il faut reconnaître que la mise en scène, par son énergie et sa sécheresse, a repris du poil de la bête. Rien à reprocher non plus aux acteurs. Tous parfaits, qu’ils soient professionnels ou amateurs.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec deux acteurs exceptionnels, ce film dur et attachant affirme de bout en bout sa rigueur, son humanité, sa vraisemblance, sa pertinence politique.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Un héros ordinaire et magnifique [dans] l’un des plus beaux films de Ken Loach. Une oeuvre d’une rectitude singulière, qui évite la raideur par la vertu de sa profonde humanité.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Phalène de la Valette
Certains voudraient le lui reprocher, arguant, non sans raison, qu'il y a quelque chose du chantage émotionnel dans ce tract cinématographique résolument manichéen, mais ce serait faire à l'artiste le procès de son talent. Ken Loach n'est jamais aussi bon que lorsqu'il laisse vibrer sa conscience. Et la nôtre.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
On retrouve intact le militantisme de Ken Loach, toujours en lutte contre le néo-libéralisme. Une Palme d’or politique et humaniste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par G.K.
Ken Loach offre un nouveau film social coup de poing.
Paris Match
par Yannick Vely
Les qualités de "Moi, Daniel Blake" sont pourtant dans les nuances, quand Ken Loach met en sourdine la colère qui l'anime pour filmer cet homme "extraordinaire" et la solidarité des gens du nord de l’Angleterre pour ceux que le capitalisme a brouillé au point de leur enlever leur identité même.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un grand Ken Loach poignant mais jamais larmoyant. Une Palme d'or méritée.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Palme d'or à Cannes, le nouveau film de Ken Loach évoque le cynisme du système britannique à travers un portrait émouvant.
Télé 2 semaines
par T.C.
Un film fort et juste, palme d'or 2016.
Voici
par La rédaction
Ne pas aimer ce film humaniste serait un peu comme gifler un bébé phoque...
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Ken Loach revient avec un fresque sociale vertigineuse à la Dickens. Qu’elles semblent loin, les velléités de retraite du britannique, lui qui se montre plus révolté que jamais avec Moi, Daniel Blake !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
L’effacement opiniâtre du cinéaste devant son sujet donne parfois l’impression qu’il n’y a personne derrière la caméra (…) Indéniablement il y a quelque chose de touchant dans l’obstination d’un homme qui ne peut se résigner au silence tant que les injustices lui crèvent les yeux
Critikat.com
par Axel Scoffier
Le nouveau film de Loach est (...) bien mené mais sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Le réalisateur a pris une fois encore son bâton de pèlerin pour dénoncer les inégalités sociales. Rien d'original sous le soleil « loachien », mais des personnages attachants.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un film crépusculaire sur la fin d'une époque, qui décrit la disparition programmée de ceux qui ne sont pas viables dans le système. Loach en rajoute des louches dans sa façon de décrire un milieu ouvrier solidaire et ouvert, ou lorsqu'il superpose les couches de malheur pour nous faire pleurer (...) Mais il touche juste dans sa façon de filmer.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Si d'aucuns ont pu déplorer le manichéisme du film, la dénonciation des aberrations de l'administration et la stigmatisation des laissés pour compte visent juste. D'autant qu'elle est servie par une interprétation bouleversante.
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
Malgré son ton didactique et démonstratif, cette tragédie sociale tout en « ligne claire » s’impose comme un jalon à ne pas mésestimer dans l’œuvre de Loach.
Libération
par Didier Péron
"Moi, Daniel Blake" est en route pour un gros succès public. Tout le monde va pleurer, c’est sûr. S’indigner, sans nul doute. On restera, hélas, circonspect sur les retombées concrètes dans la manière dont les gens pensent, agissent et perdurent dans leur habitus social respectif après cette catharsis collective.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
(...) il s'agit tout simplement d'un ratage, un vrai, qui s'inscrit dans la continuité de ce produit le réalisateur anglais depuis une décennie (...).
20 Minutes
Sa deuxième Palme d’or, Ken Loach la mérite largement. Le réalisateur britannique de 80 ans n’a pas perdu la rage de sa jeunesse et le montre avec le bouleversant "Moi, Daniel Blake".
Franceinfo Culture
Un chef d’œuvre. De pureté et de pudeur. Un chef d’œuvre dépouillé, teinté d’une colère glaçante.
La Croix
Une œuvre magnifique et bouleversante. Mise en scène réaliste, plans-séquences énergiques, rythme, dialogues, situations : tout sonne juste.
Le Dauphiné Libéré
Dans cette histoire de gens de peu pris entre l’humiliation, la révolte et la soumission, Ken Loach fait du Ken Loach. À quoi on répondra qu’il a bien raison d’en faire, et plus que jamais, ne serait-ce que pour faire résonner dans la dernière phrase de son film ces mots en péril : un homme, un citoyen…
Le Figaro
Interprète de Daniel Blake, l'humoriste Dave Johns fait merveilleusement sentir toute une existence dans sa simple présence modeste, pudique, teintée d'un humour sans plainte.
Positif
Au moment où les alternatives politiques à gauche se rédusent comme peau de chagrin (...), la combativité jamais ébranlée de Loach est plus que jamais nécessaire pour pointer les errements de nos sociétés et guider les citoyens vers un autre monde.
Transfuge
Il y a toujours cette direction d'acteurs de génie qui donne de la dextérité aux non professionnels et une souplesse juvénile aux plus chevronnés. Palme d'or, victime de polémiques stériles, Loach demeure un maître.
Télérama
A 80 ans, Ken Loach n'a pas baissé les armes. Pas encore. Il a gardé intacts sa colère, son empathie, son humanisme. Sourd aux modes et aux postures cyniques, il peint, à nouveau, dans "Moi, Daniel Blake", "son" Angleterre (...) : ce peuple que plus personne, sauf lui, n'appelle la classe ouvrière.
Bande à part
Loach et Laverty sont revenus à une épure salutaire : ils ne font pas de pathos et ils aiment profondément leurs personnages.
CinemaTeaser
Du cinéma comme un cri du coeur.
Elle
C'est presque trop beau, on peut |uger le film manichéen, les pauvres sont gentils, les travailleurs sociaux pris dans un engrenage qui les force a être inhumains Nous, on voit surtout que Ken Loach ne traite jamais ses personnages avec cynisme ou au second degré 11 nous montre quelque chose qui, soudainement, crevé l'écran et qu'on n'avait pas vu venir Aujourd'hui, la pauvreté et la maladie sont redevenues un péché, comme à l'époque victorienne ll faut se justifier d'y être tombé.
Femme Actuelle
Un film poignant et élégant sur la solidarité interprété par deux acteurs magnifiques.
Gala
Si on peut reprocher au réalisateur anglais de rechercher à tout prix les larmes de son audience (et ça marche ! Ceux qui y résistent passeront pour insensibles), on ne peut néanmoins nier son acuité et son ardeur à dénoncer, encore et toujours, le mal social de notre temps. C’est – hélas et tant mieux – ce qu’il sait faire de mieux.
L'Express
Le réalisateur n'a jamais été aussi précis, aussi direct, aussi simple donc. (...) Ici, il avance sans artifices. Loach semble dépassé par un monde qui broie trop vite, mais il ne s'avoue pas vaincu. Il n'essaie plus de dénoncer, il montre, ce qui est suffisant pour créer de l'empathie et de l'universel.
L'Humanité
Cette charge virulente contre la privatisation des services publics montre que Loach n'a rien perdu de sa verve dans un cinema dont la mise en scene simple et limpide nourrit la force du temoignage.
L'Obs
A travers le portrait de Daniel Blake et de sa misère, Ken Loach renoue avec ses ambitions premières : "donner la parole à ceux que l’on n’entend jamais". et il le fait bien.
LCI
Ici l’épure est totale, à l’image de la bibliothèque que Daniel construit dans l’espoir que Rachel y pose ses livres et reprenne ses études. Un motif tout bête, qui fend le cœur jusqu’au final, terrassant.
La Voix du Nord
Si manichéen et un tantinet démagogique soit le scénario de Paul Laverty guère enclin à s’embarrasser de subtilité et de complexité, il faut reconnaître que la mise en scène, par son énergie et sa sécheresse, a repris du poil de la bête. Rien à reprocher non plus aux acteurs. Tous parfaits, qu’ils soient professionnels ou amateurs.
Le Journal du Dimanche
Avec deux acteurs exceptionnels, ce film dur et attachant affirme de bout en bout sa rigueur, son humanité, sa vraisemblance, sa pertinence politique.
Le Monde
Un héros ordinaire et magnifique [dans] l’un des plus beaux films de Ken Loach. Une oeuvre d’une rectitude singulière, qui évite la raideur par la vertu de sa profonde humanité.
Le Parisien
Bouleversant.
Le Point
Certains voudraient le lui reprocher, arguant, non sans raison, qu'il y a quelque chose du chantage émotionnel dans ce tract cinématographique résolument manichéen, mais ce serait faire à l'artiste le procès de son talent. Ken Loach n'est jamais aussi bon que lorsqu'il laisse vibrer sa conscience. Et la nôtre.
Les Fiches du Cinéma
On retrouve intact le militantisme de Ken Loach, toujours en lutte contre le néo-libéralisme. Une Palme d’or politique et humaniste.
Ouest France
Ken Loach offre un nouveau film social coup de poing.
Paris Match
Les qualités de "Moi, Daniel Blake" sont pourtant dans les nuances, quand Ken Loach met en sourdine la colère qui l'anime pour filmer cet homme "extraordinaire" et la solidarité des gens du nord de l’Angleterre pour ceux que le capitalisme a brouillé au point de leur enlever leur identité même.
Studio Ciné Live
Un grand Ken Loach poignant mais jamais larmoyant. Une Palme d'or méritée.
Sud Ouest
Palme d'or à Cannes, le nouveau film de Ken Loach évoque le cynisme du système britannique à travers un portrait émouvant.
Télé 2 semaines
Un film fort et juste, palme d'or 2016.
Voici
Ne pas aimer ce film humaniste serait un peu comme gifler un bébé phoque...
aVoir-aLire.com
Ken Loach revient avec un fresque sociale vertigineuse à la Dickens. Qu’elles semblent loin, les velléités de retraite du britannique, lui qui se montre plus révolté que jamais avec Moi, Daniel Blake !
Cahiers du Cinéma
L’effacement opiniâtre du cinéaste devant son sujet donne parfois l’impression qu’il n’y a personne derrière la caméra (…) Indéniablement il y a quelque chose de touchant dans l’obstination d’un homme qui ne peut se résigner au silence tant que les injustices lui crèvent les yeux
Critikat.com
Le nouveau film de Loach est (...) bien mené mais sans surprise.
Le Figaroscope
Le réalisateur a pris une fois encore son bâton de pèlerin pour dénoncer les inégalités sociales. Rien d'original sous le soleil « loachien », mais des personnages attachants.
Les Inrockuptibles
Un film crépusculaire sur la fin d'une époque, qui décrit la disparition programmée de ceux qui ne sont pas viables dans le système. Loach en rajoute des louches dans sa façon de décrire un milieu ouvrier solidaire et ouvert, ou lorsqu'il superpose les couches de malheur pour nous faire pleurer (...) Mais il touche juste dans sa façon de filmer.
Télé 7 Jours
Si d'aucuns ont pu déplorer le manichéisme du film, la dénonciation des aberrations de l'administration et la stigmatisation des laissés pour compte visent juste. D'autant qu'elle est servie par une interprétation bouleversante.
La Septième Obsession
Malgré son ton didactique et démonstratif, cette tragédie sociale tout en « ligne claire » s’impose comme un jalon à ne pas mésestimer dans l’œuvre de Loach.
Libération
"Moi, Daniel Blake" est en route pour un gros succès public. Tout le monde va pleurer, c’est sûr. S’indigner, sans nul doute. On restera, hélas, circonspect sur les retombées concrètes dans la manière dont les gens pensent, agissent et perdurent dans leur habitus social respectif après cette catharsis collective.
Première
(...) il s'agit tout simplement d'un ratage, un vrai, qui s'inscrit dans la continuité de ce produit le réalisateur anglais depuis une décennie (...).