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    L'Île aux chiens
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    Steed
    Steed

    5 abonnés 155 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mai 2018
    Histoire qui sort de l'ordinaire (il y a du message si on y regarde de plus prêt), et le tout filmé en stop-motion. Ne pas hésiter à le voir ! (y compris Fantastic Mr. Fox du même réalisateur, non moins excellent) Et sinon il faut le faire tout de même: l'Île aux chiens n'a pas rapporté un os ou un bâton, mais un ours (d'argent au Festival de Berlin) à son réalisateur.
    Barry.L
    Barry.L

    33 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mai 2018
    Après le foutraque mais réussi ''Grand Budapest Hotel'', Wes Anderson revient avec un film d'animation en stop motion. Genre dont il avait déjà tâté avec ''Fantastic Mr. Fox'' en 2009. ''L'île aux chiens'' en plus d'un chaleureux accueil critique et public a reçu l'Ours d'argent du meilleur réalisateur. Accueil peut-être un peu trop excessif pour ce talentieux mais (un peu) surestimé Wes Anderson.

    L'intrigue prend place dans un Japon futuriste. Face à la propagation d'une grippe canine, le maire de Megasaki, Kobayashi ordonne que les chiens soient bannis et exilés sur une île décharge. Six mois plus tard, Atari Kobayashi, le neveu et pupille du maire se rend secrètement sur l'île pour retrouver Spots, son chien garde du corps. Il va croiser sur sa route les chiens dociles Rex, King, Duke, Boss et un chien errant Chief. Ces derniers décident de lui venir en aide pour retrouver Spots.

    C'est globalement un film qui plaira aux fans de Wes Anderson. On retrouve sa patte si particulière, l'humour si élégant et décalé qu'on voit assez peu aujourd'hui (et qu'on peut rapprocher de l'humour d'un... Luis Bunuel!). On retrouve aussi -et c'est le plus grand atout de cette ''îe aux chiens''- les dialogues absolument brillants d'Anderson qui, comme souvent, se paye le luxe d'un casting affolant (on aime les listes, donc en VO : Bryan Cranston, Edward Norton, Bill Muray, Jeff Goldblum, Bob Balaban, Liev Schreiber, Greta Gerwig, Frances McDormand, Scarlett Johansson, Harvey Keitel, F. Murray Abraham, Tilda Swinton et même Yoko Ono ; dans le genre name dropping, seul ''Avengers : Infinity War'' peut en 2018 rivaliser avec ''L'île aux chiens''!). Une chose toutefois, pourra surprendre : c'est à quel point ''L'île aux chiens'' est un film politique. C'est sans doute une première chez Wes Anderson. Il présente ainsi un Etat qui, sous couvert d'être une démocratie est en réalité une véritable dictature (le maire est élu avec un score aberrant, on laisse parler les personnalités hostiles au pouvoir pour mieux les assassiner par la suite... tout cela est proche de la Russie d'un Vladimir Poutine). De plus, la manière dont les chiens sont mis au ban de la société et exilés sur île décharge raisonne avec la situation actuelle. Celle des migrants qui avec l'émergence des nationalismes ont de moins en moins d'échappatoire. Cette impression est renforcée quand on connaît le court-métrage de Serge Avédikian ''Chienne d'histoire''. Dans ce film glaçant, l'histoire était très proche de celle de ''L'île aux chiens''. Les parallèles avec l'immigration étaient encore plus évidents avec ce film (qui avait reçu la Palme d'or du cout-métrage en 2009). ''l'île aux chiens'' bien que souvent léger cache un fond bien sombre, voire glauque. Plus sombre en tout cas que ne l'était ''Fantatic Mr. Fox''.

    Mais des problèmes peuvent être relevés. D'abord la fin est beaucoup trop expédiée et classique (ce qui est gênant pour un auteur comme Wes Anderson qui est tout sauf classique). Mais le bémol ultime est le même que celui de ''Fantastic Mr. Fox''. Le gros problème de ces deux films, c'est sans conteste l'animation. On peut en effet rester de marbre devant le stop motion. L'animation propose en général au spectateur de pénétrer dans un univers totalement différent du nôtre. Et si l'esthétisme du stop motion est ''originale'', cette dernière ne permet nullement au spectateur de pénétrer dans l'univers proposé. L'animation doit créer des émotions inédites (qu'on ne trouverait pas dans un film avec des acteurs en chairs et en os) mais en nous faisant oublier qu'on est devant des dessins ou objets animés. Et le stop motion met en avant toute son artificialité. Il est donc délicat d'entrer dans ce monde car on voit davantage les composants des personnages que les personnages eux-mêmes. On sait et on sent tout du long que ce qu'on a sous les yeux est faux. Anderson, puisqu'il dit avoir voulu rendre hommage au cinéma nippon, aurait du adopter le style des films d'animation japonais (où la beauté des protagonistes favorise plus aisément l'entrée des spectateurs dans l'univers proposé).

    Le talent certain de Wes Anderson et son fourmillement d'idées viennent se heurter à l'animation en stop motion, assez laide. Dès lors, ''L'île aux chiens'' devient un film plus susceptible d'être admiré qu'apprécié.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 mai 2018
    En sortant de la salle, je ne savais pas si j'avais aimé le film ou pas. J'ai passé un relativement bon moment, je n'ai jamais été vraiment saisi mais je n'ai jamais été vraiment lassé. Au début on introduit les personnages et ils sont cools ! Ils sont intéressants et assez marrants. J'ai vraiment accroché avec le style graphique et les idées de mise en scène qui sont nombreuses et originales. On sent monter une tension car le gouvernement veut clairement éradiquer tous les chiens, au prix de certaines actions... peu éthiques. Le héros Atari est très déterminé, mais on comprend dans certaines scènes qu'il reste humain, en se laissant distraire par des futilités, ce qui le rend encore plus attachant. Le fait que les personnages humains ne s'expriment qu'en japonais (des fois traduit par une machine ou une personne) montre la difficulté de compréhension entre les chiens et Atari, ce qui est un pari assez risqué, mais qui rend très bien à l'écran. Plus les héros approchent du but, plus les méchants utilisent des méthodes peu orthodoxes pour arriver à leurs fins. L'ambiance devient de plus en plus anxiogène, et on a un climax pour moi très réussi. Le film est génial en fait ! 5/5 ! Mais attends film, où voulait-tu m'emmener en fait ? J'ai compris une espèce de morale comme quoi la fausse propagande c'est pas bien, mais c'est tout ? Bien que j'ai vu le film une semaine avant d'écrire cette critique, je ne suis pas sûr d'avoir compris la fin du film. Si la morale est celle exposée plus tôt, elle arrive de façon bien trop implicite et ne va donc pas vraiment en profondeur ?! Mais je pense être simplement trop inintelligent (j'adore ce mot) pour ce film finalement. Un film à regarder sans trop y cherhcer de message donc.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 mai 2018
    Un film relevant plus souvent du délire de génie du stop Motion qu’autre chose. La photographie est excellente, l’animation est absolument remarquable, nous offrant des séquences sublimes (la préparation des sushis, par exemple, est somptueuse ), dissimulant un scénario assez inintéressant et tombant vite dans des clichés ou des incohérences. Wes Anderson oblige, les personnages sont attachants (mais moins que dans ses autres films) ,mais au final...assez creux.C’est dommage...
    orlandolove
    orlandolove

    137 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2018
    J'ai toujours apprécié l'univers de Wes Anderson, mais avec une réserve, la construction millimitrée de ses films ayant souvent tendance à brider les ressentis. L'utlisation de l'animation semble libérer le réalisateur de cette difficulté. Très riche visuellement (en même temps d'une originalité réjouissante), "l'Ile aux chiens" délivre également de belles émotions.
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    24 abonnés 885 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2018
    L'univers visuel est original et agréable. Le scénario est intéressant. Mais quelques facilités dans le récit et une fin faiblarde (c'est souvent un problème pour Wes Anderson que de faire tenir dans la durée ses films) entament un peu le plaisir.
    Cinephille
    Cinephille

    160 abonnés 628 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 avril 2018
    Au début on est bluffé par la créativité et la précision de Wes Anderson, et puis....le temps passe, le scénario ne justifie aucunement la durée du film, la deuxième partie devient répétitive. On se félicite de ne pas avoir amené d'enfants qui auraient fini par dormir ou ronchonner. Bien évidemment on comprend toutes les allégories, mais des allégories n'ont jamais fait un film passionnant. Encore un film dont il aurait fallu couper au moins une demi-heure. Dommage.
    Cine vu
    Cine vu

    147 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2018
    Au delà d’un conflit.

    Un portait de famille confronté au deuil. L’histoire se compose en trois tableaux .

    Première partie : L’arrivée soudaine de l’armée israélienne pour annoncer à Michael et Dafna, la mort de leur fils Jonathan, jeune soldat de 19 ans.
    Puis en plan rapproché la douleur du père, que l’on va suivre dans l’appartement. Sous le choc il est désorienté, mais la colère prend le dessus.
    Sa femme, sous sédatif, s’abrite dans le sommeil.

    Lior Ashkenazi est saisissant et multiple, une performance incroyable qui nous renverse.
    Seulement l’armée s’est trompée de soldat et Michael exige le retour, immédiat de son fils.

    Deuxième partie : On rejoint quatre jeunes soldats postés au poste frontière entre Palestine et Israël. Ils sont chargés de vérifier chaque véhicule de passage. En plein désert quatre jeunes hommes à peine sortie de l’enfance, qui s’ennuient écrasés sous le soleil, parfois la barrière se lève, non pour faire passer un ange mais un dromadaire.

    Le cadre est surprenant, une zone sinistrée, un van déglingué, un parasol au-dessus du poste de garde et une chambre en tôle qui bascule dans la boue. Les gamins laissent passer le temps, dansent, se racontent des histoires et se relayent par deux pour assurer les gardes.
    Une ambiance particulière où quelques voitures vont passer et chacune est une histoire dans l’histoire. Les lampes torches, la tension palpable, les palestiniens angoissés et les jeunes soldats trop inexpérimentés pour affronter un vrai conflit.

    Un terrain de jeux dangereux où peut se jouer le pire. On va croiser trois voitures et chacune avec des passagers désorientés par la violence de ce conflit sans fin.

    Un couple sans histoire passera sans trop de difficulté, puis un deuxième.
    Là, les soldats inquiets font sortir le couple, la femme, vêtue comme pour un mariage, va rester sous la pluie, humiliée, en attendant l’autorisation. Cette scène est bouleversante, son désespoir est poignant mais d’un regard son mari va tenter de la rassurer, c’est dans le non dit que le scénario est le plus parlant.
    La troisième voiture transporte de jeunes palestiniens joyeux et insolents, mais un malentendu va déclencher le pire. Jonathan est sous le charme de la jeune femme dans la voiture et d’un regard il est amoureux. Ce gosse est plein d’imaginaire, il raconte en dessins l’histoire de sa famille et de son père, c’est cocasse et triste.

    Troisième partie, nous voilà de retour dans l’appartement à Tel Aviv. Michael et Dafna semblent s’être séparés et le chagrin est présent. Une confrontation avec une complicité remplie de tendresse où le couple se dévoile enfin.

    Tout est parfait : la réalisation, la lumière, la photo, le scénario et le casting.

    Un film à voir absolument pour nous éclairer sur un pays en guerre et les conséquences collatérales pour deux peuples, des gens ordinaires qui n’ont rien demandé, rien revendiqué, mais subissent le pire.
    Requiemovies
    Requiemovies

    212 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 avril 2018
    Découvert avec le brillant Rushmore, Wes Anderson a imprimé son style tout au long de sa filmographie. Créant un univers et une marque dont son cinéma était d’une fort ADN cinématographique. Après un passage réussit à l’animation, Fantastic Mr. Fox, ont suivi, hors courts et pubs, Moonrise Kingdom et The Grand Budapest Hotel.
    C’est donc par le biais du stop motion qu’il fait son retour à l’animation, technique qui lui avait si bien réussit avec Fantastic Mr. Fox. L’île aux chiens semble être avant tout un très bel hommage au Japon dans un écrin visuel totalement enjouer et imprégné d’idées à la minutes. Et pourtant nous sommes toujours et encore en plein univers « andersonnien ». Si la fibre cinématographique du metteur en scène est moins présente, support oblige, les idées et le mode de narration (micro-ellipses, très découpé…) sont celles que l’on retrouve dans tous les films du cinéaste. Autant dire qu’il ne pourra sans doute par conquérir un nouveau public ici mais il continu de valider tout le talent que ses fans (ou moins fans) lui trouvent. L’île aux chiens est un petit bijou de stop motion, et c’est son principal argument face à ce qui gâche un peu (vraiment un peu) l’ensemble du film. C’est le manque de fluidité du récit qui interpelle un minimum, trop découpé, passe d’armes d’une séquence à une autre sans réelle continuité, avec cette sensation de chaos « organisé ». Mais c’est aussi ça la patte Anderson, un univers barré, parfois baroque, où la folie prend toujours des contours poétiques ; et son nouveau terrain de jeu de marionnettes à quatre pattes est parfait pour exécuter et mettre en scène son récit. Entre douce rêverie et folie moderne, qui prennent ici un accent critique de certaines sociétés modernes sans doute plus « dingues » que son film en lui-même, et pourtant... L’île aux chiens permet donc de s’évader un long moment, à travers une plastique éblouissante dans une mise en scène aux trouvailles visuelles constamment surprenantes et renouvelées. Moins objectivement on restera sur la version originale et non doublée tant le casting français composé de comédiens parfois trop connus font de l’ombre aux personnages qu’ils doublent, un détail, mais bon.
    L’île aux chiens est sans surprise un pur film de Wes Anderson qui si il ne retrouve pas pleinement le génie de The Grand Budapest Hotel s’avère une excellente réussite d’un metteur en scène unique et inclassable comme pouvait l’être Tati à son époque. requiemovies.over-blog.com
    Chappa
    Chappa

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 avril 2018
    Voilà un film bien étrange qui m'a laissé perplexe en sortant de la salle : l'ai-je apprécié ou non ? Qu'est-ce qu'il m'a apporté ?
    L'animation très originale m'a plu et n'est pas sans rappeler l'art du bunraku, donnant corps aux personnages et créant une certaine intimité que l'on retrouve dans ces spectacles de marionnettes. La musique s'inscrit également dans ce style asiatique même si elle me paraissait forcer un peu trop les émotions, rendant certaines scènes excessivement dramatiques ou stressantes. Le scénario, quant à lui, reste plutôt classique et l'on ne peut s'empêcher de chercher le symbolisme de cette histoire de déportation animale : le surpeuplement ? le rejet des migrants ? On reste un peu sur sa faim. Par ailleurs, un point était assez dérangeant : beaucoup de dialogues japonais ne sont pas traduits. Certes, le spectateur est invité à se placer du côté de l'animal, qui parle anglais, et qui ne comprend pas le langage humain mais ce choix est assez frustrant lorsqu'on a peu (ou pas du tout) de notions en japonais (on se sent exclus de certaines scènes, et le gamin, en particulier, nous reste étranger). Je pense que ce qui me gêne le plus, c'est ce regard américain sur la culture japonaise : tous les clichés sont au rendez-vous (les haïkus, les tambours, la notion de déshonneur et de sacrifice etc.). L'humour décalé reste appréciable.
    En bref, je me suis rendu compte que je n'avais pas ressenti grand-chose pendant ce film, sauf le sentiment d'avoir vu quelque chose de bizarre. Je ne regrette pas de l'avoir vu, mais je n'y retournerai pas.
    SuperJS
    SuperJS

    35 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 avril 2018
    Un petit régal en terme d’esthétisme, de technique et d’humour. Des messages très intéressants derrière l’histoire accessible à des enfants. À voir absolument.
    Maeva T
    Maeva T

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 avril 2018
    Exceptionnellement je conseillerais de le voir en Vf car les voix françaises sont celles d’acteurs chevronnés et je n’ai pas pu en profiter lors de cette séance
    LeFilCine
    LeFilCine

    184 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 avril 2018
    Wes Anderson est un artiste tellement rare et si unique qu’on déguste son dernier long-métrage comme une friandise longuement convoitée. Son travail fourmille d’un tel degré de minutie et de rigueur qu’on est bien embêté au moment de critiquer une telle proposition artistique. Et, en effet, il n’y a bien que la futilité, toute relative, du sujet qui peut être sujette à caution. Pour le reste c’est presque parfait : l’animation est brillante, la musique d’Alexandre Desplat parfaite, les voix françaises excellentes (notamment celle de Vincent Lindon, dans le rôle-titre). Les décors japonisants sont souvent magnifiques, même s’il on peut regretter la présence un peu longue à l’écran de l’île-poubelle qui ne rend pas vraiment grâce à tout le travail effectué sur ce film. Le scénario fourmille de petites réflexions malines sur les relations entre les hommes et leurs animaux, et n’est pas exempt d’humour, souvent présent sous la forme de jolies séquences très visuelles. Après avoir dit tout ce bien sur cette proposition artistique épatante, il reste un sujet purement canin qui a quand même un peu de mal à nous faire dresser plus qu’une oreille d’attention. En effet, même s’il y a un peu de fond et surtout une forme magnifique, le sujet reste assez léger avec des chiens qui conversent sur leur avenir. Wes Anderson n’atteint donc pas, avec son Île aux Chiens, la maestria de son précédent film, The Grand Budapest Hotel, mais nous offre une nouvelle fois un très joli moment de cinéma.
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    191 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 avril 2018
    J’aime beaucoup les films en Stop-motion, ils ont toujours un charme unique, la patte visuelle originale est quasiment toujours accompagnées d’un humour particulier vraiment agréable. Wes Anderson ne déroge pas à la règle, on est dès les premières secondes happé par cette animation, par ce travail d’orfèvre toujours aussi impressionnant. Le scénario est aussi original que reste, le décalage entre les langues rend les dialogues poilants, tout semblait parti pour nous offrir un film savoureux ! Pourtant, au fur et à mesure, cette originalité s’essouffle, le scénario devient rapidement prévisible, l’humour n’arrive pas à se renouveler. Attention, rien de mauvais, juste que l’euphorie des premiers instants se transforme peu à peu en monotonie. On a en fait le même ressenti qu’avec son précédent film The Grand Budapest Hotel (sortie en février 2014), l’univers est aussi captivant que lassant. Encore une fois donc, objectivement, on reconnait le travail de fourmi réalisé, mais personnellement, l’ennuie nous gagne avant la fin.
    llafaye
    llafaye

    6 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 avril 2018
    L'univers est intéressant, mais le rythme n'est pas là, et on s'ennuie un peu. La VO est un peu dure à suivre. ca très bavard. Wouaf wouaf!!
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