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    Moi, Daniel Blake
    Note moyenne
    3,9
    38 titres de presse
    • 20 Minutes
    • Franceinfo Culture
    • La Croix
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Figaro
    • Positif
    • Transfuge
    • Télérama
    • Bande à part
    • CinemaTeaser
    • Elle
    • Femme Actuelle
    • Gala
    • L'Express
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • LCI
    • La Voix du Nord
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Le Point
    • Les Fiches du Cinéma
    • Ouest France
    • Paris Match
    • Studio Ciné Live
    • Sud Ouest
    • Télé 2 semaines
    • Voici
    • aVoir-aLire.com
    • Cahiers du Cinéma
    • Critikat.com
    • Le Figaroscope
    • Les Inrockuptibles
    • Télé 7 Jours
    • La Septième Obsession
    • Libération
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    38 critiques presse

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    Sa deuxième Palme d’or, Ken Loach la mérite largement. Le réalisateur britannique de 80 ans n’a pas perdu la rage de sa jeunesse et le montre avec le bouleversant "Moi, Daniel Blake".

    Franceinfo Culture

    par Boris Courret

    Un chef d’œuvre. De pureté et de pudeur. Un chef d’œuvre dépouillé, teinté d’une colère glaçante.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    La Croix

    par Jean-Claude Raspiengeas

    Une œuvre magnifique et bouleversante. Mise en scène réaliste, plans-séquences énergiques, rythme, dialogues, situations : tout sonne juste.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Dans cette histoire de gens de peu pris entre l’humiliation, la révolte et la soumission, Ken Loach fait du Ken Loach. À quoi on répondra qu’il a bien raison d’en faire, et plus que jamais, ne serait-ce que pour faire résonner dans la dernière phrase de son film ces mots en péril : un homme, un citoyen…

    Le Figaro

    par La rédaction

    Interprète de Daniel Blake, l'humoriste Dave Johns fait merveilleusement sentir toute une existence dans sa simple présence modeste, pudique, teintée d'un humour sans plainte.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Positif

    par Grégory Valens

    Au moment où les alternatives politiques à gauche se rédusent comme peau de chagrin (...), la combativité jamais ébranlée de Loach est plus que jamais nécessaire pour pointer les errements de nos sociétés et guider les citoyens vers un autre monde.

    Transfuge

    par Frédéric Mercier

    Il y a toujours cette direction d'acteurs de génie qui donne de la dextérité aux non professionnels et une souplesse juvénile aux plus chevronnés. Palme d'or, victime de polémiques stériles, Loach demeure un maître.

    Télérama

    par Cécile Mury

    A 80 ans, Ken Loach n'a pas baissé les armes. Pas encore. Il a gardé intacts sa colère, son empathie, son humanisme. Sourd aux modes et aux postures cyniques, il peint, à nouveau, dans "Moi, Daniel Blake", "son" Angleterre (...) : ce peuple que plus personne, sauf lui, n'appelle la classe ouvrière.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Bande à part

    par Fadette Drouard

    Loach et Laverty sont revenus à une épure salutaire : ils ne font pas de pathos et ils aiment profondément leurs personnages.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    CinemaTeaser

    par Emmanuelle Spadacenta

    Du cinéma comme un cri du coeur.

    La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

    Elle

    par Anne Diatkine

    C'est presque trop beau, on peut |uger le film manichéen, les pauvres sont gentils, les travailleurs sociaux pris dans un engrenage qui les force a être inhumains Nous, on voit surtout que Ken Loach ne traite jamais ses personnages avec cynisme ou au second degré 11 nous montre quelque chose qui, soudainement, crevé l'écran et qu'on n'avait pas vu venir Aujourd'hui, la pauvreté et la maladie sont redevenues un péché, comme à l'époque victorienne ll faut se justifier d'y être tombé.

    Femme Actuelle

    par La rédaction

    Un film poignant et élégant sur la solidarité interprété par deux acteurs magnifiques.

    Gala

    par Amélie de Menou

    Si on peut repro­cher au réali­sa­teur anglais de recher­cher à tout prix les larmes de son audience (et ça marche ! Ceux qui y résistent passe­ront pour insen­sibles), on ne peut néan­moins nier son acuité et son ardeur à dénon­cer, encore et toujours, le mal social de notre temps. C’est – hélas et tant mieux – ce qu’il sait faire de mieux.

    La critique complète est disponible sur le site Gala

    L'Express

    par Eric Libiot

    Le réalisateur n'a jamais été aussi précis, aussi direct, aussi simple donc. (...) Ici, il avance sans artifices. Loach semble dépassé par un monde qui broie trop vite, mais il ne s'avoue pas vaincu. Il n'essaie plus de dénoncer, il montre, ce qui est suffisant pour créer de l'empathie et de l'universel.

    L'Humanité

    par Michaël Melinard

    Cette charge virulente contre la privatisation des services publics montre que Loach n'a rien perdu de sa verve dans un cinema dont la mise en scene simple et limpide nourrit la force du temoignage.

    L'Obs

    par Pascal Mérigeau

    A travers le portrait de Daniel Blake et de sa misère, Ken Loach renoue avec ses ambitions premières : "donner la parole à ceux que l’on n’entend jamais". et il le fait bien.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    LCI

    par Jérôme Vermelin

    Ici l’épure est totale, à l’image de la bibliothèque que Daniel construit dans l’espoir que Rachel y pose ses livres et reprenne ses études. Un motif tout bête, qui fend le cœur jusqu’au final, terrassant.

    La Voix du Nord

    par Philippe Lagouche

    Si manichéen et un tantinet démagogique soit le scénario de Paul Laverty guère enclin à s’embarrasser de subtilité et de complexité, il faut reconnaître que la mise en scène, par son énergie et sa sécheresse, a repris du poil de la bête. Rien à reprocher non plus aux acteurs. Tous parfaits, qu’ils soient professionnels ou amateurs.

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Avec deux acteurs exceptionnels, ce film dur et attachant affirme de bout en bout sa rigueur, son humanité, sa vraisemblance, sa pertinence politique.

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    Un héros ordinaire et magnifique [dans] l’un des plus beaux films de Ken Loach. Une oeuvre d’une rectitude singulière, qui évite la raideur par la vertu de sa profonde humanité.

    Le Parisien

    par Pierre Vavasseur

    Bouleversant.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Le Point

    par Phalène de la Valette

    Certains voudraient le lui reprocher, arguant, non sans raison, qu'il y a quelque chose du chantage émotionnel dans ce tract cinématographique résolument manichéen, mais ce serait faire à l'artiste le procès de son talent. Ken Loach n'est jamais aussi bon que lorsqu'il laisse vibrer sa conscience. Et la nôtre.

    Les Fiches du Cinéma

    par Marguerite Debiesse

    On retrouve intact le militantisme de Ken Loach, toujours en lutte contre le néo-libéralisme. Une Palme d’or politique et humaniste.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Ouest France

    par G.K.

    Ken Loach offre un nouveau film social coup de poing.

    Paris Match

    par Yannick Vely

    Les qualités de "Moi, Daniel Blake" sont pourtant dans les nuances, quand Ken Loach met en sourdine la colère qui l'anime pour filmer cet homme "extraordinaire" et la solidarité des gens du nord de l’Angleterre pour ceux que le capitalisme a brouillé au point de leur enlever leur identité même.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Studio Ciné Live

    par Thierry Cheze

    Un grand Ken Loach poignant mais jamais larmoyant. Une Palme d'or méritée.

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Palme d'or à Cannes, le nouveau film de Ken Loach évoque le cynisme du système britannique à travers un portrait émouvant.

    Télé 2 semaines

    par T.C.

    Un film fort et juste, palme d'or 2016.

    Voici

    par La rédaction

    Ne pas aimer ce film humaniste serait un peu comme gifler un bébé phoque...

    aVoir-aLire.com

    par Alexandre Jourdain

    Ken Loach revient avec un fresque sociale vertigineuse à la Dickens. Qu’elles semblent loin, les velléités de retraite du britannique, lui qui se montre plus révolté que jamais avec Moi, Daniel Blake !

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Cahiers du Cinéma

    par Louis Séguin

    L’effacement opiniâtre du cinéaste devant son sujet donne parfois l’impression qu’il n’y a personne derrière la caméra (…) Indéniablement il y a quelque chose de touchant dans l’obstination d’un homme qui ne peut se résigner au silence tant que les injustices lui crèvent les yeux

    Critikat.com

    par Axel Scoffier

    Le nouveau film de Loach est (...) bien mené mais sans surprise.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Le Figaroscope

    par Nathalie Simon

    Le réalisateur a pris une fois encore son bâton de pèlerin pour dénoncer les inégalités sociales. Rien d'original sous le soleil « loachien », mais des personnages attachants.

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    Un film crépusculaire sur la fin d'une époque, qui décrit la disparition programmée de ceux qui ne sont pas viables dans le système. Loach en rajoute des louches dans sa façon de décrire un milieu ouvrier solidaire et ouvert, ou lorsqu'il superpose les couches de malheur pour nous faire pleurer (...) Mais il touche juste dans sa façon de filmer.

    Télé 7 Jours

    par Philippe Ross

    Si d'aucuns ont pu déplorer le manichéisme du film, la dénonciation des aberrations de l'administration et la stigmatisation des laissés pour compte visent juste. D'autant qu'elle est servie par une interprétation bouleversante.

    La Septième Obsession

    par Alexandre Jourdain

    Malgré son ton didactique et démonstratif, cette tragédie sociale tout en « ligne claire » s’impose comme un jalon à ne pas mésestimer dans l’œuvre de Loach.

    Libération

    par Didier Péron

    "Moi, Daniel Blake" est en route pour un gros succès public. Tout le monde va pleurer, c’est sûr. S’indigner, sans nul doute. On restera, hélas, circonspect sur les retombées concrètes dans la manière dont les gens pensent, agissent et perdurent dans leur habitus social respectif après cette catharsis collective.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Première

    par Christophe Narbonne

    (...) il s'agit tout simplement d'un ratage, un vrai, qui s'inscrit dans la continuité de ce produit le réalisateur anglais depuis une décennie (...).

    Les meilleurs films de tous les temps
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