Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Télérama
par Jacques Morice
Le film est ample car il englobe des choses éternelles. Tout un héritage de violence ancestrale et de vendetta, de codes d'honneur et de malédictions.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Nicola Brarda
Le réalisateur s'écarte donc de la reconstitution historique pour donner lieu à une réévocation, plongeant tant le spectateur néophyte que celui mieux informé dans le climat d'une époque.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Après les "Apaches" (...), Thierry de Peretti revient avec un film coup-de-poing absolument nécessaire, à mi-chemin entre le film d’action et le documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Mehdi Weber
Saisissant et touchant, "Une vie violente" est avant tout un film sincère et humaniste, qui aborde sans concessions la spirale tragique de la radicalisation.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par A.L.F.
Jamais didactique, puisqu'"Une vie violente" est un film de cinéma envoûtant, servi par une photographie en clair-obscur qui renforce la dimension funèbre du récit.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Avec ce beau film, fier et douloureux, Thierry de Peretti ravive la mémoire d’une génération sacrifiée, la sienne.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Anti-spectaculaire mais d'un réalisme qui fait froid dans le dos, "Une vie violente" agit comme un poison lent : on met du temps à en saisir le goût, à en déceler la portée, et le moment venu, il a déjà fait son effet.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Sans se reposer sur les assises du documentaire, le film déploie au contraire des linéaments de fiction, donnant à ces événements, jusqu’ici largement compressés par l’appareil médiatique, un véritable souffle.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
L’intro est ratée, la chute parfaite. Hormis quelques spasmes d’action sèche, le récit comporte davantage de creux que de pleins. La vie quotidienne s’invite à chaque instant. Les acteurs, tous inconnus, sont troublants de vérité, jamais pontifiants. Fiers et farouches artisans de cette passionnante ode funèbre à une génération perdue.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film qui retrace l’itinéraire d’une jeunesse corse engagée, dans la décennie 1990, dans un combat douteux : entre vérité du document et justesse de la fiction, un film qui, sous l’analyse politique des dérives et des violences du nationalisme, fait entendre aussi le poids immémorial de la tragédie, toujours recommencée.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Thierry de Peretti fait de la violence politique et criminelle en Corse une remarquable tragédie intime.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce film brut, nerveux, aux accents de thriller, explore également en arrière-fond la place des femmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Par son ambition de grande fresque tragique, sa narration riche et équilibrée, loin de la sauvagerie du coup d’essai ; et bien sûr par son sujet, puisque le film (…) narre rien de moins que le nationalisme, par le biais de la vie d’un militant d’extrême gauche fatalement connecté au banditisme, aux vendettas idiotes et au risque d’une mort brutale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
L’une des qualités du film est d’être très ancré dans la réalité corse, ses paysages, sa lumière, sa langue, ses accents, et bien sûr les mécanismes sociaux et culturels qui ont engendré les dérives évoquées ici.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Christophe Narbonne
Entre "Le Parrain", pour la vie des gangsters de l'intérieur, et "Gomorra", pour la vision du microcosme qu'il décrit, restitué dans un contexte national, "Une vie violente" donne à réfléchir sur toutes les formes d'embrigadement.
Première
par Eric Vernay
De ce minimalisme brut émane une complexité historique organique, à l’éloquence documentaire, conférant au film de gangster attendu son vibrant négatif.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
On se sent parfois perdu dans ce récit. C'est bon signe. Car cela prouve qu'on le suit dans la tête de son héros, lui-même dépassé par les changements constants d'alliance au sein d'une fresque tout à la fois politique et intime sans vraiment d'équivalent dans le jeune cinéma français d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Figaro
par La Rédaction
Si les personnages sont crédibles, les enjeux politiques manquent de lisibilité et la mise en scène de l'aspect criminel manque de nerf.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Certes, "Une vie violente", avec ses longues conversations, ses séquences qui s’étirent, son souci du détail, nous égare parfois dans un flot d’informations, mais le réalisateur parvient à développer un récit prenant, brutal et romanesque sans céder à la surenchère ni aux artifices.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Le deuxième long métrage de Thierry de Peretti, chronique historique à la fois ample et intimiste, croque le portrait d’une génération sacrifiée.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Une vie violente déçoit à hauteur de ce qu’il porte malgré tout en lui.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le jeu incertain de nombreux acteurs, les tirades de propagande nationaliste ânonnées, l’absence de personnages sympathiques laissent au large de cette histoire qui concerne pourtant chacun de nous.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Trop de séquences de bagarre, de tensions, de cris, pas assez de scènes intimes pour développer suffisamment les personnages et encore moins de véritables réflexions psychologiques, philosophiques ou politiques suffisamment pertinentes pour faire d’Une vie violente un grand film social.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Télérama
Le film est ample car il englobe des choses éternelles. Tout un héritage de violence ancestrale et de vendetta, de codes d'honneur et de malédictions.
Critikat.com
Le réalisateur s'écarte donc de la reconstitution historique pour donner lieu à une réévocation, plongeant tant le spectateur néophyte que celui mieux informé dans le climat d'une époque.
Culturopoing.com
Après les "Apaches" (...), Thierry de Peretti revient avec un film coup-de-poing absolument nécessaire, à mi-chemin entre le film d’action et le documentaire.
Franceinfo Culture
Saisissant et touchant, "Une vie violente" est avant tout un film sincère et humaniste, qui aborde sans concessions la spirale tragique de la radicalisation.
L'Express
Jamais didactique, puisqu'"Une vie violente" est un film de cinéma envoûtant, servi par une photographie en clair-obscur qui renforce la dimension funèbre du récit.
L'Humanité
Avec ce beau film, fier et douloureux, Thierry de Peretti ravive la mémoire d’une génération sacrifiée, la sienne.
L'Obs
Anti-spectaculaire mais d'un réalisme qui fait froid dans le dos, "Une vie violente" agit comme un poison lent : on met du temps à en saisir le goût, à en déceler la portée, et le moment venu, il a déjà fait son effet.
La Septième Obsession
Sans se reposer sur les assises du documentaire, le film déploie au contraire des linéaments de fiction, donnant à ces événements, jusqu’ici largement compressés par l’appareil médiatique, un véritable souffle.
La Voix du Nord
L’intro est ratée, la chute parfaite. Hormis quelques spasmes d’action sèche, le récit comporte davantage de creux que de pleins. La vie quotidienne s’invite à chaque instant. Les acteurs, tous inconnus, sont troublants de vérité, jamais pontifiants. Fiers et farouches artisans de cette passionnante ode funèbre à une génération perdue.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui retrace l’itinéraire d’une jeunesse corse engagée, dans la décennie 1990, dans un combat douteux : entre vérité du document et justesse de la fiction, un film qui, sous l’analyse politique des dérives et des violences du nationalisme, fait entendre aussi le poids immémorial de la tragédie, toujours recommencée.
Le Monde
Thierry de Peretti fait de la violence politique et criminelle en Corse une remarquable tragédie intime.
Le Parisien
Ce film brut, nerveux, aux accents de thriller, explore également en arrière-fond la place des femmes.
Les Inrockuptibles
Par son ambition de grande fresque tragique, sa narration riche et équilibrée, loin de la sauvagerie du coup d’essai ; et bien sûr par son sujet, puisque le film (…) narre rien de moins que le nationalisme, par le biais de la vie d’un militant d’extrême gauche fatalement connecté au banditisme, aux vendettas idiotes et au risque d’une mort brutale.
Libération
L’une des qualités du film est d’être très ancré dans la réalité corse, ses paysages, sa lumière, sa langue, ses accents, et bien sûr les mécanismes sociaux et culturels qui ont engendré les dérives évoquées ici.
Ouest France
Entre "Le Parrain", pour la vie des gangsters de l'intérieur, et "Gomorra", pour la vision du microcosme qu'il décrit, restitué dans un contexte national, "Une vie violente" donne à réfléchir sur toutes les formes d'embrigadement.
Première
De ce minimalisme brut émane une complexité historique organique, à l’éloquence documentaire, conférant au film de gangster attendu son vibrant négatif.
Studio Ciné Live
On se sent parfois perdu dans ce récit. C'est bon signe. Car cela prouve qu'on le suit dans la tête de son héros, lui-même dépassé par les changements constants d'alliance au sein d'une fresque tout à la fois politique et intime sans vraiment d'équivalent dans le jeune cinéma français d'aujourd'hui.
Le Figaro
Si les personnages sont crédibles, les enjeux politiques manquent de lisibilité et la mise en scène de l'aspect criminel manque de nerf.
Le Journal du Dimanche
Certes, "Une vie violente", avec ses longues conversations, ses séquences qui s’étirent, son souci du détail, nous égare parfois dans un flot d’informations, mais le réalisateur parvient à développer un récit prenant, brutal et romanesque sans céder à la surenchère ni aux artifices.
Les Fiches du Cinéma
Le deuxième long métrage de Thierry de Peretti, chronique historique à la fois ample et intimiste, croque le portrait d’une génération sacrifiée.
Cahiers du Cinéma
Une vie violente déçoit à hauteur de ce qu’il porte malgré tout en lui.
La Croix
Le jeu incertain de nombreux acteurs, les tirades de propagande nationaliste ânonnées, l’absence de personnages sympathiques laissent au large de cette histoire qui concerne pourtant chacun de nous.
aVoir-aLire.com
Trop de séquences de bagarre, de tensions, de cris, pas assez de scènes intimes pour développer suffisamment les personnages et encore moins de véritables réflexions psychologiques, philosophiques ou politiques suffisamment pertinentes pour faire d’Une vie violente un grand film social.